je suis avec beaucoup de gens (comme une colonie de vacances) un homme me fait des chatouilles (peut être mon ami actuel) puis je suis avec une femme elle me parle sur ma gauche, je ne la vois pas. Quelqu'un est passé derrière moi elle me dit de sentir que l'on m'a mit quelque chose au bas du dos, alors dans mon dos avec ma main droite je sors un revolver, puis une flèche pointue. Je l'élève au-dessus de moi et la brise, la casse en deux. Elle me dit quelque chose comme "sois vigilante".

j'entre dans un bureau, lequel ? En face de moi y a un homme à ma droite deux femmes, des secrétaires. Elles me regardent surprises, l'homme aussi.
(comme si j'étais apparu dans la pièce)au même moment le téléphone sonne elle dit : "Non, y a pas de Béatrice P. ici." et je dis : "Oui, c'est moi."
Je prends le téléphone, j'y reçois sûrement une info pour aller dans un lieu car je vais vers (un métro ?) un sous-sol ? Les femmes très surprises me suivent dans ce "métro" des gens passent je sais que je viens voir quelqu'un mais qui ? Un homme me reconnaît (mon ami ?) il a l'air de m'accuser de quelque chose, je le regarde et j'ai le sentiment que d'une façon "pure" je lui dis que j'y suis pour rien. Il me dirige vers une femme je la vois de dos cheveux rouges sombres avec des perles sur de fines tresses. Je la prends dans mes bras et la console.

Je suis dans une maison avec un homme (y a du monde) tous les deux on fait l'amour parfois sans le voir, j'ai le sentiment que c'est l'amour brusque, voir violent ! On dirait un allemand (comme mon ami) à un moment il dit qu'il va chercher les autres pour qu'ils "profitent" de moi que je m'offre à eux.
Je ne suis pas d'accord et cherche à m'enfuir. Il fait nuit ?
Dans le premier je cherche à ouvrir les yeux, les deux autres j'ai le sentiment que je brise la violence soit par l'acte soit par pureté de regard, de dire, j'ai confiance et du courage.
Dans le dernier je fuis l'agression, c'est la peur.

Je suis chez A., un de mes oncles. Il s'est "transformé" en femme. Son visage est toujours masculin, avec de profondes rides, comme s'il était vieux et, surtout, moralement fatigué. "Elle" porte une perruque, ou a des cheveux blonds brushés, qui lui arrivent aux épaules. Elle a aussi mis du rouge à lèvres. Ses yeux sont étranges, d'un brun clair très doux et profond, très beaux aussi (je le remarque dans le rêve). Son corps est féminin, je crois, bien qu'au premier abord il semble masculin et musclé ; je le vois ensuite, à côté d'un autre corps de femme. Tous deux sont nus, debout devant un paysage vide, ou une mer plate. Elle vit avec un homme, qui était une femme auparavant, et l'est peut être encore.
A un moment du rêve je suis avec quelques personnes derrière un car, et ma "n'oncle" et son mari sont au fond de ce dernier. Ma "n'oncle" se retourne et nous salue.
Ma mère annonce ensuite que l'on va recevoir un cousin que je n'ai pas vu depuis très longtemps; si longtemps que je ne me souviens pas du tout de lui. J'explique alors à ma génitrice que je trouve stupide de le revoir, quand je risque de le vexer, ne sachant même plus qui il est.
Nous recevons en fait une cousine, je ne sais pas si c'est en remplacement du cousin. Elle doit avoir 13 ou 15 ans, d'après son apparence; elle est petite avec des cheveux noirs, des yeux bleus plutôt sombres (mais pas grisés), un air malicieux, le visage un peu rond - bien qu'elle soit mince. Elle ressemble à une fille du lycée, exception faite de ses cheveux, bruns et raides, noués en queue de cheval. Nous nous entendons bien, plaisantons (elle a une attitude assez impertinente, comme laissait présager son apparence), etc.

Avant ou après ce rêve, je vole pour fuir quelqu'un, mais mes souvenirs sont vagues.
J'arrive à une ferme, dans des plaines (déjà visitée dans un ancien rêve où une jeune fille fuyait une guerre). Je la dépasse cependant sans m'arrêter, j'y jette tout juste un coup d'œil, dans un instant d'hésitation, pour aller me cacher plus loin, dans les montagnes.

fragment : Je suis dans une sorte de salle de bain, totalement blanche et brillante, immaculée, avec un placard. Je veux faire ouvrir ce dernier sur le "monde" d'un ami, mais je n'ai pas l'adresse (son "monde" semble correspondre à un site web). Je pense alors à l'adresse de "brittle-bones", un site, qui s'affiche sur la porte du placard, en lettres orangées, sombres. Le placard s'ouvre. Tout est, alors, devenu noir. J'entre en volant dans l'ouverture, et me retrouve dans un bâtiment peuplé d'humanoïdes menaçants, trapus, dont les visages se déforment jusqu'à tendre vers le monstre ou l'animal, et se boursouflent. Ils veulent m'agripper, tendent les mains. Je vole au-dessus d'eux et du bâtiment. Le dernier étage est à ciel ouvert, formé de passerelles et d'espèces de tours; ils se tiennent en général à côté. Ils sont dispersés. En passant au-dessus de l'un d'eux, je lui crache sur le visage, qui semble aussitôt être rongé de façon très violente. La créature, qui ressemble à une goule ou un "troll" blanchâtre et glabre, dont la peau serait faite d'excroissances demi-sphériques collées les unes aux autres, se tord et gémit, en tenant son visage entre ses mains. Je crois que mon crachat s'est transformé en scarabées, qui dévorent à présent sa chair.

