D'or, à l'aigle de gueules In Armorial historique et archéologique du Nivernais, T. 2, Les blasons des Montmorillon (de)Source : euraldic.com (payante) Après la description du blason figure le nom de l'auteur
• MONTMORILLON Bourbonnais, Nivernais • SALADIN DE MONTMORILLON Bourgogne • MONTMORILLON (de) France • MONTMORILLON (DE) Hector-Antoine, sgr. de Chazolles, demeurant au diocèse de Nevers • MONTMORILLON (DE) • MONTMORILLON Bourgogne (JM24383) • MONTMORILLON François de, escuyer, sr. de Chasselot, cy-devant capitaine des grenadiers au régiment du Plessis Bellière et major de Montmélian. (Elect. de Versailles) • MONTMORILLON (DE) • MONTMORILLON (DE) Originaire du Poitou, avec des branches, an Auvergne, Bourbonnais, Bourgogne, Nivernais • MONTMORILLON Réf: AT.: Tab. Nievre Inv.
Source probable dans l'ouvrage de Jean Martin et Jacques Meurgey : Armorial du pays de Tournus, édité par Laffitte Reprints (1978).
• MONTMORILLON (DE)
Source : Georges de Soultrait, Armorial historique et archéologique du Nivernais, Michot, 1879, Tome 2, p. 99. 2 vol. fig. et pl. in-4 (ouvrage numérisé disponible sur Gallica).
Note de Roger Ripert M. Marchand fait bien référence au blason des Montmorillon figurant sur le tableau de la chapelle castrale de Vignes-le-Haut. Comme indiqué par l'auteur (janvier 2011), son manuscrit a été déposé à la Bibliothèque municipale de Dijon. Blasons de Bourgogne tirés des armoriaux locaux, généraux et manuscrits par Michel Marchand, de 1975 à 2001. Ce travail est en cours d'augmentation par le relevé des sceaux armoriés, pierres tombales et de nombreuses références données par l'héraldique de terrain (tableaux, vitraux, sculptures, bornes, orfèvrerie, etc.) |
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MAISON DE MONTMORILLON
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SALADIN
Broché: 768 pages
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La légende des Saladin de Montmorillon
par Georges de Soultrait «Comme plusieurs races de très anncienne noblesse, les Montmorillon ont une légende que voici : In Epigraphie héraldique, Georges de Soultrait, p. 249. Note RR : ce surnom de Saladin est à l'origine de bien des erreurs généalogiques dans la mesure où certains historiens ont omis de mentionner, outre le surnom, le prénom des différents Saladin de Montmorillon. La "légende" pourrait se rapporter à la troisième croisade (1187-1192), comme il est indiqué dans un article publié dans dans la revue "Mémoires de la société éduenne", nouvelle série, Tome 45, Autun, 1924, p. 252 (source Gallica). * Malek-an-Nasr-Salah-Eddyn |
LE TEMPS DES CROISADES EN MORVANdu XI au XIII ème siècles
En 1187, Philippe Auguste, Richard Coeur de Lion et Frédéric Barberousse participent à la troisième croisade.
Source : le site du Parc naturel régional du Morvan : La spirale du temps |
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Le 31 mars 1146, à Vézelay, Saint Bernard prêche la Deuxième Croisade, en présence du roi de France Louis VII et de la reine Aliénor d’Aquitaine. C’est l’occasion qu’attendait le monarque pour s’investir dans cette mission divine qui lui donnera, il en est sûr, la rédemption de toutes ses infractions aux commandements de Dieu. |
Louis VII dit le Jeune
Louis VII prenant le Croix et Aliénor d'Aquitaine (son épouse)
Source des illustrations : Jean-Marie Borghino
Source : https://www.youtube.com/watch?v=CO4K4CVUnx0
Inscription figurant au-dessus de la porte de l'ancienne infirmerie à Vézelay
... de Louis VII
dit le Jeune
2ème croisade de 1146 [?]
