NEUFFONTAINES |
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Le site se rapporte essentiellement à la commune de Neuffontaines (Novem fontes, à l'origine). Il est le fruit d'un long travail de recherche, démarré en l'an 2000. Vous y trouverez des informations sur la commune et ses environs, ainsi qu'une documentation sur son patrimoine et son histoire, organisée par hameau, ainsi que par château ou famille noble liés à son histoire. Cette documentation, en constante évolution, recèle inévitablement des erreurs. Je vous invite vivement à me les signaler. De même, pour les citations ou les reproductions de photos pouvant présenter un caractère dérangeant ou poser un problème de droits d'auteur. Dans un esprit constructif et dans le respect des règles de la bienséance*, vos commentaires, critiques et compléments d'information sont également les bienvenus. Le webmestre * Consacré à l'histoire et au patrimoine, ce site — indépendant de la mairie — n'est pas le lieu approprié pour les querelles à caractère personnel ou politique. Pour des INFOS sur la commune (pratiques, locales et politiques), aller à cette rubriqueA noter que la mairie alimente un site facebook sur la commune. Voir : Commune De Neuffontaines. Un autre site facebook est alimenté par l'association NovemFontes (à partir de 2013).
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Site internet consacré à la commune de Neuffontaines & ses environs Sans publicité commerciale externe copyleft (citer néanmoins les sources) - Hébergé par OVH FAI (ADSL) : Orange Réalisé par Roger Ripert sur MAC MINI avec MAC OS 10.10 (Version Yosémite) & le logiciel Dreamweaver (pour Mac) |
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Voir aussi :
FAMILLE SALADIN DE MONTMORILLON -
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Voir aussi :
TOPOGRAPHIE |
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Voir aussi :
TANNAY, LORMES, CORBIGNY, VEZELAY, SAINT-AUBIN-DES-CHAUMES et AVALLON
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Entreprises : Chitry Mont Sabot
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Archives départementales de la Nièvre
Réouverture le 1er février 2011, dans une salle provisoire (13 places)
La consultation des microfilms de l’état civil, pour l’ensemble des communes du département de la Nièvre,
s’effectue dans la salle de lecture des Archives municipales de Nevers (à côté de la Médiathèque).
Les tables décennales y ont également été transférées.
Documents en ligne (9 août 2012)
2. Les tables décennales de l’état civil (5 E) et les registres (4 E) Voir : http://archives.cg58.fr/ Rechercher par commune. |
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Monuments historiques de la Nièvre (105 classés et 217 inscrits)
Archives communales
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INFOS PRATIQUES
Photo du panneau d'affichage à Chitry Mont Sabot
Prise par Roger Ripert, le 6/10/2018
les lundis de 8 à 12 et de 14 à 17 heures
et le 1er samedi de chaque mois de 9 à 12 heures
Attention aux heurs d'ouverture erronées que l'on trouve sur Internet !
Aucun affichage des heures d'ouverture à la Mairie !
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Adresse de la Mairie ;
Vignes-le-Haut
58190 Neuffontaines
Téléphone : 03 86 24 80 57 ou 09 62 22 70 99
Télécopie : 03 66 41 44 06
Email : [email protected]
Maire : Mme Nicole Hernando
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La déchetterie de "La fleur du nivernais"
à Tannay
RD 34 - La Fringale
Tél. : 03.86.29.39.78
Tél. : 03.86.29.35.94
Quels sont les horaires d’ouverture de la Déchetterie Intercommunale ?
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La brigade de gendarmerie de Tannay
16 av. de la Fringale (à coté du magasin Super U)
Bureaux ouverts le mercredi et le samedi de 14 à 18 h.
