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Le peintre
Reproduction transmise par Mme M. Viderman, le 24/11/10.
Photo prise par Louis Guenot (arrière grand-père de François Bendell), sans doute en 1894.Transmise par Mme M. Viderman, le 24/11/10, et présentée à l'exposition 2004 à Corbigny De gauche à droite : Alice Guenot (future épouse Bendell et grand-mère de François Bendell), Mme Pail née Jean, Édouard Pail et un personnage mal identifié. |
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Biographie d'Édouard Pail
Source : Wikipédia
Édouard Pail est fils d'un peintre originaire du Piémont et d'une mère originaire de sa ville natale de Corbigny (Nièvre). Il est élève du peintre et graveur local Hippolyte Lavoignat, un ami de Camille Corot, et étudie à l'École des Beaux-Arts de Nevers. Iconographie Le ruisseau de Varennes, près Corbigny (Salon de 1870)
Musée des Beaux-Arts, Brest
- Bellier et Auvray, Dictionnaire général des artistes de l’École Française, 2, Paris, Renouard, 1885.
Michèle Viderman, «Edouard Pail, peintre corbigeois». Notes et références 1. Marion Vidal-Bué, Les Peintres de l’autre rive, Alger 1830-1930, catalogue d'exposition, Musée de la Castre, Cannes, 2003. |
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Édouard Pail, peintre corbigeois
par Michèle Viderman
Source : La maison du pays corbigeois De PEIL à l’origine qui devait se prononcer d’une façon un peu particulière pour des gosiers morvandiaux, il avait fait tout simplement PAIL dont la prononciation cette fois leur rappelait quelque chose de familier. Très vite il dut montrer du goût pour les arts et commença tout jeune à faire de la peinture. En profitant tout de même des conseils que lui prodiguait une autre de nos gloires locales, Hippolyte LAVOIGNAT, peintre et surtout graveur, tout en déplorant n’avoir sous les yeux, pour modèles que ses tableaux. Et en réservant son jugement. Il conviendra plus tard que si «Lavoignat était un graveur de talent» il le considérait «comme un peintre plus que médiocre et dont les théories quelques fois bien cocasses» le stupéfiaient lorsqu’il était jeune. (d’une correspondance échangée plus tard avec A. Millien) Quittant Corbigny il put suivre les cours de l’Ecole des Beaux Arts qui existait à l’époque à Nevers. Il expose deux toiles pour la première fois en 1870 au Salon de Paris : «Le ruisseau de Varennes près Corbigny» et «les chaumes de Corbigny». Il a dix-neuf ans. «Mais c’est toujours dans la Nièvre que je reviens travailler avec le plus grand plaisir et je me suis de nouveau réinstallé à Corbigny où je viens tous les ans passer la belle saison» (Correspondance avec Millien). Il habite alors 14 Grande Rue. 1909 et 1910, rien dans les catalogues, il ne semble pas avoir exposé. Expositions Édouard Pail En 2003 et 2004, l’office de tourisme du Pays corbigeois a réalisé deux expositions Édouard Pail dans les salles de l’abbaye de Corbigny. La mairie de Corbigny et plusieurs collectionneurs ont exposé une cinquantaine de toiles réalisées par l’artiste. |
Edouard Pail (1851-1916) : éléments biographiques et tableaux datés
Article très complet rédigé par M. François Bendell, le 2 sept. 2003,
transmis par Mme M. Viderman le 24/11/2010
(à télécharger au format pdf)
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Généalogie de la famille Peil/Pail
Notice rédigée par M. François Bendell, le 19 juin 2002
transmise par Mme M. Viderman, le 24/11/2010
(à télécharger au format pdf)
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Auteur inconnu et sans date
Article transmis par Mme M. Viderman, le 24/11/2010
(à télécharger au format pdf)
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(transmis par Mme Viderman, le 24/11/2010)
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«Les Nivernais aux deux Salons»
in Revue du Nivernais n° 1, 1896-1898, par Edouard Achard
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«Exposition à Nevers en 1876» - Source inconnue
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L'Echo de Clamecy, 26 mai 1901
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Reproduction sous forme de carte postale en noir et blanc, pour l'exposition, du tableau peint par Edouard Pail, exposé au Salon de Paris en 1912. Editeur : Armand Noyer à Paris (mention au verso) (Cliquer sur la photo pour la télécharger au format véritable : 14x9 cm) Tout au fond, peu visibles, la colline et la chapelle du mont Sabot ? Roger R. Carte postale appartenant à Mme Michèle Viderman (Corbigny). Transmise le 27/10/2010. |
Verso de la carte postale
(cliquer pour l'agrandir)
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E. Pail - Le soir au Mont Sabot
The night at Mont Sabot
La reproduction en couleurs sous forme de carte postale
du tableau exposé au Salon de Paris en 1912 (CP non utilisée)
Fonds R. Ripert (Achat Delcampe du 28/2/2011).
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Reproduction du tableau publiée dans le catalogue du Salon de Paris de 1912
(transmise par François Bendell, le 26/2/2012)Édouard Pail (1851-1916)par François Bendell
Article paru dans Vents du Morvan n° 43, été 2012, pp. 24-29, transmis par l'auteur le 13 août 2012. Cliquer sur la couverture du magazine pour accéder à l'article au format pdf. |
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Le port d'Alger *
Ce tableau dont nous ne savons pas la date, a été offert par E. Pail à notre grand-oncle Jean Coulon qui était sculpteur, habitait et travaillait à Ebreuil, son pays natal. Il était assez connu et vivait confortablement de son art. Il vécut de 1853 à 1923 et était donc l'exact contemporain d'E. Pail. On trouve sur Internet une biographie qui semble sérieuse et l'énoncé de ses œuvres dont il reste quelques exemplaires, à Paris, Nice, Vichy,... Voir Wikipedia : Jean Coulon Du fait de l'insouciance de son épouse qui a quitté la belle maison d'Ebreuil et de la guerre qui a détruit à Poitiers des souvenirs de famille et aussi de la dispersion même des membres de la famille, à mon grand regret, je ne peux vraiment vous en dire plus. (Courrier et photos aimablement adressés par Mme Durand, fin mars 2015)
Signature de l'artiste, en bas à droite du tableau * Tableau appartenant à Mme Gisèle Durand, demeurant à Marly-le-Roi.
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LEADER MONDIAL DE L'INFORMATION SUR LE MARCHE DE L'ART
«Moutons dans la bruyère au couchant»
Technique Huile/toile
Dimensions : 38x53 cm
Date de création 1880
Sujet Animaux
Vendu par la Carel Gallery à Miami Beach (USA)
Prix : ?
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