1. Le stage de développement personnel
3. Le mitraillage photographique de la sculpture mystérieuse
4. Le cadeau à la famille singe
7. La grotte
8. Le couvent
9. La clairière
10. Fuite devant les gangsters
Je suis dans un pays que je ne connais pas mais qui pourrait être
la Corse. Je regarde une carte du pays avec mon père, en fait cela
se présente commme un petit livret où sont répertoriés
tous les endroits sensibles prêts à exploser.
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"On va tout inverser !", dis-je à une femme inconnue qui
m'accompagne dans la rue.
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J'étais à l'intérieur d'une chambre à coucher et
je regardais par la fenêtre. Dehors je voyais une petite rivière,
et la vision que j'avais me disait que j'étais au troisième
étage d'un bâtiment. Des adolescents étaient étendus
sur le gazon, sur l'autre rive de la rivière. Il faisait très
beau. C'était le printemps, la période d'un dégel. Je ne
voyais pas de neige mais je sais que le neige avait fondue il n'y avait
pas longtemps. |
Je suis dans une grotte, bien au chaud et à l'abri. Soudain, il y a une inondation, de l'eau trouble m'entraîne hors de la grotte. J'essaie de m'agripper à des lianes blanches qui pendent du plafond de la grotte. C'est très difficile, mais il faut que je tienne le coup, il ne faut pas que le flot m'entraîne hors de la grotte, sinon je vais mourir. Commentaires : Généralement, lorsque je fais ce rêve - qui ne se termine
jamais - je me réveille en sueur, avec le cur qui cogne, et
très angoissée. Un rêve répétitif que j'ai fait
très souvent, depuis ma toute petite enfance, jusqu'en 1982.
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J'étais dans l'eau, je nageais, l'eau était agitée et sombre. Je n'arrivais pas à atteindre la berge. Lorsque enfin j'ai réussi, je me suis laissée tomber, j'étais épuisée. Deux hommes arrivent et me disent "allez vous cacher, si mon père vous voit il vous tuera". Je me suis cachée et depuis ma cachette, j'ai vu le père du jeune homme en canot à moteur sur le lac, il faisait des cercles. Je suis partie et suis arrivée devant une belle maison. Il faisait presque nuit. J'ai monté des escaliers et je suis arrivée dans un jardin magnifique, plein de fleurs et de grandes herbes. Je savais que la femme qui habitait là était la maîtresse de l'homme en canot sur la mer. J'ai pensé "s'il me voit ici, il me tuera". Alors je me suis enfuie et je suis arrivée devant un couvent. A nouveau, j'ai monté des escaliers et j'ai demandé à un moine qui était devant la porte de me donner l'asile. Il m'emmène dans une salle, puis dans une chapelle. Je m'agenouille et je fais un signe de croix très maladroit et il me le reproche. La suite est très embrouillée, mais finalement j'ai réussi à rentrer chez moi. |
J'étais avec quelqu'un que je ne connaissais pas, nous étions
poursuivis. Il faisait une nuit très claire, et nous avions peur
qu'on nous voit. Nous nagions dans une grande rivière, et nous faisions
attention de ne pas trop nager en surface. Nous longeons la rive à
notre droite, tandis que sur l'autre rive, les hommes nous cherchent.
Nous prenons toutes nos précautions, mais c'est extrêmement
fatigant, bien que l'eau soit calme. Je pensais ne jamais pouvoir grimper
sur la berge. Enfin, nous réussissons à grimper sous les feuillages,
nous sommes sauvés. C'est un petit bois, nous arrivons dans une clairière.
Il y a de drôles de petites maisons, des sortes de tentes ou de huttes
rondes. Il y a une grosse pierre plate en guise de foyer et dessus, nous
allumons un joli petit feu pour nous réchauffer. Tout à coup,
je vois une feuille par terre. Je la prends, il était écrit
dessus en plusieurs langues : "défense d'allumer du feu, risque
d'incendier les pins". Alors, nous avons éteint le feu.
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Je fuyais devant des ennemis pour sauver une enfant en danger. J'étais prisonnière dans une espèce de maisonnette. Nous étions encerclées, on nous tirait des coups de feu. Nous avons téléphoné à la police et j'ai dû m'enfuir avec l'enfant. Je recevais des coups de feu, mais je courais toujours et nous n'étions pas blessées. L'enfant devait avoir 2 ans. Je me souviens aussi que dans la maisonnette, nous tentions de fermer la porte pour que les ennemis n'entrent pas, mais la porte s'ouvrait toujours, c'était énervant.
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