(de 15 à 18 H. si le mercredi ou le samedi est un jour férié)
Tél. : 03.86.29.84.34
Fax : 03.86.29.51.95
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La population de la commune de Neuffontaines * se répartit entre le bourg,
le village proprement dit de Neuffontaines,
et les hameaux qui lui sont associés (les écarts) :
- Vignes-le-Haut (là où se trouve à présent la mairie)
- Vignes-le-Bas
- Chitry-Mont-Sabot
- Fletz (Flet-Flancou/Fletz-Flancourt)
- et la ferme de Mont-Bué
* 126 habitants au recensement de 2006
Les sources et puits ne manquent pas sur la commune : avant le raccordement à l'eau publique, presque chaque demeure avait son puits, et chaque hameau, son puisard-lavoir-abreuvoir. Mais comme les neuf fontaines vont de pair avec la dénomination de la commune, dont l'origine latine remonterait au 14e siècle *, selon Michel Leconte **, c'est sur l'ensemble du territoire de la commune, non morcelé à l'époque, qu'il faut les chercher. En ce sens, les puisards en pierre encore existants (associés aux lavoirs et abreuvoirs), correspondent sans doute aux dites sources-fontaines où l'on puisait jadis l'eau de boisson.
** Historien et mythologue demeurant en partie à Vignes-le-Haut. |
On aurait pu ajouter une dixième source, celle dite de "La Ruande" * .
Mais cette véritable source de l'Armance se situe sur la commune voisine de Bazoches.
* Une dénomination associée à la ruade du cheval et à la déesse gauloise Épona, selon M. Michel Leconte. Une source qui, comme une ruade, ne jaillit (jaillissait ?) que quelques jours, les années où le niveau des eaux est très élevé, comme l'indique M. Michel Demarigny (email du 14/11/2011). Autrefois, les gens venaient alors avec des bouteilles afin d'emporter un peu de cette eau qui, paraît-il, disposait de propriétés pour soigner les problèmes intestinaux. |
Photos des puisards
* Par défaut, appellations provisoires données par Roger Ripert
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Deux sources d'information pour ma recherche :
Marcel Reinert (postier, domicilié à Neuffontaines)
et son aimable petite visite guidée à Neuffontaines du 19 août 2008.
Maxime D. (exploitant agricole en retraite, domicilié à Chitry-Mont-Sabot),
et notre entretien à mon domicile sur la fin août 2008.
Notices extraites du Patrimoine de France
En 2012, les notices ne sont plus accessibles au public sur la Toile ?!
Adresse : https://www.patrimoine-de-france.org/
1. Fontaine de l'Armance |
2. Fontaine de "La Griffée" Catégorie : Lavoir; aire d'étude : Tannay; adresse : C. D. 281 de Charancy à Neuffontaines Epoque de construction : 19e siècle auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu Historique : Lavoir construit au 19e siècle, après 1835, date du cadastre ancien. Description : Lavoir à compluvium édifié au centre du village, en bordure d'une retenue d'eau alimentée par la rivière l'Armance. Sablières sur colonnettes de fonte; banquettes contre les murs de long-pan; pierres à laver en pierre de taille, sol cimenté. gros-oeuvre : calcaire ; moellon ; enduit couverture (matériau) : tuile mécanique couverture (type) : toit à longs pans ; noue propriété publique date protection MH : édifice non protégé MH type d'étude : inventaire topographique date d'enquête : 1992 rédacteur(s) : Bernard Lauvergeon N° notice : IA58000056 - © Inventaire général, 1992 |
7. Fontaine de "Mauveille" * |
8. Fontaine de la "Gueule du loup" aire d'étude : Tannay lieu-dit : Vignes-le-Bas adresse : C. D. 217- Gueule du Loup (chemin rural dit de la) parties constituantes : fontaine époque de construction : 1ère moitié 19e siècle auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu Description : Lavoir alimenté par une source à fontaine zoomorphe (loup assis sur le seuil de l'arcade postérieure). Accès par une arcade identique, à chicane, dans le mur-pignon antérieur. Charpente à une ferme (arbalétriers à échelons), sur pile et muret, à droite. Mur gauche aveugle. Pierres à laver en pierre de taille, sol cimenté et pavé, barre repose-linge, en bois, contre le mur gauche. Quatre abreuvoirs communicants, en pierre, contre le mur-pignon antérieur et le mur droit. Corbeaux au pignon postérieur (vestiges d'un auvent ?) . gros-oeuvre : calcaire ; moellon ; enduit partiel couverture (matériau) : tuile plate ; tuile mécanique décor : sculpture représentation : loup Sujet : loup assis ; support : fontaine. couverture (type) : toit à longs pans ; pignon couvert propriété publique date protection MH : édifice non protégé MH type d'étude : inventaire topographique date d'enquête : 1992 rédacteur(s) : Bernard Lauvergeon N° notice : IA58000058 - © Inventaire général, 1992 |
