HERBORISTERIE
   

 

HERBORISTERIE

 

La phythothérapie (Dr Nature)

Congrès des herboristes 2016 (IPSN)

Liens

ARH

Projet canadien C-51

Plantes adaptogènes

Flore niverno-morvandelle

Bibliographie

 

Voir aussi :

Santé

Chamanisme

Défense de la nature

Les plantes hypnogènes

Les plantes enthéogènes

 


LA PHYTOTHÉRAPIE

 

L'excellent site du Dr Yves Donadieu n'existe plus :

il a été remplacé par un site de parapharmacie !

 

L'utilisation des plantes médicinales dans le traitement des maladies - ou phytothérapie - est à la fois la plus ancienne et la plus moderne des thérapeutiques qui soit.  

La plus ancienne car, depuis des temps immémoriaux, les hommes confrontés à la maladie ont cherché à y porter remède avec les moyens dont ils disposaient dans leur environnement, c'est-à-dire essentiellement des végétaux. Au fil des millénaires, ils ont accumulé une somme considérable de connaissances empiriques sur leurs bénéfiques vertus, leurs modes de préparation, et sur leurs meilleures indications, savoir transmis de génération en génération, d'abord par voie orale, puis de façon manuscrite, les premières traces connues remontant à plus de 5.000 ans.  

La plus moderne aussi car, depuis quelques décennies, la recherche médicale et pharmaceutique, avec les énormes moyens techniques dont elle dispose dorénavant, étudie les plantes de façon rationnelle et scientifique. Des analyses qualitatives et quantitatives approfondies, l'isolement des principes actifs, des études pharmacologiques de plus en plus poussées, de multiples expérimentations cliniques menées en milieu hospitalier, la mise au point de nouvelles formes d'utilisation parfaitement bien codifiées, débouchent au fil des ans sur des résultats probants qui non seulement viennent confirmer le bien-fondé de l'empirisme séculaire, mais découvrent également de nouvelles potentialités des plus prometteuses pour traiter certaines pathologies contre lesquelles la médecine actuelle reste encore démunie. Raisons pour lesquelles le Ministère de la Santé a reconnu la phytothérapie comme discipline thérapeutique officielle dés 1986.  
     
En matière de phytothérapie, tradition et empirisme se marient donc aujourd'hui avec progrès technique et connaissance scientifique en parfaite complémentarité, afin de prévenir ou de soigner tout "en douceur", mais avec une réelle efficacité, nombre de maladies et troubles habituels de la vie courante encore trop souvent rencontrés - fort malheureusement - dans nos sociétés contemporaines.        

Merci au Docteur Yves Donadieu

Décédé le 27/12/2010

 

Photo Editions Dangles

 

Il y a quatre ans le docteur Yves Donadieu, père de l’Apithérapie, nous quittait.
C’est très exactement le 27 décembre 2010 que j’appris la disparition brutale d’une personne pour laquelle j’avais beaucoup d’affection et avec laquelle j’échangeais beaucoup : le docteur Yves Donadieu.
Ce grand monsieur était à lui seul une encyclopédie des méthodes de soins naturels.

Né le 22 octobre 1936, il publie son premier ouvrage de référence en 1963 aux éditions Maloine dont il deviendra directeur de la non moins célèbre collection «les thérapeutiques naturelles». Il en eut la charge jusqu’au début des années 2000.

Bien connu des milieux médicaux et pharmaceutiques pour la qualité objective de ses nombreux livres, articles et publications sur les thérapeutiques naturelles en général, et plus particulièrement dans les domaines de la phytothérapie, de l’oligothérapie, de l’argilothérapie, de la magnétothérapie, de l’apithérapie* et de l’aéro-ionisation, il a été pendant quatre décennies le chantre des médecines naturelles

Conférencier international, consultant auprès de laboratoires pharmaceutiques et diététiques, collaborateur rédactionnel à diverses revues spécialisées et généralistes, il est auteur d’une vingtaine d’ouvrages dont beaucoup font toujours référence (certains étant même traduits en anglais, allemand, espagnol, italien et japonais).

Ses millions de livres, opuscules, brochures et documents informatifs déjà diffusés démontrent, s’il en était besoin, tout l’intérêt que son travail a suscité, tant auprès du grand public que de nombreux professionnels de la santé.

J’ai en mémoire de longues conversations que nous avons eu ensemble. Nous avons partagé le plaisir qu’il avait eu, le temps de la retraite venu, de créer un site www.01sante.com qui à son époque était dépourvu de tout objectif commercial.

Yves Donadieu était avant tout un humaniste comme on en rencontrait aux siècles des lumières.

C’est lui qui popularisa l’usage de l’argile, du magnésium, de la spiruline (dont il fut le premier à parler), du ginseng (il en fut le promoteur il y a quarante ans) et de l’utilisation d’appareils à production d’Ions Négatifs.
Cependant, c’est encore lui qui «codifia» l’utilisation du pollen, de la gelée royale, tout en présentant le premier, l’usage de la propolis au public français *.

A ce sujet, je sais qu’il vouait un attachement particulier à Monsieur AAGAARD, celui que l’on nomme toujours Monsieur Propolis, simplement parce que tous deux partageaient les mêmes valeurs.

Le Docteur Yves Donadieu nous manque et je suis certain qu’il aurait fait partie des rédacteurs d’Acteur Nature dont il avait un peu la même vision.

Roland Reymondier
Conseiller en produits de nutrition

*Apimondia lui ayant d’ailleurs discerné une médaille d’or honorifique pour ses travaux en ce domaine.

POUR EN SAVOIR PLUS : Livre «La propolis», Editions Dangles, Dr Yves Donadieu


Congrès des herboristes : 23 et 24 avril 2016, à Paris

organisé par l'IPSN


Depuis 4 ans, l’IPSN organise avec ses partenaires le Congrès des herboristes, rendez-vous des amoureux des plantes. Cette année, le IVe Congrès des herboristes aura lieu les 23 et 24 avril 2016 à La Chesnaie-du-Roy, dans le parc Floral de Paris .(Route de la Pyramide, Paris XIIe )

Vous pouvez vous inscrire dès à présent. Voir le programme complet au format pdf.

Sachez déjà que vous pourrez y rencontrer en personne :


Gauthier Chapelle, ingénieur agronome, conférencier international (conférence Ted notamment) et expert du biomimétisme. Cette discipline, qui est aussi une manière de penser, a été présentée au grand public par une universitaire américaine, Janine Benyus. L’objectif est de répliquer le génie de la nature. C’est-à-dire de s’inspirer de 3,8 milliards d’années de technologie adaptative et ainsi d’éviter la surexploitation des ressources naturelles. C’est une pensée qui permet des applications révolutionnaires et durables. Le biomimétisme, c’est une manière de mieux contempler la nature, de mieux la comprendre, de mieux vivre avec elle. Certains diraient que dans un monde incertain aux causes multiples d’inquiétudes et d’angoisses insondables, c’est le début d’un espoir infini. Si vous n’êtes pas à jour sur ce sujet, venez nous rejoindre les 23 et 24 avril 2016… Il est temps. Vous serez doublement récompensé car la conférence que vous prépare Gauthier Chapelle est inédite. Personne avant lui n’avait développé une réflexion croisée entre le biomimétisme, les plantes médicinales et les applications à en tirer pour la santé. Ne ratez pas ce rendez-vous unique !