St Bernard
Photo RR du 1/9/15
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Aliénor d’Aquitaine, une reine puissante du XIIe siècleAu XIIème siècle, un mariage entre l’héritier au trône de France et la duchesse d’Aquitaine allait avoir des conséquences importantes sur les rapports entre la couronne de France et d’Angleterre. En 1137, Aliénor alors puissante duchesse d’Aquitaine et comtesse de Poitiers s’unit à Louis VII le Jeune, roi des Francs. Ce mariage, orchestré par Suger le proche conseiller du roi, apporte à la couronne des territoires conséquents et repousse ainsi les frontières du royaume capétien. Les premières années conjugales furent bonnes malgré des personnalités très opposées. Ce bonheur allait être de courte durée. Reine de France et d’AngleterreLouis VII a été élevé à l’abbaye de Saint Denis, n’étant pas destiné à régner, il se préparait à devenir clerc ou moine. De cette éducation, il allait conserver une empreinte monastique évidente qui fera dire plus tard à son épouse :
Le manque d’expérience, qui parfois frise le manque de compétence, fera commettre à Louis VII un certain nombre d’erreur comme la dispute avec l’influent Bernard de Clairvaux ou avec Thibaut de Champagne. Mais ce manque d’habileté politique allait être compensé par sa capacité à savoir s’entourer de personnages éminents. Il faudra la clairvoyance de son fidèle conseiller l’abbé Suger pour contenir et arranger ses maladresses. La piété de Louis VII était évidente mais elle allait prendre un tournant en 1143. Alors en guerre en Champagne contre Thibaut de Champagne, les troupes royales incendièrent une église emplie de la population locale innocente. Marqué et bouleversé par ce drame, la personnalité de Louis VII devient sombre voire mystique. Il lui fallait expier ses fautes, il se décida alors de se croiser. Les époux royaux prirent la route vers Antioche, la seconde croisade débuta en 1147. A leur retour en France, les premiers reproches entre les époux commencèrent. Le bonheur conjugale des débuts s’effrita. Aliénor, lui reprocha son austérité, son ascétisme, Louis, lui reprocha de l’avoir entraîné dans des guerres inutiles, de n’avoir pas été indifférente à quelques seigneurs locaux lorsqu’ils étaient en croisade et surtout de ne lui avoir donné aucun héritier mâle. Brouillés, Aliénor d’Aquitaine et Louis VII veulent se séparer. Son conseiller Suger et le pape Eugène III usèrent de leur influence pour empêcher cette désunion. Les conséquences politiques en seraient désastreuses. A la mort de Suger en 1151, plus rien n’empêcha la séparation, un prétexte de parenté trop proche fut trouvé pour justifier l’annulation du mariage. Louis se remaria et engendra le futur Philippe Auguste qui allait remettre de l’ordre dans la maison capétienne et Aliénor épousa Henri Plantagenêt futur roi d’Angleterre. Cette femme réussit la prouesse de devenir reine à deux reprises. Cette séparation allait avoir des conséquences politiques désastreuses, certains y voient même l’élément déclencheur dans la rivalité entre les rois de France et d’Angleterre.
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Richard Cœur de Lion (à gauche) contre Saladin (à droite)
La 3ème croisade contre Saladin : 1189 à 1192La troisième croisade, qui débuta en 1189 et s'acheva en 1192, est une série d’expéditions menées par Frédéric Barberousse, empereur germanique, Philippe Auguste, roi de France et Richard Cœur de Lion, roi d'Angleterre, dans le but de reprendre Jérusalem et la Terre sainte à Saladin. «Les premiers hôtes de marque qui passèrent à Bazoches à cette époque [fin du XIIe siècle] furent le roi Philippe Auguste et son cousin Richard Coeur de Lion, lorsque quittant Vézelay où venait d'être prêchée la troisième croisade et guidés par le Comte de Chastellux, seigneur de la région, ils se dirigeaient vers la terre sainte. L'empereur [Frederic] Barberousse s'arrêta également à Bazoches.» * * Extrait du Guide du château de Bazoches-du-Morvan rédigé et publié par Arnaud de Sigalas, p. 4. Cahier de 34 pages, non daté. Propriété de Jean-Claude Hernando.
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http://www.richardcoeurdelion.fr/richard_aquitain.html
Richard et la 3ème CroisadeSource : Les Monts de Châlus
La Troisième Croisade fut l’un des évènements marquant de la vie de Richard Cœur de Lion, et l’un de ses faits guerriers les plus connus. Elle marqua le début de son règne, et contribua durablement, ainsi que la capture qui s’ensuivit, à forger le mythe de Richard Cœur de Lion
Un trajet semé d’embuches
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Dispute entre Richard et Philippe à Messine (Guillaume de Tyr, Historia, XIIIème siècle, BNF).