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Descriptif de la commune de Neuffontaines, en 1847«Village, à 15 km, Est, de Clamecy, 95 km de Nevers — Population : 818; Bureau de poste de Monceaux-le-Comte. — Foires : 5 mars et 5 septembre. — Il y avait, au XIIème siècle, un château fort sur "la montagne du Mont-Sabeau" [le Mont Sabot]. Il n'y reste plus qu'une chapelle.» (p. 259) In Géographie départementale, classique et administrative de la France - Département de la Nièvre, publié sous la direction de M. Badin et de M. Quantin, Paris, J.-J. Dubochet, Le Chevalier et Cie, 1847, 280 p. Réédition par les éditions de la Tour Gile, 1991 (ex. 669). Fonds R. Ripert. Achat au Marché du livre à Lormes, le 12/6/2011. |
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Descriptif de la commune de Neuffontaines, en 1895 Cliquer pour accéder à la page 150 in Dictionnaire géographique et administratif de la Nièvre, G. Vallière, éd. du Bastion, 1990, 334 p. Réédition en fac similé de l'édition de 1895 (édition révisée du Dictionnaire géographique par P. Fay, 1860). Fonds B. Legoff à Bonneçon (transmis le 10/9/2011). |
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Descriptif de la commune de Neuffontaines, en 1899Cliquer pour agrandir la photo du texte complet in Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies. Vol. 5, N-P, publié sous la direction de Paul Joanne. Éditeur : Hachette (Paris). Date d'édition : 1899 Abréviations : N. : Nord
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Notice rédigée par Michel de la Torre, publiée dans Nièvre, le guide complet de ses 312 communes, Deslogis-Lacoste, 1990. Fonds R. Ripert. |
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Généralités à Neuffontaines (58)Notice du Patrimoine de France (Drac Bourgogne) C'est le latin "novem fontes" [et non, "novi fontes", comme l'écrit à tort l'auteur de la notice] qui est à l'origine du nom de la commune *. La voie romaine Autun-Orléans, qui traverse le territoire communal, est matérialisée par la R. D. 42 qui en emprunte le tracé. En outre, un tumulus de l'âge du fer est mentionné près du Mont-Bué (Roger Pioux) . L'origine de la paroisse, dont la cure dépendait du diocèse d'Autun, remonte au 12e siècle. Description Le village s'étire dans la vallée de l'Armance, le long de la R. D. 281 qui rejoint la route de Lormes (la R. D. 42) au carrefour de Mont-Sabot. * A noter que M. Bernard Lauvergeon (un enfant du canton puisqu'il est né à Saint-Didier), ne donne aucune source, si je puis dire, pour affirmer à tort que l'origine de Neuffontaines vient du latin novi fontes, qui signifie "nouvelle fontaine". Quoi qu'il en soit, dans un courrier adressé à M. Michel Leconte du 13 mars 2007, M. Lauvergeon reconnaît qu'il a sans doute commis une erreur, partageant l'avis de Gérard Taverdet («Les noms de lieux dans la Nièvre», CRDP, Dijon, 1987) qui fait état de l'appellation «novem fontes» au 14e siècle. Une erreur étymologique encore colportée de nos jours par certains habitants de la commune qui pensent encore que "Neuffontaines" (pourtant avec un s, indicateur du pluriel) signifie "nouvelle fontaine" ! Mais comment dénommer les habitants de Neuf-fontaines : des "Neuvofontains", des "Neuffontains" ou des "Neuffontainois" (dixit "Fanfan" de Neuffontaines) ? Les habitants de Fontaine se dénomment généralement des Fontainois mais les habitants de Noirefontaine, par exemple, sont dénommés des Noirifontains. Voir : http://fr.wiktionary.org/wiki/Fontainois et http://www.habitants.fr/ Apparemment, la question semble avoir été tranchée par le site Habitants.fr (juin 2010) qui vient de recenser le gentilé de la commune de Neuffontaines en dénommant ses habitants des Neuffontains et des Neuffontaines. Le gentilé désigne les gens d’un lieu ou, parfois, les personnes qui en sont originaires. Voir la liste des gentilés des communes de France Roger R. |