Philippe Desbrosses, l’un des pionniers de l’agriculture biologique en France. Il est docteur en sciences de l’environnement, créateur de l’association Intelligence verte et fondateur de la Ferme de Sainte-Marthe. Il est aussi spécialiste de l’innovation en agriculture biologique. Il a écrit plus d’une quinzaine de livres sur la terre, l’écologie et les hommes, et il connaît ces trois sujets sur le bout des doigts. C’est un savant et un sage qui vous donnera des solutions pour votre jardin, la ferme de votre grand-père ou des conseils pour cet ami qui, depuis tant d’années, veut lancer son projet de permaculture mais qui hésite encore faute d’avoir rencontré les meilleurs experts du terrain. Cet ami a besoin d’être rassuré ! Venez avec lui et partagez ce Congrès des herboristes ensemble. Bientôt vous profiterez des meilleures simples de la région, cultivées avec science et amour. Elles seront sans herbicides, sans pesticides, sans fongicides, bio et sans OGM.

Michel Pierre, l’un des herboristes les plus connus en France. Il tient l’Herboristerie du Palais-Royal où le tout Paris vient s’approvisionner et prendre des nouvelles de ce qui se passe dans le monde des plantes. C’est chez lui qu’on retrouve l’administration, les journalistes et tous ceux qui souhaitent voir le retour officiel de ce beau métier dont il est une parfaite incarnation. Son herboristerie est à la fois un temps de la tradition où vous retrouverez l’essentiel de la pharmacopée française et un exemple parfait du métier tel qui peut être pratiqué aujourd’hui : une place importante est donnée au conseil nutritionnel, à la relation avec le client qui sait qu’il trouvera les tisanes dont il a besoin, et un ou deux compléments alimentaires si cela est nécessaire. Michel Pierre est le président du syndicat Synaplantes.

Patrice de Bonneval qui a fondé l’Ecole Lyonnaise de Plantes médicinales, a été de tous les combats de l’herboristerie. Présent à tous les niveaux, il a créé l’Herboristerie de Bonneval à Lyon, a été président de la Fédération diététique, a créé Herbaliste sans frontières et déposé en France le nom « d’Herbaliste ». Il est aujourd’hui président de la Fédération des écoles d’herboristerie.

Claudine Luu, fondatrice de l’Institut Méditérannéen de Documentation, d’Enseignement et de Recherche sur les Plantes Médicinales (INDERPLAM) et du laboratoire Phytofrance, a formé la plupart des experts en herboristerie d’aujourd’hui. Véritable gardienne du temple, elle connaît aussi bien les plantes d’Hildegarde von Bingen que la pharmacopée chinoise ou les dernières évolutions d’une législation complexe dans le domaine des plantes.

Jean-François Astier : parlez-lui de la culture de la rhodiola à plus de 2000 m d’altitude et il sera intarissable… Spécialiste des plantes adaptogènes, grand amoureux des plantes et de la nature, il a créé à Loubières un joli jardin où se retrouvent tous ceux qui, passant de la France à l’Espagne, font une halte pour effectuer des stages qui leur permettront d’en savoir plus sur les macérations, les décoctions et les hydrolats. Il est également le fondateur de Natura Mundi et de l’Ecole française d’herboristerie. Il contribue également, en tant que rédacteur, à différentes revues de phytothérapie et d’herboristerie (Plantes & Bien-Être e Plantes & Santé).

Christian Escriva. Savez-vous préparer une alcoolature ? Connaissez-vous vraiment les plantes aromatiques ? L’occasion vous est donnée de rencontrer l’un de nos meilleurs experts dans le domaine. Amoureux des plantes il a aménagé dans les Alpes-Maritimes un espace magnifique de production et de transformatipn des plantes médicinales. (société Le Gattilier). Alors qu’il espérait pouvoir méditer 90 % du temps et travailler les 10 % restants. La réalité s’est montrée moins simple… À force de travail, d’échanges avec les experts et les écoles de plantes, il a acquis un savoir-faire et un savoir-être exceptionnels qu’il partage à travers ses livres et ses formations en phyto-aromathérapie au sein de l’association Hélichryse.

Philippe Andrianne. Pionnier de la gemmothérapie (la thérapie par les bourgeons), il est l’un des seuls en Europe à en maîtriser toutes les subtilités. Chercheur insatiable, son herboristerie à Vielsam, en Belgique, est à la fois une bibliothèque fournie en ouvrages nombreux et rares sur les plantes, un cabinet de bien-être où vous pourrez bénéficier des consultations de l’herboriste, de soins en réflexologie et des mélanges de plantes qui correspondent à vos maux du moment. C’est aussi un centre de formation actif où se retrouvent ceux qui, experts en plantes, veulent aller encore plus loin et maîtriser les secrets des bourgeons.

Dr Danielle Roux. Spécialiste de la phytothérapie et de l’aromathérapie, elle enseigne à l’université de Besançon, est consultante auprès de l’administration et participe à la rédaction de différentes revues sur les plantes.
Elle est rédactrice en chef de la revue Phytothérapie européenne à destination des experts des plantes, mais également rédactrice chez Plantes & Bien-Être. Ses différentes casquettes et sa connaissance scientifique et approfondie des plantes en font l’une des personnes incontournables en phytothérapie.

Christophe Bernard, est naturopathe-herbaliste. Passionné de plantes médicinales, il est avant tout un « passeur d’information ». Il consacre son énergie à partager ses connaissances et son expérience à travers des formations, des livres, des outils et des fiches pratiques, des vidéos etc., qu’il diffuse sur le terrain et sur Internet.
Connaisseur des savoirs ancestraux et de techniques modernes de communication, c’est un conférencier passionnant !

Serge Schall, ingénieur agronome, diplômé de l’école de Montpellier. Il a été directeur d’un laboratoire de culture in vitro, puis directeur commercial d’une pépinière. Depuis une douzaine d’années, il a décidé de mettre ses connaissances à la disposition du grand public. Il a écrit de nombreux livres, participe à différentes revues, a créé le site Internet plume de carotte et partage avec tous son expérience de chercheur et d’homme de terrain.

Seront encore présents : Amanda Jullion, herboriste franco-canadienne, Jean-Patrick Bonnardel, (directeur de l’Herbier du Velay), herboriste renommé en Auvergne, Ida Bost qui a écrit la dernière thèse en date sur l’herboristerie, Olivier Escuder et Josiane Prunier qui représenteront l’Ecole des plantes de Paris,Olivier et Nicole Lhomme, herboristes à Gap, et Jérôme Marchin qui représentera le syndicat Synaplante.
Et ce n’est qu’un petit aperçu. Vous rencontrerez également les représentants de l’ensemble des métiers de l’herboristerie et de la filière. Seront présents pour vous conseiller, débattre avec vous, échanger des idées et des techniques sur les plantes etc., des grossistes, des producteurs, des transformateurs petits et grands, les uns pratiquant l’herboristerie, les autres spécialistes de l’aromathérapie etc.
Car chaque personne citée plus haut est venue au nom d’une structure, d’un projet, d’une école ou d’une ferme. Avec eux viennent des équipes, des partenaires qui soutiennent l’événement (en prenant un stand) dont la société Le Gattilier.

