Je reviens d’une soirée mondaine lorsque ma route est barrée par un fleuve assez large. Je veux traverser sur le pont lorsque celui-ci disparaît soudainement. Alors un deuxième pont apparaît et je vois un homme qui essaie lui aussi de passer... Mais comme c’est un pont qui s'ouvre en deux pour laisser passer les bateaux, l’homme n'a pas le temps de se mettre à l’abri dessous et il reste coincé entre les poutrelles, sans toutefois être blessé. Voyant cela, je me décide à traverser à pied. Le fond du fleuve est boueux et à un certain moment je m’enfonce jusqu'aux genoux. J’ai du mal à sortir de là (l’eau s'est retirée). Arrivée au milieu, je suis entourée par des masses de terre boueuses et je vois l’eau, d’un gris sale, arriver de nouveau. Je ne sais que faire mais je ne panique pas car pour moi l’eau dans mes rêves n'est pas une ennemie...

Soudain l'on m’appelle télépathiquement et je me retrouve dans une maison où il y a des hommes de petite taille (dans les un mètre cinquante). Cette maison est construite en dessous du niveau de l’eau. Il y a une immense baie vitrée qui la protège de l'eau et je vois l'eau arriver de plus en plus vite, toujours aussi grise. Malgré le fait que nous soyons sous l'eau, je me sens en sécurité dans cet endroit. Puis je sors et aperçois tout un village où les habitants vaquent à leur occupations. Je rencontre un homme aux cheveux roux qui me dévisage en passant et j’ai l’impression de ne plus être sur terre. Je dois ajouter que lorsque je me trouvais dans la maison un livre m’est apparu sur le dos duquel était inscrit : «Félicitations de l’AS».

Commentaires (8/1/1998)

Rapport entre le rêve et le thème du Rassemblement : unissons nos forces pour plus d’amour.

Rapport avec la peinture aborigène : rapport avec l’esprit du serpent qui est devenu mon ami depuis un certain temps.

Pas de contexte de veille, seulement le désir d’entrer en contact avec les esprits-guides.

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