23/12/08

 

1 H 15 - Au sein d'une nombreuse assistance, je participe à une réunion/conférence sur l'agriculture paysanne, je crois, avec ou du style José Bové.
Je suis assis sur la gauche de la salle, non loin de l'orateur, que j'observe un moment donné, sans intervenir, ce qui n'est pas mon cas habituellement.
Je m'ennuie car je trouve le discours difficile à suivre et inintéressant à mon goût.
Le problème, dans ce type de réunion, c'est que l'on a du mal à en sortir !
Mais je finis par le faire, comme d'autres personnes dans le fond de la salle, éprouvant le sentiment de mon isolement.
Cherchant les toilettes, je m'aperçois que je ne porte pas mes lunettes, me demandant avec anxiété si je ne les ai pas perdues...
Mais je me rends compte aussitôt que je suis en train de rêver et qu'il est normal de ne pas les avoir sur moi. Je me réveille.

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José Bové est une figure notoire du Mouvement altermondialiste. Syndicaliste agricole de la Confédération paysanne et de Via Campesina, il est connu pour ses prises de position contre les OGM et ses actions d'arrachage illégal de plantations OGM, qualifiées de désobéissance civile par ses défenseurs.
Il a été candidat à l'élection présidentielle française de 2007 où il n'a recueilli que 1,32 % des voix.

Lors de cette dernière élection présidentielle, je lui ai apporté mon soutien en participant à la campagne de recherche de parrainages et à l'organisation d'un meeting local, à Lormes, axé sur l'écologie et la nourriture bio.

Paradoxalement, dans mon rêve, je me sens pas à l'aise au sein de ce meeting bovéiste dont la forme trop classique (distanciation entre l'orateur et son auditoire) ne me convient pas.

Il est vrai qu'en tant que "rêveur" (défenseur mal considéré des valeurs de l'Etat de rêve), je me suis toujours senti marginalisé dans le domaine politique...

 

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2. 4. Amis du voyage

5 H - M'adressant à un petit groupe d'amis, je parle de Matthieu et de ses voyages.

«Depuis des années que je le connais, il n'a changé en rien son comportement. Il ferait mieux de se trouver une compagne et de s'installer en France en trouvant un compromis ville-campagne...»

A propos de voyage : «Connaissez-vous les plus beaux coins de la planète ? Pour moi, dis-je, ce sont les îles, pas trop éloignées mais pas trop proches non plus du continent (compromis nature-civilisation). En Australie, il y a la Tasmanie. A ce propos, dis-je encore, je devais organiser en Australie un Rêve planétaire avec les Aborigènes australiens (faire un rêve ensemble pour la planète), mais mon ami Alain, avec lequel nous avions commencé à l'organiser, est décédé subitement.»

Puis je pense aux Iles Gili, sans en parler, juste avant mon réveil...

 

Commentaires

Effectivement, Matthieu (dont je n'ai plus de nouvelles depuis quelque temps) travaille en ville pour amasser l'argent qui lui permettra d'entreprendre ensuite un long voyage.

Ce que je rapporte dans le rêve au sujet de mon ami Alain Duval et du Rêve planétaire avec les Aborigènes australiens est tout à fait exact aussi. Il avait pris des contacts avec les Abos vivant près de chez lui, à Brisbane.

Alain était mon grand ami. Ensemble, nous avons fait un grand voyage en auto-stop, de Paris à Katmandou, en quarante-cinq jours, fin de l'année 1966, et séjourné ensemble durant onze mois en Inde. Après notre expulsion de ce pays et notre retour en France, nous sommes repartis voyager au Mexique d'où nous avons été à nouveau expulsés ! Par la suite, on s'est perdu un peu de vue car il s'est installé à Brisbane avec sa compagne australienne, prenant la direction de l'Alliance française de cette ville.

Je n'ai jamais été en Australie. Par contre, je me suis rendu aux Iles Gili avec Wenny, une amie indonésienne; un séjour très agréable.