Dispute entre Richard et Philippe à Messine
La conquête de Chypre par Richard Cœur de Lion eut plusieurs conséquences sur la situation des Etats Latins d’Orient. L’île fut ainsi très utile pour le ravitaillement des Royaumes chrétiens de Terre Sainte. Elle servit également de refuge aux barons chrétiens, lorsque leurs possessions en Orient furent définitivement prises par les musulmans au cours du XIIIème siècle. Mais la présence de Chypre a également poussé les barons chrétiens syriens à se désintéresser de leurs possessions sur le continent et à se réfugier sur l’île, ce qui accéléra la déliquescence des derniers Etats Latins d’Orient.
— Richard Cœur de Lion et Guy de Lusignan ( Boccace, De Casibus , XVème siècle, BNF). Richard Cœur de Lion et Guy de Lusignan
Richard Cœur de Lion massacrant les prisonniers d’Acre
Richard seul à la tête de la croisade
Avant de poursuivre sa route, Richard ternit sa réputation en ordonnant le massacre des défenseurs de Saint Jean d’Acre, parce que Saladin faisait trainer le paiement de la rançon, et notamment la restitution de la Vraie Croix, relique sacrée pour les Chrétiens prise pendant la bataille d’Hattin. Cet acte rompit tout contact diplomatique. Il renforça la soif de vengeance des musulmans qui ne montrèrent plus aucune pitié envers leurs propres prisonniers. Richard passa à l’offensive. Il mit en œuvre tous ses talents de stratège et de combattant. Il mena l’armée croisée vers le Sud, accompagné par les ordres religieux militaire des Hospitaliers, et ce qu’il restait des Templiers, décimés pendant la bataille d’Hattin quatre ans auparavant. Les croisés longèrent la côte. Ils ne s’encombrèrent pas de bagages et la flotte assurait leur ravitaillement. Ainsi, lourdement protégés, les chevaliers de l’armée purent résister au harcèlement des troupes de Saladin. Les troupes musulmanes étaient extrêmement mobiles et connaissaient mieux le terrain. En revanche, elles étaient bien moins lourdement armées que les croisés, en grande partie composés de chevaliers équipés de cottes de mailles, de casques et de boucliers. Cependant, les cavaliers turcs de Saladin mirent en œuvre une tactique qui surprit énormément les premiers croisés. Celle-ci consistait à harceler les troupes chrétiennes de flèches puis de simuler une fuite visant à leur tendre un piège en les incitant à les suivre. En masse compacte, disciplinés et bien protégés, les croisés ne connurent que peu de pertes et repoussèrent chaque assaut sans toutefois tomber dans les pièges tendus par les cavaliers musulmans. Les Chrétiens purent ainsi descendre la côte palestinienne et menacer les villes d’Ascalon et de Jaffa.
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Saladin, héros des croisades
Source : http://www.site-du-jour.com/index.html
Celui qui deviendra le héros des seconde et troisième croisades voit le jour à Takrit, en Mésopotamie, en l'an 1137. D'origine Kurde, Al-Malik an-Nâsir Salâh ad-Dîn Yûsuf, dit Saladin, ne commence sa vie politique que vers l'âge de trente ans, alors qu'il accompagne, vers 1167, l'un de ses oncles, Shirkuh (?-1169), appelé par le souverain turc de Syrie Nur ad-Din (v.1117-1174), pour une mission en Égypte. Son oncle décède deux ans plus tard, lui laissant la place de vizir, ce qui donne au jeune Saladin un nouveau pouvoir qu'il va employer à la réalisation de ses projets personnels, contre toute attente, et contre la volonté du prince Nur ad-Din surtout. Intelligent, stratégique et débordant de ressources malgré son inexpérience, Saladin crée des alliances provisoires qui vont le mener de victoire en victoire, lui permettant de repousser les occupants occidentaux, résolu à chasser par tous les moyens cet envahisseur. En 1171, il a la finesse d'esprit de supprimer le califat fatimide et se proclame sultan d'Égypte, ralliant désormais les chi'ites et les sunnites du pays à une même cause. En 1174, après avoir soumis l'Arabie méridionale et annoncé son indépendance définitive du califat abbasside auquel appartenait Nur ad-Din, mort la même année, Saladin entreprend la conquête de la Syrie. Il entre victorieux à Damas et devient régent du pays. Multipliant les avancées et les triomphes, les armées de Saladin gagnent en réputation. Par ailleurs, privilégiant