S1- Je sors dehors, je me dirige vers mini-fourgonnette rouge avec des passagers dedans. Je vais accueillir les deux animateurs de l'émission télé "L'Épicerie". Puis je tiens dans mes mains deux tasses d'un breuvage chaud pour eux.
S2 - Je suis dans un endroit pour assister à une conférence... Je vois P. F. qui entre et je lui donne des feuilles qui ont été distribuées. Puis je lui offre de lui prêter les notes que j'ai prises d'un livre qui pourraient l'intéresser...
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S1. Je sors dehors : un mouvement d'extraversion
Une mini-fourgonnette : les différents modèles de ces autos ont un espace intérieur spacieux, permettant le transport de sept passagers.
Je vais accueillir, du latin accolligere, «réunir». Je vais à la rencontre de ceux qui arrivent, j'ai une attitude d'accueil active, de réceptivité et d'aller au devant.
«L'Épicerie» : une émission télévisuelle hebdomadaire d'affaires publiques à but éducatif ayant pour sujet l'alimentation. Je ne la regarde pas régulièrement, parfois je vais visionner des reportages sur le site Web. Reportages. Tests de goût et banc d'essai. Trucs de l'Épicerie. Recettes. Il y a toujours en finale la présentation d'un aliment (fruit, légume) et puis la liste des spéciaux les plus intéressants de la semaine des principaux supermarchés.
Les deux animateurs-journalistes : Johane Despins et Denis Gagné vont à la rencontre du public dans les marchés publics, les supermarchés, les épiceries, les écoles de cuisine et d’hôtellerie en plus de rencontrer des chefs cuisiniers et des experts pour tester des produits, des diététiciennes, des marchands, etc.
Un des reportages du mercredi 11 décembre, la dernière émission avant les Fêtes, s'intitulait «Bye bye camion !»
- Le 25 octobre 2002, le public découvre la désormais célèbre mascotte de L'Épicerie, un Grumman 1994. Après 11 ans de bons et loyaux services, le camion prend sa retraite ! Car il en a parcouru des kilomètres, depuis les débuts de l'émission. Dans toutes les régions du Québec, et même encore plus loin.
Voir : http://ici.radio-canada.ca/emissions/l_epicerie/2013-2014/Reportage.asp?idDoc=322804
C’était «un step van», un camion de laitier. Il a eu plusieurs réanimations cardiaques.
Pour son dernier voyage, il a recueilli les dons de denrées pour la Grande Guignolée des Médias 2013.
Au point de vue symbolique, l’épicerie est un lieu d’approvisionnement affectif, intellectuel ou spirituel. Le marché est un lieu d’échange, de rencontre.
Je tiens dans mes mains deux tasses d'un breuvage chaud pour eux :
- La chaleur de l'accueil. «La lumière chaude de la conscience accompagnée d'amour» (Etienne Perrot, Les Trois Pommes d'or, p. 74)
- Un breuvage chaud, comme le café dans mon rêve du RP 08 «Des invités à la cuisine». Il y avait dans ce rêve un homme et une femme; ici les animateurs-journalistes de l’Épicerie sont un homme et une femme.
S2. Je suis dans un endroit pour assister à une conférence : un moment de vie collective pour recevoir de l'information, des connaissances. Ce qui poursuivrait le thème d’informations et de connaissances, d’échange et de rencontres avec «L’Épicerie» du premier rêve.
P. F. : des retrouvailles avec un compagnon de classe au Collège, en Arts Plastiques, qui a été aussi un compagnon de voyage lors d’un stage d’étude en France de l’OFQJ. J'ai l’ai revu récemment dans mes albums photos avec nos profs de Collège et avec les autres stagiaires.
… et je lui donne des feuilles qui ont été distribuées :
Je partage des informations concernant la situation actuelle.
Je participe, je m'implique au niveau d’un événement, au sein d'une collectivité.
Ainsi par ce partage et cette participation, je retrouve le contact avec un aspect ancien de moi-même.
Puis je lui offre de lui prêter les notes que j'ai prises d'un livre qui pourraient l'intéresser... : je lui offre un partage de connaissances, d'éléments que j'ai particulièrement remarqués, que j'ai trouvé intéressants au point d'en prendre note. J'offre de donner suite à cette retrouvaille, de garder le contact.
S1 - Je suis dans une école et j'entre visiter une section neuve où il n'y a pas encore de meubles.
S2 - Dans le même rêve ou dans un autre rêve, il est question de trampoline.
Commentaires
S1. École : elle concerne la nécessité d'apprendre, c’est un lieu d’apprentissage. Un thème semblable à la conférence du rêve du jour précédent.
L’éducation «est l’arme la plus puissante avec laquelle on change le monde», a déjà dit Mandela. Voir : http://blogues.lapresse.ca/sciences/2013/12/06/le-leg-scientifique-de-mandela/
Une section neuve : c ’est une nouvelle construction, une nouvelle base de vie vient d’être bâtie. Il n'y a pas encore de meuble : la construction est terminée mais l'espace non meublé n'est pas encore utilisable ni confortable.
J'avais été à la visite architecturale de la bibliothèque Marc Favreau, à Montréal le dimanche 15 septembre. Je suis retournée mercredi 18 décembre à la bibliothèque maintenant ouverte au public, meublée, les étagères remplies, les ordinateurs installés, n'ayant pas pu aller à l'ouverture samedi le 7 décembre.
S2. Trampoline : j'en ai fait très peu dans mon enfance, mais j’avais aimé.
Elle a probablement rapport avec quelque chose à apprendre.
- C’est une forme de gymnastique : une suite de mouvements compliqués qui est imposée par une situation.
Ensemble d’exercices destinés à développer les facultés intellectuelles, «une gymnastique de l’esprit».
- C’est un engin de gymnastique sur lequel on effectue des sauts : est-ce une possibilité de développer ma capacité de bondir et de rebondir ?
Email : [email protected]
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