Le Gattilier produit depuis 1984 divers extraits de plantes sauvages ou cultivées dans le cadre de l’agriculture biologique et biodynamique (certifications Ecocert, Nature et Progrès, Demeter) : alcoolatures, extraits de gemmothérapie, macérations solaires, plantes séchées, huiles essentielles, cosmétiques. Elle est installée dans les Alpes-Maritimes à 1100 m d’altitude, dans l’arrière-pays de Grasse. Ses productions ont conservé un caractère artisanal. Vous pouvez les retrouver sur leur site Internet : legattilier.com. Le Gattilier est situé à La Commanderie 06750 Valderoure. L’association Hélichryse (même adresse) propose des stages et des formations.

Je ne citerai pas tous les représentants présents de la filière, mais voici les organisateurs du congrès (Association pour le Renouveau de l’herboristerie, Ecole lyonnaise de plantes médicinales, Herboristerie du Palais-Royal, Inderplam, Natura Mundi et l’IPSN).

L’Association pour le renouveau de l’herboristerie, qui sera représentée par Ferny Crouvisier, milite depuis 1982 pour le retour du diplôme d’herboriste. Puisque la loi ne donne pas de cadre officiel pour exercer ce métier, il y a un risque que les savoirs se perdent. Le meilleur moyen d’y remédier est de proposer des formations de qualité. L’ARH, installée au sein du centre de Terre vivante à Mens (Isère), forme chaque année une centaine de jeunes. www.arh-herboristerie.org

L’Ecole lyonnaise de plantes médicinales, fondée en 1983 par Patrice de Bonneval, s’est donné pour objectif de permettre à chacun d’accéder à la connaissance des plantes médicinales et de leur utilisation, pour un usage familial ou professionnel. Le but de l’Ecole lyonnaise de plantes médicinales est de contribuer à la transmission d’un savoir ancestral, l’herboristerie, complété par les recherches les plus récentes en matière de soins naturels et d’alimentation.www.ecoledeplantesmedicinales.com

L’Herboristerie du Palais-Royal est une boutique d’antan empreinte d’une ambiance de recueillement autour des plantes. Vous pouvez y profiter des conseils avisés pour votre bien-être de la part de Michel Pierre et de son équipe, et découvrir tous les bienfaits que nous offre la nature. Elle est située 11 rue des Petits-Champs, à Paris, dans le 1er arrondissement. www.herboristerie.com

L’Institut méditerranéen de documentation, d’enseignement et de recherches sur les plantes médicinales, IMDERPLAM est un organisme de formation installé dans un grand mas au cœur de la Provence. Il perpétue la transmission d’un savoir ancestral autour des plantes médicinales, à la lumière des découvertes les plus récentes. Son enseignement porte sur la connaissance, la production, le contrôle, la distribution, l’utilisation de la plante médicinale en herboristerie, phytothérapie, gemmothérapie, aromathérapie, homéopathie et médecine chinoise. L’IMDERPLAM a déjà formé plus de 7000 élèves.www.imderplam.com

Natura Mundi, où le métier des plantes médicinales est un héritage, celui des herboristes d’antan. Natura Mundi propose des produits naturels pour la santé. Bien-être, minceur, soin anti-âge, cure antistress, cosmétiques… Ses produits offrent le meilleur des principes actifs des plantes ou des éléments marins : rhodiola, propolis, collagène marin, oméga-3, bois bandé, tisanes, plantes en gélules, crème visage, huiles essentielles… www.naturamundi.com

L’IPSN, notre association sera présente également. Comme vous le savez, nous sommes une association dont l’objectif est de défendre et de promouvoir la santé naturelle dont l’herboristerie fait partie ! Vous êtes plus de 500 000 réunis à travers la Lettre d’information de l’IPSN. www.ipsn.eu

Mais ce n’est pas tout ! Vous rencontrerez aussi des représentants de l‘Herboristerie Cailleau, des sociétés Tortay ou encore de l’Herbier du Velayainsi que des producteurs de plantes médicinales venus spécialement pour vous rencontrer. On sait pourtant combien leur temps est précieux et combien il est difficile pour eux de s’organiser pour participer aux événements publics car les plantes n’attendent pas, et souvent ils n’ont personne pour les relayer dans leur travail. Tous ces professionnels pourront vous conseiller, que vous soyez simplement passionné par la santé naturelle, en quête d’information, porteur d’un projet dans le domaine des plantes ou professionnel vous-même.
Enfin, seront présents également des experts de la filière : Me Flavien Meunier,avocat spécialiste du droit de la santé, ou Jean-Christophe Mano, directeur de Pharmanager. Ils seront présents pour vous donner des éclairages juridiques sur vos métiers, les risques que vous encourez éventuellement mais aussi les lignes qui devraient bouger dans les mois à venir. Vous aurez ainsi tous les éléments nécessaires pour prévoir vos activités, si vous êtes professionnel , ou pour mieux comprendre les tracas quotidiens de votre herboriste, si vous êtes un consommateur de plantes médicinales et de traitements phytos.
Nous profiterons de ces deux journées d’exception pour rendre hommage à Monsieur Pelt. Il fait partie de ceux qui – bien avant tout le monde – ont œuvré inlassablement pour l’écologie. Et mieux que cela, il l’a fait avec bienveillance et optimisme.
Un temps d’échange et d’amitié
Le Congrès des herboristes sera cette année comme un grand forum. L’année dernière nous avions fait passer parmi vous un questionnaire sur le déroulement de l’événement qui recensait également vos souhaits pour l’avenir. Vous avez été nombreux à répondre (merci !) et à exprimer l’envie qu’il y ait davantage d’échanges entre tous. Nous avons donc prévu un maximum d’occasions de pouvoir échanger, et notamment :
Des tables-rondes ou des conférences interactives. En consultant le programme, vous verrez qu’elles sont variées, relativement courtes pour garder une bonne dynamique et toujours ouvertes au public.
Un bar à tisanes : tenu par des bénévoles, ce sera le lieu d’échanges par excellence. Cette année les tisanes seront fournies par Michel Pierre et Natura Mundi. Nous les en remercions !
Un espace forum disposé près du bar à tisanes : vous trouverez un grand tableau de liège où vous pourrez mettre vos annonces, une boîte à idées toute proche pour y déposer vos propositions, et quelques sièges répartis dans cet espace pour vous permettre d’échanger et de construire dès le congrès vos projets avec ceux que vous aurez rencontrés.
Le grand rassemblement
C’est là le but essentiel de ce congrès qui est avant tout votre manifestation. C’est un lieu de retrouvailles neutre qui n’est pas l’événement de l’un, de l’autre ou de telle structure, mais un grand lieu de rassemblement au service de la filière et de ses projets. C’est pourquoi nous avons choisi un thème fédérateur: Comment renforcer et préserver la filière de l’herboristerie ?
Car le savoir-faire de la filière est réparti entre ses différents membres, des plus petits au plus grands, et cette biodiversité est absolument nécessaire à son renforcement et à son maintien.
Afin de donner toute l’envergure qu’il mérite à cet événement, nous avons également scellé des partenariats avec d’excellentes revues spécialisées dans le domaine que vous connaissez bien : Plantes & Bien-Être et Plantes & Santé.