une politique d'alliances avantageuses, le sultan s'engage dans une trêve avec les Francs en 1180, puis conclut un traité avec Byzance l'année suivante. Cependant, Saladin se frotte à un brigand franc qui ne respecte aucun accord et qui attaque les caravanes de pèlerins se rendant à La Mecque. Ce franc, Renaud de Châtillon (1120-1187) suscite la colère du sultan, avec raison, et cristallise en quelque sorte les désirs de vengeance de Saladin à l'égard des Occidentaux. Saladin, héros des croisades Dès 1183, Saladin, gardant en suspens les attaques du fourbe de Châtillon, termine l'unification de la Syrie en s'emparant d'Alep. Entre temps, ses troupes ayant affaibli les positions franques à plusieurs endroits, notamment lors des défaites de Beaudoin IV le Lépreux (1161-1185), roi de Jérusalem, dans la forêt de Panéas ou encore lors de la raclée que subissent les Francs à la bataille de Marj Ayoun, toutes deux en 1179, Saladin a pratiquement encerclé les Occidentaux. Mais comme Saladin a conclu une trêve avec le comte Raimond III de Tripoli (v.1140-1187), on tente de part et d'autre de respecter une paix toute relative. Beaudoin IV meurt (1186), suivit un an plus tard par Beaudoin V, un enfant de dix ans. Le trône de Jérusalem, vacant, ira à Guy de Lusignan (1159-1194). Ce dernier tente de faire respecter en Galilée les mêmes ententes qui figurent à la trêve entre Saladin et Raimond III. Mais Renaud de Châtillon, qui n'a jamais cessé de se comporter en brigand, attaque et pille une nouvelle caravane en 1187, dans laquelle se trouve cette fois la sœur du sultan. Sommé de réparer cet affront, de Châtillon refuse et de Lusignan reste impuissant à le faire obéir. Saladin conçoit dès lors une haine qui ne trouvera apaisement que dans l'extermination des Francs et la mise à mort de Renaud de Châtillon. La célèbre victoire des armées de Saladin sur les forces chrétiennes à Hattin scelle le destin des Occidentaux à court terme, notamment celui de Renaud de Châtillon. Saladin le fait prisonnier avec Guy de Lusignan et quelques autres chefs de guerre, dont des templiers. Les Croisés, affamés et assoiffés, n'ont pu que s'effondrer sous les coups précis des soldats de Saladin. Alors qu'il se retrouve enfin face à ses pires ennemis, le sultan offre à boire à Lusignan, Châtillon reste privé d'eau. Ce geste tout simple indique à Renaud de Châtillon que cette fois, il est allé beaucoup trop loin et que l'heure des comptes est arrivée. Saladin le fait exécuter sans honneur ainsi que les templiers et Hospitaliers capturés. Dorénavant, plus rien n'empêche Saladin de marcher sur Jérusalem et de reprendre la ville sainte à l'ennemi d'Occident. Le 2 octobre 1187, c'est chose faite : Jérusalem redevient possession des troupes islamiques, mais la nature honnête et intègre de Saladin permet aux chrétiens de quitter la ville avec leurs biens sans représailles de la part du sultan. De plus, s'il rend la mosquée de Al-Aqsa aux musulmans, il restitue également le Mur des Lamentations aux juifs et laisse aux chrétiens le Saint-Sépulcre. Chacune des religions se voit reconnue par cette mansuétude. Ce sont d'ailleurs ces gestes de générosité symbolique, tout à l'honneur de Saladin, qui feront énormément pour sa postérité. Désormais craint, mais respecté, Saladin devient le vrai héros des croisades. Toutefois, l'Occident n'a pas encore dit son dernier mot. Le comté de Tripoli résiste toujours, la principauté d'Antioche aussi. Une autre grande ville refuse également de tomber aux mains des soldats de Saladin, défendue vaillamment par Conrad de Montferrat (v.1145-1192), du côté libanais : Tyr. Montferrat, sonne alors l'alerte afin que le pape réagisse et envoie des renforts. L'appel à la troisième croisade est lancé. Les plus grands princes d'Occident y répondent : l'empereur d'Allemagne Frédéric 1er Barberousse (1122-1190), le roi d'Angleterre Richard Cœur de Lion (1157-1199) et le roi français Philippe II Auguste (1165-1223). Malgré la noyade inespérée du redoutable empereur allemand Frédéric Barberousse, Saladin ne parvient pas à maintenir un rythme de conquêtes acceptables contre la nouvelle coalition des armées françaises et anglaises : en 1191, il perd Saint-Jean-d'Acre aux mains des Croisés. Alors