Historique de la commune de Neuffontaines- Notice d'Albert Marlière, publiée en 1859
«Neuffontaines - Novi Fontes [Novem Fontes, en fait !] - L'origine de cette commune remonte au XIIe siècle. La cure de Neuffontaines était à la nomination de l'abbé de Chore, diocèse d'Autun. L'ancienne chapelle qui subsiste encore sur le Mont-Sabot, mons abbonis, et qui a été reconstruite en 1670, n'était anciennement qu'un oratoire privé dépendant du château [de Vignes-le-Haut], dont les fondations ont été découvertes en 1826, lorsqu'on fit des fouilles pour établir le cimetière. Ce château [du Mont Sabot] dominait la "montagne" [sic] qui est un des points géographiques les plus élevés du département, sa hauteur étant de 410 mètres 37 centimètres au-dessus du niveau de la mer [hauteur du Mont Vigne et non du Mont Sabot, qui est de 380 mètres ?]. Le prêtre [Venance] Fortunat (note RR n° 1) nous apprend qu'au Ve siècle Mont-Sabot appartenait à un seigneur nommé Abbon, qui avait emprisonné dans sa forteresse quelques ennemis vaincus. Saint-Germain, évêque de Paris, délivra ces captifs sans qu'on pût se rendre compte des moyens qu'il avait employés, ce qui fut considéré comme un miracle par les populations. (Voir la note RR n° 2) La chapelle de Mont-Sabot, sous le vocable de Saint-Pierre, était autrefois l'église du prieuré de Neuffontaines (1); elle est entourée d'un petit cimetière dans lequel s'élèvent quatre gros tilleuls, appelés : Arbres de Sully, parce qu'on suppose qu'ils ont été plantés par ordre de ce ministre sous le règne du roi Henri IV. En 1826, en creusant les fondations du cimetière, on a découvert un mur ayant "à peu près cinquante centimètres d'épaisseur" [? Voir note]. Cette construction à chaux et à sable, "qui paraît traverser la montagne" [sic], ferait supposer qu'autrefois il existait un fort en cet endroit. (Voir la note RR n° 3) A quelque distance de Mont-Sabot, se trouvent les ruines du château du Bouchet, de Boscheto, qui a servi de prison d'Etat dans les guerres de religion. Neuffontaines était au XVIIIe siècle une châtellenie du Nivernais réunie à Monceaux-le-Comte. Cette châtellenie avait dans son ressort Chastellux, Challement, Bazoches, La Tour Rabuteau, Lys, La Coudray, Saizy, Dirol, Germenay, Vignol, Chaumot et Pont-Saint-Didier.» (1) On raconte qu'une chèvre, poursuivie par un loup, se réfugia dans cette église; comme le loup essayait d'entrer, les paysans accoururent et le tuèrent; de là, le proverbe du pays : la chèvre a pris le loup. in Département de la Nièvre. Statistique de l'arrondissement de Clamecy, avec notices historiques, agricoles, industrielles, commerciales, administratives, topographiques et géologiques, par Albert Marlière, sous-préfet de cet arrondissement; Clamecy, imprimerie de C. Cégretin, 1859, pp. 315-318 (Fonds SSAC : Société Scientifique et Artistique de Clamecy). Notes de Roger Ripert : - Note n° 1 : Venantius Honorius Clementianus Fortunat ou saint Venance Fortunat, né vers 530 à Valdobbiadene près de Trévise, mort en 609 à Poitiers, est un poète chrétien du VIe siècle. Voir Wikipedia. - Note n° 2 : Voir à ce sujet l'article de Michel Leconte publié dans La Lettre d'Ile-de-France, bulletin trimestriel du Groupe Ile-de-France de Mythologie française, n° 77, 1er tr. 2011, pp. 10-14. Voir le fichier pdf de La Lettre. - Note n° 3 : Dans son petit ouvrage, Statistique de l'arrondissement de Clamecy, publié en mars 1832, M. Delamare, sous-préfet de l'arrondissement de Clamecy, rapporte sa propre version (sans en donner la source, lui non plus) : «En 1826, en creusant les fondations du cimetière, on a découvert un mur de l'épaisseur d'environ 4 à 5 pieds [entre 1,20 et 1,50 mètre et non 50 cm comme le rapporte Marlière]. Ce mur à chaux et à sable, qui paraît traverser la montagne ferait supposer qu'autrefois il a existé un fort. "Au pied de la montagne" on a trouvé un grand bassin en pierres de taille, beaucoup d'ossements et une pierre tumulaire, sous laquelle était un squelette. Il y a été trouvé aussi une pièce d'or au millésime de 1610 [la date imprimée a été modifiée à la main sur l'exemplaire déposé à la bibliothèque de la SSAC à Clamecy]» - Voir le fichier pdf, p. 91.
