Un espèce de rallye a pieds, une chasse au trésor dans une maison hantée. Je ne connaissais pas les autres participants, mais je sais qu'on n'était pas la pour le plaisir ! Certains livres dégageaient des poisons si on les ouvrait, des tableaux faisaient disparaître si on y touchait, il fallait pourtant trouver des indices sur des bouts de parchemins caches. Il y avait plein de sorciers, démons et fantômes qui nous tendaient des pièges. Je suis arrivée à une énorme pièce a haut plafond où pendait une tenture au milieu. Je m'en suis approchée et elle s'est mise à bouger, un homme fantôme essayait de m'étouffer en m'enroulant dedans.
Heureusement, j'y ai échappe !!! J'arrive ensuite dans une petite pièce avec fauteuils et canapés. Une tenture, un drap un peu transparent sépare cette pièce d'une autre, plus bas, énorme comme un hangar. Je veux passer la tenture, mais le canapé, où le chat qui y est assis (je ne m'en rappelle plus), me parle et dit que c'est un piège par là. Je ne suis pas surprise qu'il parle, je lui fais confiance et je vais dans un autre coin de la pièce. Là, la lumière se rallume, on entend une voix dans les baffles qui dit que le jeu s'arrête momentanément, qu'on fait une pause. Les fantômes et autres démons râlent, soufflent, sont déçus. Mais moi, je suis bien contente. Je tourne la tête, j'aperçois John Malkovitch, démoniaque, tenant quelque chose pour m'étrangler dans ses mains, je sens sa respiration rapide sur mon visage, il hésite à arrêter le jeu comme on le lui ordonne ou a continuer ce qu'il était en train de faire. Je l'entends penser, tellement ses idées sont fortes : "Si près du but !"
Je m'en vais.. Je suis bien décidée à trouver l'intrigue pour finir ce cauchemar, malgré les ordres donnés. Je vais au grenier, il y a une lucarne, je l'ouvre, je regarde en bas : vertigineux. Mais je sens que je touche au but, j'enjambe la fenêtre, je m'accroche, je suis sur le toit. Je tâte la gouttière et je trouve un parchemin. Je sens que c'est le dernier, le final. Je suis heureuse de pouvoir enfin sortir de cet horrible jeu. Une main m'agrippe par le col, me tire près de la fenêtre. C'est un des organisateurs du jeu, il me dit que j'ai triche, que ce que j'ai fait est très mal, que beaucoup de personnes qui cherchaient ce dernier bout de papier sont mortes, je regarde le sol si bas et sa main qui m'accroche...
Je me réveille.

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J'ai aussi rêvé cette nuit qu'on me tirait une balle dans la nuque et un autre rêve ou j'étais captive d'un ogre géant, j'étais son esclave. Je n'arrête pas de faire ce genre de rêve, c'est horrible.
John Malkovitch :
Si j'ai rêve de cet acteur, c'est sûrement parce que j'ai
regarde 2 secondes du film "Ligne de mire" ou il joue le méchant. C'est

J'étais obligée de tenir compagnie au diable de temps en temps, sinon, il ferait du mal a ceux que j'aimais. Il ressemblait au diable dans le film "Légende" (avec Tom Cruise), horrible !!! Plus il m'invitait, plus je devenais démone. J'avais une peur bleue, mais à la fois, j'aimais bien avoir des pouvoirs. Pour m'aider, un lutin ou elfe m'a dit au bord d'une forêt que je pourrais aller demander de l'aide à une reine-fée ou elfe dans le bois, mais je me suis réveillée.

Je suis dans une maison avec un homme (il y a du monde). Tous les deux on fait l'amour parfois sans le voir, j'ai le sentiment que c'est l'amour brusque, voir violent ! On dirait un allemand (comme mon ami). A un moment donné, il dit qu'il va chercher les autres pour qu'ils "profitent" de moi, que je m'offre à eux.
Je ne suis pas d'accord et cherche à m'enfuir. Il fait nuit ?
A la fin, je fuis l'agression, c'est la peur.

Je me trouvais dans la salle d'attente d'un aéroport et je devais prendre l'avion pour Londres, les autres avaient des destinations plus lointaines, comme le Canada. Nos bagages sont arrivés dans cette pièce pour être transvasés dans nos avions respectifs, mais le mien n'y était pas. Introuvables. La salle se vide, les autres ont tout pris leur avion. Alors je suis allée réclamer à l'hôtesse qui était là, j'étais agressive. Il me semble qu'elle m'a dit que ce n'était pas grave. Sur ce, entre un homme qui me donne un récépissé comme quoi mon bagage était bien dans l'avion, alors je lui fais remarquer que ce n'est pas possible puisqu'il est perdu ! Je le sais bien me répond-il mais moi je suis obligé de faire ce papier pour les formalités. Et voilà que je m'énerve encore mais peine perdue. Alors je regarde l'heure indiquée sur mon billet et je me rends compte que c'est 10h30, l'heure d'embarquer, et mon avion n'est toujours pas là. L'hôtesse me dit que ce n'est pas grave, encore une fois, qu'il faut attendre, mais moi je sais qu'il ne viendra pas, et je me suis réveillée... déçue !