 

LIENS

 

Source d'information en santé naturelle

Voir l'herbier et le guide thérapeutique, notamment

http://www.masantenaturelle.com/

*

Un blog qui fourmille d'infos utiles en phythothérapie

-

Mère nature, le bien-être pour tous les êtres vivants

-

Le blog de Jean-François Astier - Herboriste-Naturopathe

Fondateur de l'Ecole française d'herboristerie

Pour commander des graines :

plantes ethnobotaniques, rares, médicinales et atypiques

-

Partez à la découverte des plantes sauvages...

http://plantes.sauvages.free.fr/index.html

 


ASSOCIATION POUR LE RENOUVEAU DE L'HERBORISTERIE (ARH)

L'Association pour le Renouveau de l'Herboristerie oeuvre depuis 1982 auprès des pouvoirs publics pour la reconnaissance de la profession d'herboriste en France, et la création d'un diplôme européen de phytologue-herboriste. L'Association pour le Renouveau de l'Herboristerie lutte pour :
- l'établissement d'un diplôme de phytologue-herboriste européen,
- le contrôle et le développement du marché des plantes médicinales.
Le diplôme d'herboriste ayant été supprimé arbitrairement, en France, en 1941, il ne reste plus que quelques herboristes diplômés, seules personnes autorisées à exercer en officine d'herboristerie. Néanmoins, toute personne compétente en plantes médicinales et aromatiques, peut gérer une herboristerie, sous la caution d'un herboriste diplômé (actes notariés).
4500 herboristes en 1941 une dizaine aujourd'hui ! Le temps presse. La demande de soins par les plantes a plus que doublé ces dix dernières années, en France. Plus de 85% des plantes actuellement consommées dans notre pays sont importées. Pourtant, la productions des plantes médicinales sur le sol français, métropole et territoires d'Outre Mer, est non seulement possible, mais d'excellente qualité. Les soins par les plantes sont d'un coût de revient bien inférieur à celui des médicaments de synthèse. La France est le seul pays d'Europe qui néglige le marché des plantes médicinales, conséquence défavorable pour la balance économique. L'état français favorise la vente de plantes dont la qualité et les propriétés échappent à tout contrôle. Non seulement, il existe une forte demande de plantes médicinales en France, mais de nombreuses personnes souhaitent exercer un métier relatif à ces plantes : cultures, productions, contrôles sanitaires, recherches, laboratoires (phytopharmacie, cosmétologie, diététique, industries de parfum...) ethnobotanique, technico-commercial... Aussi, créer une infrastructure autour de l'herboristerie serait une source de création d'emplois. L'Association pour le Renouveau d'e l'Herboristerie oeuvre, depuis 1982, auprès des Pouvoirs Publics pour la reconnaissance de la profession d'herboriste en France, et la création d'un diplôme européen de phytologue-herboriste. En attendant, elle dispense, pour tout public, un enseignement supérieur à distance, ouvert au Rectorat de Paris, encadré par des scientifiques des Universités des Sciences, de Pharmacie ou de Médecine. Elle organise des stages de botanique et sorties sur le terrain, ainsi que des travaux pratiques en salles, en été.

Association pour le Renouveau de l'Herboristerie

183 rue des Pyrénées - 75020 Paris
Tél. : 01.43.58.66.48 - Fax : 01.43.58.66.96

 

 

CONGRÈS DES HERBORISTES À LYON 2014

 

LE 17/05/2014 À 10:15 JUSQU'AU 18/05/2014 À 17:30

L'Ecole Française d'Herboristerie est partenaire du prochain Congrès des Herboristes qui aura lieu à Lyon, les 17 et 18 mai au Pavillon du Parc de la Tête d’Or. Organisé par des herboristes pour toutes celles et tous ceux qui se passionnent pour les plantes médicinales. Il aura pour thème : « Herboriste, un métier d’avenir !».

Le prochain Congrès des Herboristes aura lieu, à Lyon, les 17 et 18 mai prochains, au Pavillon du Parc de la Tête d’Or. Organisé par des herboristes pour toutes celles et tous ceux qui se passionnent pour les plantes médicinales. Il aura pour thème : «Herboriste, un métier d’avenir !».

Le but de ce Congrès est de favoriser les échanges avec le public, de parler de l’avenir de l’herboristerie en France, d’oeuvrer pour la reconnaissance de ce métier en plein renouveau et de le faire (re)découvrir au grand public.L’herboristerie est un secteur très dynamique qui offre de réelles perspectives de création d’emplois, tant pour les jeunes que pour un public en reconversion professionnelle. Ces deux journées ont pour objectif de donner la parole aux acteurs de l’herboristerie autour de conférences, tables rondes et débats, avec 4 temps forts :

- Conférence de Jean-Marie Pelt

- Lancement de la Fédération Française des Ecoles d’Herboristerie

- Rencontre avec une herboriste anglaise, membre du réseau Herboristes Sans Frontières

- HSF

- Table ronde finale : « Quels moyens pour exercer demain le métier d’herboriste ? »

Contacts Presse :

ELPM : Bérengère-Emma Foyard [email protected] - 04 78 38 84 35

Françoise Guinois -Pillet [email protected] - 04 78 38 84 35

IPSN : Augustin de Livois - [email protected]

Natura Mundi : Rachel Pimenta - [email protected]

 

Pour vous incrire, aller à l'Institut pour la Proctection de la Santé Naturelle (IPSN)

 

PROJET CANADIEN C-51


Le projet de loi canadien C-51, du 8 avril 2008,
interdira la vente de 60% des produits de santé naturels !

Ne laissez pas l'industrie pharmaceutique faire une chose pareille au Canada

 

Par canadafreepress.com

Au Canada, un projet de loi mis de l'avant par l'industrie pharmaceutique vise à proscrire jusqu'à 60 % des produits de santé naturels actuellement vendus au pays, allant même jusqu'à criminaliser les parents qui donnent des plantes médicinales ou des suppléments à leurs enfants.

Le projet de loi, connu sous le nom de Bill C-51 et présenté par le ministre canadien de la santé le 8 avril 2008, propose des changements radicaux à la Loi canadienne sur les aliments et drogues et qui pourraient avoir des conséquences dévastatrices sur l'industrie des produits de santé naturels.

Parmi les modifications proposées par le projet de loi on retrouve des modifications radicales aux définitions dont, entre autre, le remplacement dans le texte de loi du mot «drogue» par «produit thérapeutique», donnant ainsi de plus grands pouvoirs au gouvernement canadien afin qu'il puisse réglementer la vente de toutes les plantes médicinales, les vitamines, les suppléments et autres produits semblables. Par cette simple modification linguistique, tout ce qui est «thérapeutique» devient automatiquement régi par la Loi sur les aliments et drogues. Ça pourrait même inclure l'eau embouteillée, les bleuets, les feuilles de pissenlit et la quasi-totalité des substances dérivées de plantes.