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La commune de Neuffontaines à travers ses monuments historiques
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Article sans doute paru dans le Journal du Centre, en 1964, signé R. F., qui reprend en grande partie la notice d'Albert Marlière ci-dessus, sans toutefois la citer. Extrait du cahier du Père Joseph Jonette (transmis par J-P Derlon, le 18/1/11). |
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Article paru dans L'Agriculture de la Nièvre, le 30/9/1960. Extrait du cahier du Père Joseph Jonette (transmis par J-P Derlon, le 18/1/11). |
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François Mitterand, à droite, en compagnie d'Ernest Pieuchot (le maire de Neuffontaines à l'époque) lors d'une réunion électorale avant la présidentielle de 1958. Document transmis par J-P Derlon le 9/6/2011. Photo prise à l'ancienne mairie, au hameau de Neuffontaines, comme le montre la cheminée, à l'arrière-plan. |
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(transmise par J-P Derlon, le 15-3-2011)
Visite du député François Mitterrand à la commune de Neuffontaines
A droite de F. Mitterrand, sur la photo du haut, Marcel Blandin, maire de la commune à l'époque.
Article publié dans le Journal du Centre du 25 avril 1980.
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Le 5 juin 1940 à 14 heures 30 le drame eut lieu : un avion allemand touché par la DCA du camp d'Avord passa au-dessus d'Anthien avec une aile en flammes; il perdait beaucoup d'altitude et on eut peur qu'il ne s'écrasât sur le village. Mais le 8 mars 1941...
* Fille d'André Gautron Note RR : voir la suite dans l'article ci-joint au format pdf, Un avion sur la commune, transmis par Mme Nicole Haberer (née Grosjean, demeurant à Anthien), lors d'une rencontre à mon domicile le 9 septembre 2014. |
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Cercles généalogiques et archives paroissiales
GeneaWiki est un projet d'encyclopédie de la généalogie, - Le cercle généalogique et historique Nivernais Morvan (CGHNM)
Publie le bulletin trimestriel Blanc-Cassis depuis 1980 (116 numéros) - Secrétaire : Mme Michèle PRUVOT M. Maxime D. (propriétaire à Chitry Mont sabot) est membre du Conseil d'administration - Voir, au format pdf, l'article du n° 33 du bulletin par Jean Barjot : En fouillant dans les registres paroissiaux : Neuffontaines (article transmis par M. Roger Guilloux, août 2010) * Autre cercle généalogique de la Nièvre : HÉRÉDIT * Archives de l'état-civil de la commune de Neuffontaines«Selon Marlière (1), l'Etat Civil de la commune remonte à 1740, ce qui est faux puisque le plus ancien registre conservé débute en 1605. Les registres sont tenus en double exemplaire à partir de 1669 et, même si la lecture en est parfois pénible - les années 1730 et 1731 sont en très mauvais état—, on ne deplore que peu de lacunes : année 1672, incomplète; lacunes de janvier 1688 à octobre 1690; 1729. Il existe des registres concernant la paroisse Saint-Pierre du Mont-Sabot de l740 à 1752, année de sa suppression, avec une lacune (1741), ce dont nous reparlerons au cours de cette modeste étude. Le relevé des 537 mariages célèbrés tant en l'église du bourg qu'en celle du Mont-Sabot, entre 1669 et 1792, permet de situer les patronymes les plus répandus : Roumier (87 fois), Perreau (82), Blandin (75), Perdriat (70), Monin (59), Demarigny (38). Il est d'ailleurs à remarquer que les premiers figurent encore sur l'annuaire du télephone.» (1) Département de la Nièvre. Statistique de l'arrondissement de Clamecy, avec notices historiques, agricoles, industrielles, commerciales, administratives, topographiques et géologiques, par Albert Marlière, sous-préfet de cet arrondissement; Clamecy, imprimerie de C. Cégretin, 1859, pp. 315-318.» Source : Jean Barjot, «En fouillant dans les registres paroissiaux : Neuffontaines», Bulletin n° 33 de la CGHNM.