Deux grands amis avaient promis de faire le même métier lorsqu'ils étaient jeunes. Ce métier les faisait voyager constamment. Un jour, un des amis (je crois que c'était moi) se trouve devant une entreprise de déménagement ou d'immobilier (c'était pas clair). C'est une grande maison avec une façade qui donne l'impression de cossu, bien installée depuis longtemps. Il vient de découvrir (moi) que c'est son ami d'autrefois qu'il n'avait plus revu qui tient cette entreprise et s'exclame que s'il avait su que son ami avait cessé de voyager, il aurait lui aussi arrêté, qu'il continuait par fidélité pour lui, pour leur promesse ! Cet ami lui dit alors qu'il y a longtemps qu'il a arrêté, presque tout de suite après leur promesse. La femme de cet homme (moi) lui dit alors qu'elle avait toujours su que l'autre avait arrêté mais qu'elle n'avait jamais osé lui dire, mais qu'elle avait cependant gardé des contacts avec l'autre et qu'elle le voyait pratiquement toutes les semaines

Je suis à Servez dans le chalet au rez-de-chausser (là où j'ai vécu avec mon ex, c'était aussi le chalet de mon père). Ce n'est pas bien aménagé, je dors dans la pièce commune sur le canapé. La TV marche. Puis j'ai du mal à me réveiller mais je sais qu'il me faut prendre la décision de partir. Je me rends compte alors qu'il neige en regardant par la fenêtre. Je vois le chasse neige passer et me dis que si je n'en profite pas je ne pourrais plus partir. Alors je vais réveiller ma fille (qui n'a que 2 ans ou à peine, 27 aujourd'hui) qui dort dans la chambre que j'occupais avec mon ex. Elle est réveillée, assise dans son lit et me dit qu'il neige. Je suis frappée que si petite, non seulement elle soit capable de me le dire, mais que volet fermé elle puisse le savoir. Je suis entrain de l'habiller quand mon ex belle-mère arrive, venant voir ce que je deviens. Lorsque je repasse dans le séjour pour l'accueillir je me rends compte que la neige est même tombée dans la maison à travers le toit, que le chalet est en ruine. Ma belle-mère est effarée de voir dans quel état de misère je me trouve et je le lis sur son visage. Et je me sui réveillée (au milieu de la nuit).

Il y avait un grand chef, très beau, très noble et son armée qui avait perdu la bataille et moi j'ai fait je ne sais plus quoi pour racheter son honneur et je n'ai pas réussi. Ensuite je me suis retrouvée dans un bistro d'arabes, je voulais un café. Le patron m'a tendu une soucoupe avec du sucre en poudre mélangé avec du poivre et j'ai tout envoyé promener sachant que c'était méchant et je suis sortie du bistro en pleurant. Et quand quelqu'un lui a fait remarquer que c'était méchant il a répondu : "Ben quoi, y'a eu mort d'homme quand même", et c'est alors que j'ai essayé d'expliquer en pleurant que c'était pour sauver l'honneur de ce chef que j'avais fait ça !

Ça ressemblait à la maison de mon père à Lyon. Je regardais par la fenêtre et une voiture remplie de militaires se trouvait en bas et appelait mon ex-mari. Il y est allé : c'était ses copains qui l'appelaient pour aller en bringue. Ils lui ont demandé de monter dans la voiture. Il a discuté pour refuser, mais il est monté quand même. Alors la voiture a démarré en trombe et est rentrée plusieurs fois dans le mur. Mon ex en est ressorti blessé partout, mais pas trop grave, avec un gradé qui était son chef, et ils sont remontés dans la maison. Il a dit qu'ils étaient saouls et qu'il est monté dans la voiture pour ne pas faire d'histoire, pour arranger les choses.

Un copain de jeux me courait après avec un couteau, autour d'un massif de fleur et voulait me tuer, et moi je le suppliais en lui promettant que j'allais apprendre à rire ! Alors il m'a laissé ma chance

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Rêve que j'ai fais lorsque j'étais très très jeune, c'est un grand rêve dont je me souviens encore aujourd'hui très nettement et je viens juste d'en comprendre toute la signification. Je devais avoir entre 12 et 14 ans.

Dans un rêve où je suis pas conscient de rêver. Pour une raison ou une autre, il fait nuit dans l'appartement où je vis. En général je me trouve en train de changer de pièce. Et tout naturellement constatant la pénombre très importante dans laquelle je suis, j'actionne interrupteur de la pièce pour allumer le plafonnier. Et l'interrupteur est défaillant, aucune lumière ne se produit. Quand ce rêve se produit, je sais que je suis en train de rêver, car je me souviens des échecs antérieurs pour allumer la lumière. Je sais que cela ne sert à rien. Et j'en déduis que : "si cela ne sert à rien, c'est donc que je rêve..."

Commentaires :

C'est un rêve qui se produit de manière récurrente, plusieurs fois dans l'année... Depuis des années ce rêve de mise en échec d'un interrupteur est bien connu des onirologues. Il n'a pas reçu d'explication. Je n'ai pas trouvé non plus d'explication, les années passées. Et nous en avions déjà parlé plusieurs fois.
Ce qu'il y a de nouveau maintenant, c'est que j'ai trouvé l'explication... En effet, maintenant, il m'arrive parfois quand une situation est absurde d''en déduire que je rêve, mais, point plus important, c'est que maintenant dans le rêve lorsque je constate que, quelle que soit la position de l'interrupteur, en position "off ou on", je comprends également autre chose qui dépasse la notion du rêve lucide... Je commence à comprendre, en rêve, que la situation d'inefficacité de l'interrupteur est sans importance, que probablement tout cela n'est qu'illusion, et que "quelque chose" d'autre que le simple rêveur existe,"qui observe", sans être aucunement affecté par cette histoire d'interrupteur, celu-ci ne constituant qu'un facteur qui allume le doute et instaure la compréhension. Sur le plan bouddhiste, cela pourrait signifier que le rêveur commence à se réveiller à une transcendance possible à l'état de rêve, peut-être le passage au perçu vacuitaire de l'esprit.
Pour résumer la situation : la morale de cette histoire d'un interrupteur serait "que pour y voir clair, il faut tout éteindre". C'est mon explication du rêve de "l'interrupteur défaillant".