Richard Cœur de Lion, courageux et fin stratège, déjoue les pièges de Saladin et prend avantage sur lui à Arsouf. Cependant, Richard ne pousse pas plus loin cet avantage et engage des négociations avec Saladin. Il semble que Saladin éprouve une sorte d'empathie pour Richard, lui dépêchant son médecin personnel alors qu'il est malade, lui faisant également parvenir des chevaux lorsque le sien meurt… Les chroniqueurs affirment qu'en fait, une relation teintée de respect et d'admiration mutuels entre Saladin et Richard aurait tout simplement mené les deux hommes à statuer en termes de paix sur l'avenir de Jérusalem en 1192 : désormais la cité serait de confession musulmane, mais resterait ouverte aux chrétiens qui souhaitent y vivre. C'est peu après le départ de Richard Cœur de Lion que le grand Saladin s'éteint dans la nuit du 3 au 4 mars 1193, à Damas. Par sa détermination et la noblesse de ses actes, Saladin a su convaincre les Occidentaux qu'il n'était pas qu'un ennemi, mais aussi un homme de grande valeur. Sa mémoire est aujourd'hui honorée par de magnifiques statues équestres (notamment à Damas et à Jérusalem), un somptueux mausolée à Damas, restauré en 1898 aux frais de l'empereur Guillaume II d'Allemagne afin de commémorer sa double victoire sur les Français et les Anglais, une province irakienne nommée Salah ad-Din et enfin par de nombreuses chroniques et poésies célébrant sa bravoure et la pureté de son cœur. Les véritables chevaliers de ces tristes croisades n'étaient peut-être pas ceux que l'on croyait… |
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Les chevaliers hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de JérusalemLa commanderie des Templiers du Saulce à Island près de Vézelay (89)
Voir : Le Petit patrimoine Note RR : Parmi les chevaliers de cette Commanderie de la Langue de France, il est mentionné un certain Saladin de Montmorillon, 1524-1525. Voir : Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Oeuvres de l'abbé de Vertot, Histoire de Malte, tome 7, Paris, Lequien fils, libr., 1830, p. 191. Livre au format pdf téléchargeable via Google livres. |
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Photo par Guy MeysenChâteau de Lucenieret famille Saladin de Montmorillon
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Extrait de la brochure Essai génalogique, p. 6Par Ranulf de Montmorillon et Gérard de Villeneuve
La descendance de la branche aînée de Louis de Montmorillon
Document tranmis par M. Philippe Le Grontec, début mars 2016, L'épouse de M. Le Grontec est Anne-Marie de Montmorillon, descendante d'Antoine de Montmorillon, branche cadette des Montmorillon subsistante. Son père était Ranulphe marquis de Montmorillon, auteur du document appelé « Essai généalogique sur la maison de Montmorillon » avec le concours de Gérard de Villeneuve. Anne-Marie de Montmorillon Devant le tableau de la chapelle et la grille du château de Vignes-le-haut Photos R. Ripert du 1/9/2016
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Au sujet du tableau
L'avis de M. Philippe Le Grontec (email du 3 mars 2016)
Réponse de Roger Ripert (email du 21/3/2016)
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Montmorillon (Louis-François-Claude-Saladin, marquis de)Montmorillon (Louis-François-Claude-Saladin, marquis de), chevalier, seigneur de Lucenier (2), né le 18 octobre 1756 de François-Saladin, capitaine au régiment de Royal-Vaisseau et de Marie-Sophie de France d'Anglure; ancien capitaine au régiment de Royal-Normandie-cavalerie, demeurant à la Chapelle-au-Mans et en dernier lieu à Saint-Amour (Jura) (2). Il appartenait à une famille possessionnée en Charollais au XVI e siècle et dont la branche aînée s'était établie à Saint-Amour.
2. Commune de la Chapelle-au-Mans, canton de Gueugnon, arr. de Charolles. Source de l'article : Mémoires de la société éduéenne, Nouvelle série, Tome 45, pp. 252-253, Autun. |
Bibliographie nobiliaire
- Villenaut (Adolphe de Mullot de), Nobiliaire de Nivernois. Familles de gentilshommes fixées en Nivernois et y étant en possession de la noblesse avant 1560, avec notices nivernaises de leurs alliances. Impr. de G. Vallière (Nevers), 1900, deuxième volume, pp. 370-674. [le 1er volume ne se trouve nul part ?!]. |