-Table des mariages de 1669 à 1792Dossier de l'Institut généalogique de Bourgogne à Lyon Fonds appartenant à Mme Jocelyne Perdriat (Vignes-le-Haut) Extrait alphabétique des patronymes masculins au format pdf, pp. 1-11 Copie des Tables déposées à la mairie par Roger R. (mai 2011) — Archives départementales de la Nièvre, à NeversDocuments en ligne (voir le fichier pdf du 30 novembre 2012) Les registres paroissaux de l'Ancien régime (4 E) La numérisation, à partir des registres originaux de la collection départementale, a été réalisée tout au long de l’année et est désormais intégralement consultable en ligne. - Registres paroissiaux des églises de Neuffontaines et du Mont Sabot (église Saint Pierre) Collection (1676-1792)
1676-1687, 1692, 1695-1697, janvier-mars 1743, 1699, 1705-mai 1706, 1738-1740, 1744-1749, 1752-1792.
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Photos de classe—Anciens élèves des écoles de Neuffontainesà Vignes-le-HautPhotos collectées par l'association Novem fontes en 2011 |
Photos anciennes diverses—Les Neuffontains en 2004Les cinq copainsLe battage
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Journée du patrimoine 2011—Organisée par l'association Novem fontes |
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Les personnages célèbres de la commune
Louis-Guillaume Barbier de la Brosse (Neuffontaines : 1664-1743). Seigneur de Vignes-le-Bas, ancien conseiller du Roy et son grenetier au grenier à sel de Vézelay. Jacques Barbier de la Brosse (Neuffontaines : 25/3/1710 - 25/1/1782; fils de Louis-Guillaume Barbier) : Ecuyer, contrôleur ordinaire des guerres sous Louis XV, seigneur de Tressoles (par son épouse, Marie-Philippe Millin de Tressoles), Vignes-le-Bas et autres lieux, dont l'épitaphe se lit sur une pierre tombale au cimetière du Mont Sabot (au pied de la sacristie). Voir Famille des Barbier Sébastien Le Prestre, Maréchal de Vauban (15/5/1633 - 30/3/1707) : Seigneur de Neuffontaines. Outre les terres, il y possédait un pavillon de chasse à courre, dont une partie, achetée par la commune en 1844, a servi partiellement de mairie jusqu'au début des années 2000. Voir Hameau de Neuffontaines et Château de Bazoches Jean-Baptiste Saladin de Montmorillon (?-1531) et son épouse, Jacqueline Barbier de Vésigneux. Seigneur de Vignes, du Bouchet, de Bazoches (par sa première épouse, Charlotte de Chastellux, dame de Bazoches) et de Vésigneux (par sa seconde épouse, Jacqueline de Vésigneux). - Son fils, François Saladin de Montmorillon, capitaine et gouverneur d'Avallon en 1568-1569. Seigneur de Vésigneux. - Sa petite-fille, Louise-Charlotte de Montmorillon (Circa 1570 - 2/11/1649), baronne de St Martin-du-Puy, dame de Vésigneux, épouse de César de Bourbon, comte de Busset. Voir Famille Saladin de Montmorillon
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Voir aussi :
Association pour la sauvegarde
et la valorisation du patrimoine neuffontain