La loi modifie également la définition du mot «vendre» afin d'inclure à cette définition toute personne qui donne de tels produits thérapeutiques à quelqu'un d'autre. Ainsi, une mère qui donne des plantes médicinales à son enfant pourrait, en vertu des nouvelles définitions proposées, être arrêtée pour avoir fait la «vente» non permise et non autorisée de «substances thérapeutiques.» Vous pouvez en apprendre davantage au sujet de ces modifications proposées visant à restreindre les libertés sur le site anglais «Stopc51.com» : http://www.stopc51.com

De nouveaux pouvoirs d'exécution donnés au gouvernement canadien permettront de saisir votre maison ou votre entreprise

Par la même occasion, ce projet de loi C-51 qui rend illégal les plantes médicinales, les vitamines et les suppléments, accordera de nouveaux pouvoirs «d'exécution» alarmants aux délateurs des forces de l'ordre qui prétendent «protéger» le public contre les effets néfastes et non autorisés des «produits thérapeutiques» tels que, par exemple, les feuilles de pissenlit. Tel qu'il est expliqué sur le site anglais http://www.Educate-Yourself.orgwebsite (http://educate-yourself.org/cn/canadian ...), le projet de loi C-51 permettra aux délateurs des forces de l'ordre du gouvernement canadien:

• de perquisitionner votre maison ou votre entreprise sans mandat;

• de saisir vos comptes bancaires;

• d'imposer des amendes allant jusqu'à 5 millions de dollars et une période d'emprisonnement allant jusqu'à 2 ans et ce, simplement pour avoir vendu des plantes médicinales;

• de confisquer votre propriété et de vous facturer les frais d'entreposage encourus pour stocker les produits qu'ils vous auront volés.

Le projet de loi C-51 criminaliserait même les simples herbes séchées qui se retrouvent dans votre cuisine et qui seraient susceptibles d'être utilisées dans un produit ayant des propriétés médicinales. Ce sera désormais considérée une «activité contrôlée, » et toute personne qui se livrera à de telles «activités contrôlées» sera arrêtée, condamnée à une amende voire même emprisonnée. Les autres «activités contrôlées» comprennent l'étiquetage des bouteilles, la récolte des plantes sur une ferme, la cueillette des herbes dans votre cour arrière, ou même des essais sur vous-même de produits à valeur médicinale ! (Oui, pratiquement toutes les activités impliquant des plantes médicinales ou des suppléments seront criminalisées ...)

Mais il y a bien plus. Le projet de loi C-51 représente la «solution finales» du gouvernement canadien contre l'industrie des produits de santé naturels. C'est un effort désespéré qui vise à détruire cette industrie qui menace les bénéfices et la viabilité de la médecine conventionnelle.

La médecine naturelle fonctionne si bien parce qu'elle devient tellement utilisée, que les gouvernements canadien et américain ont décidé d'attaquer cette industrie en votant de nouvelles lois qui ont pour effet de criminaliser toute personne qui vend de tels produits. Ils ne peuvent tout simplement pas tolérer qu'il soit permis aux consommateurs d'avoir un accès simple et facile aux produits naturels. S'ils ne faisaient rien, cela représenterait finalement la destruction de l'exploitation criminelle de l'industrie pharmaceutique, son délabrement et la corruption qui l'entoure de même qu'à ceux qui exploitent de manière criminelle le gouvernement, afin qu'il tente de la protéger.

Article original en anglais, "Canada's C-51 Law to Outlaw 60% of Natural Health Products", publié le 30 avril 2008.Traduit par Dany Quirion pour Alter Info

Sources :

- http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=8850

- http://www.mondialisation.ca/

Note du traducteur :

Deux partis politiques sur la scène canadienne s'associent à ce mouvement visant à contrer l'adoption du projet de loi C-51, soit :

- le Parti Vert (français) : http://www.greenparty.ca/fr/releases/12.05.2008

- le Parti Action Canadienne (anglais) :

http://www.canadianactionparty.ca/cgi/page.cgi?aid=1070&_id=128&zine=show

Mardi 20 Mai 2008
[email protected]
Source :
http://www.alterinfo.net

*

Produits de santé naturels : un projet de loi controversé

par Martin LaSalle


PasseportSanté.net - 15 mai 2008 – Le gouvernement canadien envisage d’accentuer la surveillance des produits alimentaires et thérapeutiques, dont "les produits de santé naturels" (PSN). Mais le projet de loi qu’il a présenté soulève des craintes chez certains observateurs qui le jugent trop coercitif.

Présenté le 8 avril 2008, le projet de loi C-511 prévoit l’instauration d’une homologation progressive des produits thérapeutiques, comme c’est le cas pour les produits pharmaceutiques : on évaluerait donc en continu les effets – positifs et négatifs – des produits thérapeutiques, tant avant qu’après leur homologation.

Pour les fabricants, cela signifie qu’ils devront produire des études et des rapports à intervalles réguliers auprès des autorités.

L’intention du ministre canadien de la Santé, Tony Clement, est de «passer d’un système de réglementation réactif à une approche proactive» [sic] . Son projet de loi s’inscrit d’ailleurs dans le Plan d’action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation, annoncé en décembre 2007 par le premier ministre Stephen Harper.

Les principaux produits visés par le projet de loi C-51 : les aliments, les médicaments, les produits de santé naturels et les produits cosmétiques.

Des pouvoirs accrus et une surveillance en continu

De nouveaux pouvoirs découleront de cette loi, si elle est adoptée. Par exemple, le ministre de la Santé pourra ordonner le rappel d’un produit s’il juge que celui-ci présente un risque grave ou imminent de préjudice à la santé.

Les inspecteurs de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) bénéficieront aussi de pouvoirs élargis. Ils pourront « pénétrer dans une propriété privée et y circuler sans encourir de poursuite », de même qu’« examiner les dossiers contenus dans les ordinateurs et utiliser le matériel de reproduction » là où ils effectuent des inspections1.

Le projet de loi prévoit aussi des sanctions plus sévères pour les fautifs. Les amendes prévues varient de 250 000 $ à 1 million $, tandis que les peines d’emprisonnement vont de six mois à trois ans, selon l’infraction commise.

Une approche trop coercitive

On estime que 71 % des Canadiens ont déjà utilisé un produit de santé naturel (PSN). Au pays, on dénombre environ 42 000 produits différents sur le marché des PSN, lequel était évalué à 2,5 milliards $ en 20052.

L’Association canadienne des aliments de santé (ACAS) – qui réunit des producteurs d’aliments et de produits de santé – n’est pas en désaccord total avec le projet de loi C-51. Elle juge toutefois qu’il comporte des lacunes importantes, dont l’absence d’une procédure d’appel de la décision du ministre ou d’un inspecteur. L’organisme souhaite aussi une limitation des nouveaux pouvoirs dévolus aux inspecteurs de l’ACIA3.

Mais pour l’ACAS, c’est la définition même des produits naturels qu’il faudrait revoir, jugeant que ceux-ci ne sont ni des aliments ni des médicaments. L’organisme souhaite que le gouvernement les considère comme des produits à part, relevant d’une réglementation spécifique.

C’est aussi l’avis du pharmacien Jean-Yves Dionne, spécialiste des produits de santé naturels. «L’approche préconisée dans le projet de loi C-51 est trop coercitive et continue de soumettre les produits de santé naturels aux mêmes règles qui s’appliquent à l’industrie pharmaceutique», déplore-t-il.

Selon lui, cette approche risque de freiner l’innovation dans le domaine des produits de santé naturels et des produits alimentaires locaux, en raison du coût onéreux qu’exige la production d’études et de rapports.

Soixante pour cent des PSN, illégaux ?

Par ailleurs, certains groupes d’intérêt allèguent que l’adoption du projet de loi C-51 rendrait illégaux près de 60 % des produits actuellement sur le marché. Selon eux, les exigences prévues au projet de loi obligeront les petits fabricants et distributeurs à fermer boutique. Souhaitant bloquer l’adoption du projet de loi, ils font circuler une pétition.