Nous étions (je ne sais plus avec qui...) devant un vieux cimetière, et nous avions l'intention d'aller sortir de sa tombe un vieil Indien d'Amérique du Nord enterré là. Le fait qu'il ait été enterré était comme un scandale.
Nous avons ouvert la tombe et nous avons remarqué à notre grand soulagement que le cercueil n'avait pas été fermé, le couvercle était simplement posé dessus.
Un magnifique Indien d'environ soixante ans y reposait : noblesse, couleur ambre de la peau. J'ai fait remarquer aux autres que le corps était parfaitement conservé.
L'intérieur du cercueil était magnifique avec des textes expliquant la vision de ces peuples, c'était comme un univers parfaitement harmonieux.
Lorsque nous avons enlevé le corps du cercueil, nous avons découvert que trois autres Indiens appartenant à des lignées de plus en plus anciennes y reposaient les uns sur les autres. Ils étaient aussi parfaitement conservés physiquement.

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Ce rêve ce matin, m'est resté comme renfermant un message très important.

Je suis dans ma chambre à la campagne. Mon père entre et m'annonce le décès de ma mère. Il me dit cela presque en riant, surtout surpris, gentiment, sans joie ni détresse, il en ressort une affection pour ma mère.
Cela survient alors que mon grand-père maternel vient de mourir (en rêve mais avant le rêve).
Je sors dans la cour avec mon père. Ma soeur Anne s'y trouve déjà. Nous parlons de la mort de ma mère, elle a succombé à un malaise. La situation n'est pas du tout dramatique.
Plus tard je surplombe un trou dans des rochers, brun clair, au fond duquel j'aperçois de l'eau. Je descends acrobatiquement au bord de l'eau. Je regarde s'il n'y a rien dans l'eau ;des animaux par exemples. Il n'y a absolument rien dans cette eau qui est parfaitement limpide.
Je ressors du trou en escaladant les rochers. J'aperçois alors un groupe, tel des touristes faisant une randonnée, qui viennent vers ce lieu par un sentier. Je poursuis mon escalade devant des proches qui craignent que je chute. Mais je parviens au sommet sans aucune difficulté.

Nous étions une bande de jeunes, or un soir j'ai tué une jeune fille que j'ai enfermée dans un sac en plastique transparent dans un coffre de voiture… Lorsque le crime fut découvert, une vaste enquête a eu lieu, mais je n'étais pas inculpé. Je souffrais intérieurement à l'idée de ce meurtre que je m'expliquais pas, aux conséquences karmiques de celui-ci pour moi si je n'avouais pas, à ma douleur de vivre avec ce remord…
Or, il fut décidé que pour trouver le coupable, il était fait appel au Pape ! Chaque suspect allait devoir passer devant lui. Je me revois dans une sorte de salle qui ressemblait à une cave, et là j'ai vu Jean-Paul 2 descendre jusqu'à moi (plus vrai que nature !) et me tendre une ardoise où je devais écrire. Il me fut alors impossible d'écrire autre chose que "Coupable".
Je fus emmené par la police me protégeant de la colère populaire et du risque de me faire abattre par la famille de la jeune fille que j'avais lâchement assassiné.
J'étais terrorisé par l'idée de la prison que j'allais devoir affronter : je pensais devenir fou dès le premier jour.
Je suis resté en prison très longtemps avec d'autres jeunes, jusqu'à voir apparaître dans la rue à travers la fenêtre la voiture des parents de la victime avec les enfants qu'ils leur restaient dont des petites filles. Ils semblaient m'avoir pardonné et tout souriant, allaient organiser mon évasion dans un grand soulagement général.

Je vois un jeune homme très déprimé, habillé en sombre, qui passe, il a une trentaine d'années. Ensuite, je suis avec un homme de type européen qui est un très gros bonnet dans le trafic de la drogue. Avec un autre homme, ils font main basse au nom de leur organisation sur toutes les propriétés avoisinantes, ils vont construire un aéroport, mais me disent l'homme : il ne servira pas d'aéroport, c'est uniquement un code secret. Je m'indigne, je dis à l'homme : "Vous rendez-vous compte du mal que vous faites. Ce que vous méritez, c'est de recevoir de bonnes fessées."

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Le soir aux informations, j'apprends par la télé que l'Afghanistan est le premier producteur mondial d'opium...