2. Roger Ripert, Breda (Pays-Bas)

20/12/2000, UT+1, 5 H 20

2.1. Réduire l'écart entre les riches et les pauvres

«Le drame, dis-je, c’est qu’il y a trop d’écart entre ceux qui ont tout et ceux qui n’ont rien, qui crèvent la dalle...»

2.2. Mieux vaut prévenir que guérir

Plus tard, je donne ma solution : «Il vaut mieux prévenir (traiter le mal à sa source) que guérir.»

2.3. Pousser les murs...

Dans un hôpital psychiatrique, je parle à une femme de mon travail comme psychologue. Constatant l’entassement des malades (tous pleins de tics), je lui dis que la solution serait de leur donner plus d’espace, de «pousser les murs». Afin d’intervenir en ce sens, je vais rencontrer les deux PDG de l’établissement...

Commentaires

A l’évidence, la première séquence met l’accent sur la solidarité humaine et l’urgente nécessité de réduire l’écart économique entre les pays (trop) riches (tels les USA) et les pays (trop) pauvres (tels ceux du Tiers-monde). L’abolition de la dette de ces derniers contractée auprès des pays riches serait une première mesure à prendre...

La seconde séquence me fait penser au drame de l’effet de serre et du réchauffement planétaire (un changement climatique qui n’est plus totalement nié aujourd’hui par les medias même si ceux-ci essaient à tort de le minimiser). Pour y faire face, il est d’une urgence vitale d’attaquer le mal à sa source : réduire les gaz à effet de serre et les éliminer au plus vite (une politique que les USA, le pays qui en émet le plus, n’est toujours pas disposé à suivre...).

La dernière séquence pose le problème de la surpopulation planétaire et de ses conséquences forcément dramatiques. Le temps n’est plus celui de la survie par la «reproduction» (l’idée des tics, dans le rêve), mais de la survie par la non reproduction (la limitation des naissances).

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