Notes

1. Pour accéder au résumé du projet de loi C-51 : www.parl.gc.ca. Pour accéder au projet de loi intégral : www2.parl.gc.ca [consultés le 15 mai 2008].
2. Rapport sur l’état de l’industrie des produits de santé naturels en 2005 : fiche d’information, ACAS, septembre 2005. Le document est accessible à l’adresse www.chfa.ca [consulté le 15 mai 2008].
3. Pour en savoir plus : www.chfa.ca [consulté le 15 mai 2008].

 

 

Les 10 meilleures plantes adaptogènes


Source : Ma santé naturelle



On appelle "adaptogène" une plante dont les effets principaux permettent à l'organisme de lutter contre les effets néfastes du stress.

Elles augmentent la résistance et la vitalité de l'organisme. Elles stimulent les défenses naturelles et procurent un effet de bien-être et d'énergie retrouvée. Les plantes de ce type sont souvent efficaces pour stimuler la fonction sexuelle.
Cette dénomination de "plante adaptogène" aurait été définie par un scientifique russe dénommé Lazarev. Celui-ci cherchait à définir le type d'action de plantes ayant le même genre d'action que le ginseng.

Utilisation des plantes adaptogènes :
Les femmes enceintes, allaitant et les enfants, ne devraient pas consommer de plante adaptogène. Pour la posologie, suivre les recommandations de chaque fabricant. Ces plantes sont offertes sur le marché sous différentes présentations. La plus pratique étant la présentation en ampoule (c'est également la forme qui permet d'offrir des concentrations plus fortes de plante). Certaines préparations offrent un mélange de différentes plantes adaptogènes.

Pour une cure de prévention en d'entretien, suivre les recommandations du fabricant. Pour une cure lors de grande faiblesse ou de stress intense, vous pouvez doubler la dose prescrite, durant une période n'excédant pas deux semaines. Ensuite, arrêtez complètement pour deux semaines. Après cette pause, recommencer, si nécessaire, la dose d'entretien normale. Après 6 semaines, si il est nécessaire, vous pouvez recommencer la double dose (mais toujours après avoir fait une pause de deux semaines).

Il est parfois plus efficace de choisir une préparation contenant un mélange de plantes (mais ce n'est pas nécessairement toujours la meilleure solution. Seul l'expérience vous donnera à connaître la meilleure formule pour votre cas).



Les 10 plantes adaptogènes les plus populaires

Le Ginseng (Panax ginseng) Le ginseng chinois.
Il s'agit de la plante adaptogène de référence. Il procure une action revitalisant et est recommandé à toutes les personnes qui manquent de vitalité. Il est efficace pour améliorer les performances tant physiques qu'intellectuelles. Le ginseng est également un excellent supplément pour lutter contre la fatigue, la dépression et le stress. Il permet de faire face aux exigences de la vie moderne, caractérisées par son rythme trépidant.

Éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus) (ginseng russe).
Il aurait des effets stimulants sur le système nerveux central et sur les surrénales. Il aide l'organisme à s'adapter aux situations de stress. Il protégerait également des radiations. Il possède également une action immunostimulante en agissant sur la production de lymphocytes. Il aurait également des effets hypoglycémiants. On le recommande particulièrement pour lutter contre les effets du stress, la grande fatigue avec hypotension artérielle.

Ashwaganda (Withania somnifera) Le ginseng indien.
L'ashwaganda est une plante indienne utilisée depuis plus de 2000 ans en médecine ayurvédique. On l'appelle également le ginseng indien. Cette plante a également été utilisée traditionnellement comme aphrodisiaque. On mentionne son utilisation dans le Kama Sutra comme stimulant de la fonction sexuelle. Cette plante est surtout réputée pour ses propriétés reconstituantes et adaptogènes contre les effets du stress. L'ashwaganda exerce également une action régulatrice sur la glande thyroïde.

Le Cordyceps
Le Cordyceps est utilisé en Chine depuis des siècles, principalement pour augmenter la longévité. Il repousse le seuil de la fatigue et augmente l'énergie. Il accentue l'endurance et améliore les performances physiques et mentales. Comme la plupart des plantes adaptogènes, il augmente l'efficacité du système immunitaire. Les études, en double aveugle, effectuées sur plus de 1000 hommes et femmes ont démontré un effet tonique sur les fonctions sexuelles déficientes.

Le Tribulus
Le tribulus est une plante utilisée en Inde depuis des millénaires. Elle pousse cependant un peu partout dans le monde. Le tribulus favorise le développement musculaire et augmente la force et l'endurance physique. Il combat la fatigue générale.
Selon des études pratiquées en Bulgarie entre 1982 et 1983, l'extrait de tribulus ferait augmenter les taux de divers stéroïdes hormonaux ce qui pourrait avoir un effet favorable sur la libido et la force physique. D'autres études, plus récentes, effectuées des chercheurs de Singapour, ont démontré que l'extrait de tribulus possède des effets positifs sur le comportement sexuel des rats et des lapins.

Le Rhodiola
Le rhodiola est une autre plante aux propriétés adaptogènes qui semble s'adapter à tous les besoins de l'organisme. Il atténue considérablement les méfaits du stress et accentue la mémoire. Il permet une meilleure récupération suite à un effort physique. Il favorise une meilleure gestion du stress. Comme toute les plantes adaptogènes il exercerait une action favorable sur la fonction sexuelle.

Le Maca
Le maca est une plante connue depuis longtemps des paysans des hauts plateaux péruviens. Il combat la fatigue chronique et il accentue les performances physiques. Il régularise l'équilibre hormonal chez la femme et il accentue les capacités reproductrices chez l'homme et la femme. Il améliorerait la libido, soit l'énergie sexuelle de même que la fonction érectile chez l'homme.
Sur le plan médicinal, le maca renferme des tanins, des saponines et des alcaloïdes (macamides et macaenes). Le maca contient aussi des isothiocyanates et des glucosinolates qui lui confèrent ses propriétés aphrodisiaques et tonifiantes, améliorant l'ensemble des fonctions de l'organisme. Le maca, que certains n'hésitent pas à appeler le Viagra naturel, agit cependant de façon bien différente. Alors que le Viagra produit son effet à très court terme et comporte des effets dangereux, le maca agit à plus long terme grâce à ses propriétés tonifiantes.

Shisandra (Schizandrae chinensis).
Le Schisandra est une des principales plantes toniques chinoises. Très efficace en période de stress, il redonne de l'énergie. Les baies tonifient les reins et les organes sexuels, protègent le foie, renforcent le système nerveux et purifient le sang. Le Schisandra est un tonique général puissant qui stimule le système nerveux ; il accroît la vitesse des réflexes et améliore la lucidité.
Les baies seraient efficaces en cas de dépression ; elles diminuent l'irritabilité et freinent la perte de mémoire. Finalement le Schisandra est aussi connu comme stimulant sexuel, aussi bien masculin que féminin ; il est réputé pour augmenter les sécrétions sexuelles. Chez l'homme, il améliore également la libido.

Le Suma (Pfaffia paniculata)
Le Suma est d'un usage récent dans la panoplie de l'herboristerie occidentale. On réfère souvent le Suma comme le Ginseng brésilien. Les premières analyses chimiques révèlent qu'il contient des vitamines A, E, B1 et B2, 19 acides aminés, dont la lysine, l'histidine, l'arginine et la glycine, ainsi que de petites quantités de calcium, fer, potassium et sodium. On l'utilise notamment pour ses qualités dans les cas de bronchites et ses propriétés anti-inflammatoires.