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La Tasmanie (source Wikipedia)

Peuplé par les Aborigènes depuis 40 000 ans, la Diéménie ou Tasmanie fut découverte par les Occidentaux en 1642 par Abel Janssen Tasman, un Hollandais qui l'appela terre de Van Diémen, du nom d'Antonio van Diemen, gouverneur.
En 1772, une expédition française dirigée par Nicolas Thomas Marion-Dufresne débarqua sur l’île.
James Cook en visita la côte méridionale en 1776. C'est en 1777 que les Britanniques commencèrent à débarquer sur l'île ; en 1784 le, chirurgien Bass découvrit le détroit qui porte son nom et constata que la terre de van Diémen était une île.
1802 - Nicolas Baudin fait une étude d'un mois à Derwent sur la faune.
1803 - La terre de Van Diémen est établie en colonie pénitentiaire.
De 1803 à 1833, le nombre d'aborigènes passe de plus de 5000 à moins de 300. Quarante-trois ans plus tard, c'est l'intégralité de la population indigène qui est anéantie, exterminée par les colons britanniques, l'alcool et la syphilis.

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Tasmanie, voyage au cœur de la nature vierge


Tout au sud de l'Australie, à hauteur des 40èmes rugissants, l'île de Tasmanie préserve jalousement la dernière zone de nature totalement sauvage de la planète.

Inhabitée, inexploitée, cette terre contient certains habitats de plantes et d'animaux uniques au monde. La "Tasmanian wilderness", tel est le nom donné par l'Unesco pour inscrire au patrimoine mondial de l'humanité les 1 380 000 hectares de cette région vierge. Le voyage en Tasmanie sera à coup sûr époustouflant. Non seulement l'exubérance de la nature est sans limite, s'étalant dans un décor de montagnes majestueuses, mais les randonnées réservent des suites de lacs extraordinaires, et les côtes offrent des baies pittoresques. A l'est, des falaises plongeantes cachent des plages au sable doux, dont l'une d'entre elles, Wineglass Bay, est parfois considérée comme l'une des plus belle au monde. Plus à l'ouest, les pics déchiquetés des montagnes contrastent avec la "Terre des 3 000 lacs", où lacs, rivières et chutes d'eau se succèdent. Temple de la nature, la Tasmanie est aussi l'endroit où l'on trouve l'air le plus pur du monde.

Le parc du Freycinet
La côte est de la Tasmanie, avec ses plages de sable fin, sa mer turquoise et son climat ensoleillé, a de quoi faire rêver. Sous ses trois pics granitiques, connus sous le nom de Hazards, le parc national du Freycinet accueille une nature luxuriante. C'est un lieu idéal pour la randonnée, la pêche, la baignade avec les dauphins, la plongée, et même l'observation du diable de Tasmanie, dont le cri semble tout droit sorti des ténèbres.
Le parc national de Cradle Mountain-Lac St Clair
Tout le monde semble d'accord, ce parc est "l'Endroit" à ne pas manquer dans ces régions sauvages de Tasmanie. De somptueux lacs se découpent dans un relief déchiqueté, formant ici ou là des cascades d'eau claire. La forêt tropicale impénétrable dévoile des arbres millénaires. Les majestueux eucalyptus géants jaillissent de la jungle épaisse pour culminer, telle des montagnes vivantes, à près de 100 mètres de haut. Le lac Saint Clair, creusé par deux millions d'années d'érosion glaciaire, est un cadre merveilleux pour la randonnée.

Le parc national de Franklin-Gordon Wild River
Au cœur de la zone sauvage, le parc national de Franklin-Gordon est une région de pics montagneux spectaculaires, de forêts humides, de vallées profondes et de gorges impressionnantes, où grondent de tumultueux torrents.

Source : http://www.linternaute.com/voyager/destinations-hiver/tasmanie.shtml

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Îles Gili (source Wikipedia)

Plage sur l'île de Gili Meno, avec Lombok en arrière-plan

Les Gili sont 3 petites îles (gili veut dire "île" en langue sasak) : Gili Air , Gili Meno et Gili Trawangan, au large de la côte nord-ouest de l'île de Lombok en Indonésie.
Les Gili sont une destination très prisée des touristes en quête de robinsonnades. Elles offrent de nombreux petits hébergements consistant généralement en des huttes. Les habitants locaux vivent généralement dans l'intérieur valloné des îles. Les véhicules à moteur sont interdits par arrêté local, si bien que le mode de transport le plus simple est la bicyclette ou la voiture à cheval appelée cidomo.
Il y a possibilité de faire de la plongée, bien que les prix soient relativement élevés en raison d'un cartel local.