La gelée royale
Ce n'est pas une plante, mais un produit de la ruche. Cependant ses effets sont comparables à ceux des plantes adaptogènes. Les personnes déprimées, épuisées, dévitalisées, les neurasthéniques, les perpétuels fatigués, en tirent une euphorie incroyable. Aliment de réconfort instantané, ses effets reconstituants sont rapides et durables.
La gelée royale contribue à relever le moral des personnes déprimées et anxieuses par une augmentation de la force physique Elle procure une sensation de détente et diminue la tension nerveuse Elle lutte contre les troubles de la vieillesse en stimulant les fonctions glandulaires défaillantes ou épuisées, particulièrement chez les adultes en état de fatigue continuelle après 40 ans et chez les convalescents sans énergie
La gelée royale est particulièrement recommandée lors des périodes de fatigue, d'épuisement ou de surmenage. On peut alors la prendre pendant deux semaines consécutives. Elle redonne force, dynamisme et joie de vivre.

Un moyen naturel de contrôler les effets du stress
Le stress et ses effets peuvent parfois devenir très difficiles à supporter et le bien-être que l'on peut ressentir à la consommation de plantes adaptogènes, ne pas être suffisamment rapide. Dans ce cas, la pratique de techniques simples de respiration et d'exercices de relaxation, tels que ceux pratiqués lors de la Relaxation Psychosomatique, peuvent apporter un soulagement immédiat. De plus la pratique de ces techniques permet d'affronter en tout temps les situations stressantes en d'en contrôler les effets négatifs. Les techniques de relaxation sont des outils incontournables pour contrecarrer les processus biologiques reliés au stress qui peuvent conduire à la maladie ou à la dépression. Ces techniques permettent également de réparer les dommages déjà causés à l'organisme par le stress.

 

FLORE NIVERNO-MORVANDELLE

Corydale solide

Plante trouvée dans le sous-bois à Pierre-Perthuis, aux Deux-ponts (89)

Photo RR du 13/3/14

Plante trouvée dans le sous-bois à Pierre-Perthuis, aux Deux-ponts (89)

Photo RR du 12/3/16

Les feuilles, caractéristiques, sont bien visibles sur cette photo

 

Corydale solide - Corydalis solida (L.) Clairv.

Description
Plante vivace, à tubercule et à tige solitaire, haute de 20 à 30 cm, dressée et non ramifiée. Les feuilles semblent disposées par 3, à segments incisés, tendres et sans poils. L'inflorescence est une grappe terminale simple et allongée de 10 fleurs purpurines, rarement blanches.

Biologie - Habitat
Cette plante fleurit de mars à avril sur sols argileux. Elle s'observe dans les haies, décombres, taillis, sous-bois et lisières.

Répartition - Statut
Espèce à distribution continentale, peu fréquente en France, en général à l'étage montagnard de la plupart des massifs et dans les bois frais proches des ruisseaux. Elle est très rare dans les vallons du Morvan, de l'axe du Charolais et du Val de Loire, par contre, elle est commune, en général, dans les haies et vallons des reliefs calcaires, selon les régions, en Bourgogne.

Menaces
Espèce non menacée à court terme en Bourgogne, mais menacée par les enrésinement en Morvan.

Plante médicinale toxique dont les graines sont disséminées par les fourmis.

Source : Parc naturel régional du Morvan

Voir aussi : Fleurs sauvages de l'Yonne

 

Dactylorhiza incarnata

Dactylorhiza incarnata

Marigny sur Yonne (58)

PhotoRR 19/4/9

 

L’ÉTOILE BLEUE

Scille à deux feuilles

 

Inflorescence violacée
Deux feuilles et fleurs bleues

 

Plante trouvée dans le sous-bois à Pierre-Perthuis,
aux Deux-ponts (89) - Photo ci-dessus

Photo RR du 15/3/15

 

Inflorescence blanche ou violacée

Sous-bois à Pierre-Perthuis,

Photo RR du 12 mars 2016

 

Source : WIKIPEDIA

 

L'étoile bleue

La Scille à deux feuilles (Scilla bifolia) est une petite plante bulbeuse printanière à fleurs bleu violacé, de la famille des Liliaceae selon la classification classique. La classification phylogénétique APG II (2003) la place dans la famille des Hyacinthaceae (ou optionnellement dans celle des Asparagaceae); la classification phylogénétique APG III (2009) la classe dans la famille des Asparagaceae. Elle est parfois appelée Étoile bleue mais on trouve parfois des individus aux fleurs blanches.

Habitat, distribution
La scille à deux feuilles pousse dans des sous-bois frais, où elle fleurit de mars à avril. Elle est commune dans le centre et l'est de la France, jusqu'à 1 500 m d'altitude. La plante forme de petites colonies dans des lieux généralement boisés, humides, souvent collinéens à montagneux.

Source : Fleurs du sud

Noms français et famille
Scille à deux feuilles, Étoile bleue.
Famille des Asparagacées.
Angiospermes Monotylédones.

Présentation
La scille à deux feuilles est une plante qui enchante la froide forêt au tout premier printemps, si tôt qiue bien souvent on la manque, comme son compagnon, Erythronium dens-canis (qui fleurit encore un peu plut tôt). Elle pousse dans toute la France mais ne résiste pas à la chaleur du sud, où elle se cantonne aux monts.

Étymologie : Du grec scullein «nuire», le bulbe de la scille officinale (devenue Urginea maritima) étant d'après Coste un poison violent (il contient du scillarène, un cardiotonique, et donne le scilloroside, un raticide). Quant à bifolia, c'est une allusion à une caractéristique qui distingue l'espèce des autres

 

 

Grande Ciguë : Conium Maculatum


Description et Toxicité de la Plante

Source : https://www.dangereux.fr/grande_cigue_conium_maculatum_description_et_toxicite_de_la_plante.html

La grande ciguë ou ciguë tachetée est une mauvaise herbe originaire d'Europe qui s'est largement répandue au Nord des États-Unis et au Canada. 

Cette plante (Conium maculatum L.) fait partie de la grande famille des Apiacées (Ombellifères). Elle est attrayante avec ses feuilles vertes foncées et ses têtes de fleurs blanches, mais elle est extrêmement toxique ! 

Comment reconnaître ou identifier la grande ciguë sur le bord de la route ? Quelles substances toxiques renferme-t-elle ? Quels sont les symptômes ou signes d'une intoxication provoqué par la Grande Ciguë ? Dans le cas d'un empoisonnement volontaire ou accidentel, quel traitement doit être administré d'urgence ?

Description de la grande Ciguë - Caractéristique Générale

La grande ciguë est une plante herbacée bisannuelle qui pousse entre 1,5 à 2,5 m de hauteur, avec une tige verte creuse et lisse, généralement striés de rouge ou de violet sur sa moitié inférieure.

Toutes les parties de la plante sont glabres (sans poils).

Les feuilles sont alternes et pennées trois et quatre fois, finement divisées et dentelées, globalement de forme triangulaire, jusqu'à 50 centimètres de long et 40 centimètres de large. 

Les fleurs sont petites, blanches, groupées en ombelles de 10 à 15 centimètres dans l'ensemble. 

Cette plante pousse bien dans des zones ombragées, humides, les pâturages et les zones humides. Ils poussent le long des ruisseaux, des rivières, des ravins, des fossés ou dans un sol qui est constamment humide et à la lumière du soleil; mais ils peuvent aussi s'adapter facilement à des endroits plus secs et les plus ombragés. 

Puisque la grande ciguë fait partie de la même famille que la carotte et le fenouil, certaines personnes la prennent pour une plante comestible mais HEUREUSEMENT son odeur désagréable, rappelant l'urine de souris, les dissuade rapidement d'en consommer. 

Substances Toxiques Renfermées dans la Grande Ciguë

La grande ciguë est une plante toxique qui représente un réel danger pour l'homme et l'animal à cause des alcaloïdes volatiles qu'elle renferme.

Conium maculatum renferme en effet les 5 alcaloïdes suivants : la conine (le plus important), la conhydrine, la pseudoconhydrine, le méthyl-éthyl-coniine et la pipéridine.

Les Effets de l'Empoisonnement Provoqué par la Grande Ciguë

Une fois ingérée, cette plante empoisonneuse exerce sur le corps une action émétique violente (provoquant des vomissements) et des effets convulsivants, ce qui provoque une paralysie du système nerveux central et périphérique. La mort est généralement le résultat d'une insuffisance respiratoire.

La conine ou coniine (un des cinq alcaloïdes mentionnés plus haut) est une neurotoxine qui perturbe le système nerveux périphérique. Il est toxique pour les humains et toutes les catégories de bétail. Moins de 0,2 g de ce poison est mortel pour les humains, la mort étant causée par une paralysie respiratoire. 

Les symptômes de l'intoxication provoquée par l'ingestion des feuilles de Grande Ciguë (Conium maculatum) se manifestent par des vomissements, des tremblements, des grincements de dent, des problèmes de circulation, un pouls rapide au départ puis lent et faible par la suite, des mictions, une respiration rapide, une salivation importante, des nausées, des convulsions, le coma avant d'aboutir finalement à la mort de l'animal ou de l'individu. 

En Juin 2005, un biochimiste âgé de 32 ans, du nom de Wayne Calderwood, a préparé un "cocktail" en ajoutant une douzaine de feuilles hachées de Grande Ciguë dans de l'alcool avant de le boire pour mettre fin à ses jours. Un examen post-mortem a montré que sa gorge avait rétrécit de 70% et que le décès résultait d'une suffocation.

Traitement de l'Intoxication Provoquée par l'Ingestion

Il n'y a pas d'antidote connu et le traitement de la plupart des intoxications est purement symptomatique.

Le traitement des victimes empoisonnées par Conium maculatum consistera à les prendre en charge en milieu de réanimation : Intubation et ventilation respiratoire ainsi qu'une décontamination digestive. Des anticonvulsivants pourront être administrés en cas de besoin. 

La diurèse forcée (Accélération de l'élimination des substances toxiques) peut être appliquée à prévenir l'insuffisance rénale. L'utilisation de stimulants et de grandes quantités d'eau ont été proposés comme traitements contre le bétail empoisonné. 

Pour les êtres humains, l'administration de boissons alcoolisées, de thé ou de café (aux effets diurétiques) a été suggéré ainsi que l'induction d'un vomissement, avec une cuillère à soupe de sel dissous dans de l'eau chaude..

 

Sources :

http://www.fkog.uu.se/course/essays/conium_maculatum.pdf

http://www.thepoisongarden.co.uk/atoz/conium_maculatum.htm

http://www.gardenguides.com/859-poison-hemlock-

conium-maculatum-information.html


 

 

BIBLIOGRAPHIE

ENCYCLOPEDIE DES PLANTES MEDICINALES

Les utilisations traditionnelles des plantes dans le monde entier, des origines jusqu'à nos jours, et les recherches actuelles. Plus de 550 plantes médicinales. Usages et modes de préparation. Cultiver des plantes et préparer soi-même des remèdes contre les maladies courantes : infusions, décoctions, sirops, onguents... Les dangers de l'auto médication (toxicité de certaines plantes, contre-indications...). La pratique de la phytothérapie (adresses utiles...).

LA PHYTO-AROMATHERAPIE PRATIQUE

Marcel BERNADET

La phyto-aromathérapie est une technique thérapeutique (préventive et curative) associant les plantes (en tisanes, infusions, décoctions...) et les essences de plantes (ou huiles essentielles). Cette médecine par les " simples " remonte à la nuit des temps et est largement remise à l'honneur en notre siècle de chimiothérapie, car elle a l'immense avantage d'être efficace sans être toxique pour le reste de l'organisme (à part certaines plantes dangereuses indiquées dans ce livre), et mérite bien sa place de choix aux côtés de l'homéopathie, de la vitaminothérapie et de l'oligothérapie. L'auteur, ancien herboriste diplômé de la faculté de pharmacie de paris, nous livre ici la synthèse de sa riche expérience professionnelle de 35 années d'applications médicinales des plantes. Dans la première partie " données techniques générales ", il nous décrit minutieusement les diverses formes d'herboristerie médicale (phytothérapie, aromathérapie) et nous fournit tous les renseignements pratiques et nécessaires sur toutes les formes d'utilisation des plantes et leurs diverses présentations (y compris les jus de plantes). Il nous met en garde contre les plantes toxiques, nous instruit sur les qualités à exiger (plantes et huiles essentielles), les précautions d'emploi, leurs origines, production et récolte, leurs modalités de préparation, leur posologie et indications, leurs avantages et inconvénients, leur conservations, etc. La seconde partie "lexique thérapeutique" est un dictionnaire de 530 affections courantes avec, pour chacune, de courts éléments de diagnostic, les traitements phyto-aromathérapiques complets et éprouvés (avec posologie détaillée), de nombreux conseils de diététique et d'hygiène de vie, etc. En annexe, "l'armoire familiale aux herbes" vous indiquera les plantes de base à conserver chez vous en permanence pour parer aux cas urgents (et les plus courants), et de nombreuses "recettes personnelles" vous feront découvrir maints usages des plantes que vous ne soupçonniez pas. Des adresses utiles d'herboristes et un lexique des termes de phytothérapie complètent ce guide pratique. Pour la santé, la beauté, la pleine forme, nos amies les plantes sont à votre service ; ce livre important vous montrera comment les utiliser au mieux

COMMENT SE SOIGNER AVEC L'AROMATHERAPIE

Fabrocini

Technique ancienne fondée sur l'utilisation d'essences aromatiques extraites de fleurs, de fruits et de plantes médicinales, l'aromathérapie existait déjà il y a des milliers d'années en Egypte, en Inde et en Chine. Elle permet de soigner efficacement des dysfonctionnements et des maladies de l'âme et du corps. Dans cet ouvrage, vous découvrirez les propriétés des principales huiles essentielles. Selon les types de maux à soigner (stress, douleurs gastro-intestinales, articulaires ou musculaires, maux de tête, sinusite, allergie, asthme, dépression, grippe, insomnie, lombalgie...), vous apprendrez à utiliser les essences aromatiques les plus efficaces, en usage interne (diluées dans de l'eau, du thé...) ou externe (bains, massages, inhalations, applications locales...). L'absorption quotidienne d'huiles essentielles préserve l'équilibre de notre organisme et son bon fonctionnement. Elles permettent de prévenir et de combattre certaines infections internes, de stimuler le système nerveux, de revitaliser et tonifier la peau... Redécouvrons les vertus de leurs principes actifs et retrouvons d'une façon naturelle santé et joie de vivre.

Ed. De Vecchi, 9 €

 

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