RP 1982 | R P 1990 | RP AN23 | RP 1996 | RP 1997 |
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Rêves partagés AN23/Shared dreams YEAR23
Quels rituels autour du solstice d'hiver ?
Yule, la fête du solstice d'hiverAujourd'hui, on ne célèbre presque plus le solstice d'hiver. Comme l'explique Slate, l'introduction de Noël le 25 décembre par le christianisme a en effet contribué à la disparition de certains rites païens qui avaient traditionnellement lieu ce même mois, dont la fête de Yule, qui marquait chez les peuples germaniques le solstice d'hiver et donc l'arrivée de cette saison des neiges. Cette célébration était ainsi une fête de la lumière puisqu'à partir du solstice d'hiver, les jours commencent à se rallonger. Concrètement, les personnes qui célèbrent aujourd'hui encore la fête de Yule allument des bougies, font des feux, vont ramasser des choses dans la nature, fabriquent des couronnes et s'offrent des cadeaux, le plus souvent faits à la main. |
Voir le fichier SOLSTICES
La carte du ciel
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Voir WIKIPEDIA
1982 : "Le Monde onirique"
1990 : "Rêver pour la Terre"
1996 : "La loi"
1997 : "Le rassemblement"
1998 : "Le vol (la transcendance)"
1999 : "Mort et renaissance"
2000 : "L'alternative"
2001 : "Radiance"
2002 : "La Voie, se fier à ses rêves"
2003 : "La paix"
2004 : "Le réchauffement climatique (l'effet de serre)"
2005 : "Le cri de la Terre"
2006 : "Rêver à l'échelle planétaire"
2007 : "Rêver sans frontières"
2008 : "Faire passer le social avant l'ego"
2009 : "Retour au Temps du Rêve et cauchemar climatique"
2010 : "Rêver ensemble"
2011 : "La clairvoyance (de la chouette)"
2012 : "Fin d'un et/ou du monde ?"
2013 : "Rêver librement ensemble, dans le respect de nos différences"
2014 : "La forêt : zone à défendre"
2015 : "Imagine (en rêve) un autre monde"
2016 : "Rendez-vous sur la planète B."
2017 : "Rêver librement ensemble."
2018 - Au choix :
"Rêver librement ensemble"
"Pour survivre sur le Terre : affronter & résoudre le cauchemar planétaire"
"Rendez-vous sur la planète Onirie"
2019 - Au choix :
"Rêver librement ensemble"
"Collapsologie - Solidarité - Evasion"
2020 - Au choix :
"Rêver librement ensemble"
"Rêver du coronavirus pour l'année 2021"
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Peinture aborigène (by Edna Watson) représentant un camp autour duquel les individus se retrouvent et se réconcilient (mains se rejoignant autour de la Terre et du Feu). |
Publié le 12 janvier 2009 par Aurélia et Michaël
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INCUBATIONDeux thèmes proposés
• CONFLIT EST-OUEST :pour un monde multipolairecessez-le-feu & négociations
Le drapeau blanc est un signe international de paix, de trêve, de négociation d'un belligérant. Ce drapeau est typiquement employé en période de guerre ; des soldats portant ou agitant un drapeau blanc ne doivent pas être attaqués. Il indique à tous qu'un négociateur s'approche désarmé ou a l'intention de se rendre. On attend d'une personne portant le drapeau blanc qu'elle reste neutre et ne s'engage pas dans des actes guerriers. — • RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUECoopérer ou périrhttps://news.un.org/fr/story/2022/11/1129562 « Porte de l’enfer » : le patron de l’ONU va-t-il trop fort sur le climat ?COP28 : le chef de l'ONU exhorte à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossilesLe Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a exhorté lundi les négociateurs à la COP28 à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossiles, estimant que « le moment est venu de faire preuve d'une ambition maximale et d'une flexibilité maximale ».
8 décembre 2023 https://reporterre.net
COP28 : le chef de l'ONU exhorte à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossilesLe Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a exhorté lundi les négociateurs à la COP28 à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossiles, estimant que « le moment est venu de faire preuve d'une ambition maximale et d'une flexibilité maximale ». « Effondrement », « ébullition », « portes de l’enfer »... Le Secrétaire général des Nations unies emploie un vocabulaire dramatique pour parler du climat. Un choix contesté par certains, mais plusieurs médias changent aussi leur langage sur le sujet. Addicte aux énergies fossiles, l’humanité a « ouvert les portes de l’enfer ». Tel est du moins le réquisitoire dressé, en septembre, par le Secrétaire général de l’ONU. Les envolées dramatiques d’Antonio Guterres ne surprennent plus personne. À chaque nouvelle apparition, le M. Climat de la diplomatie internationale use d’adjectifs toujours plus alarmants quant au sort de la planète. Pas plus tard que le 30 novembre, à peine foulé le paillasson de la COP28, le diplomate portugais a mis en garde qui voudrait bien l’écouter de « la catastrophe totale » pointant le bout de son nez. Alors que penser de ces remontrances ? Au sein de la communauté scientifique, certaines voix s’élèvent pour nuancer les propos du patron de l’ONU. « Je dois avouer que parfois son vocabulaire m’interroge, souffle Jean Jouzel. L’urgence est là, c’est indéniable, mais il n’y a pas vraiment matière à parler d’ébullition. » Ce paléoclimatologue fait ici référence à une déclaration d’Antonio Guterres, prononcée à l’heure des chaleurs extrêmes du mois de juillet : « L’ère du réchauffement climatique est terminée. Place à l’ère de l’ébullition mondiale. » L’expression anglophone « climate breakdown », traduite en français par « effondrement » ou « bascule climatique », chagrine aussi. Et pour cause : elle ne renverrait à aucune preuve établie. En septembre 2018, le patron des Nations unies proclamait par ailleurs que les humains avaient deux ans pour agir, face à une « menace existentielle directe ». « Mettre des deadlines, déclarer que dans X années il sera trop tard… Cela n’a vraiment aucun sens », dit Olivier Hamant, biologiste et directeur de recherche à l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement).
Aussi critiquable soit son vocable, personne ne retirera à Antonio Guterres sa sincérité, assure Romuald Sciora. Politologue à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), il raconte que le diplomate a saisi toute l’urgence de la crise climatique lorsqu’il dirigeait le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) : « Il n’y a aucune hypocrisie sortant de sa bouche. Ses convictions sont réelles. » En revanche, le Secrétaire général est parfaitement conscient « du déclin, si ce n’est de la déliquescence » du système multilatéral, poursuit l’expert : « Aujourd’hui, l’ONU est une brindille sur la scène internationale. Elle n’a plus aucune influence décisionnelle, plus aucune influence politique tout court. Alors que reste-t-il à Guterres pour faire entendre sa voix ? » Le changement climatique. D’où la sémantique choc. Cela a-t-il une quelconque répercussion ? Pas sur les grandes puissances, analyse Amy Dahan, historienne des politiques du changement climatique : « Il n’est pas aux manettes, c’est d’une certaine façon un simple lanceur d’alerte. » Preuve en est la dernière assemblée générale, à laquelle les dirigeants russe, indien, chinois, français et britannique manquaient à l’appel. Sur les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, seul Joe Biden a répondu présent. « Une première, insiste Romuald Sciora. Autant dire que les vociférations de Guterres ne semblent pas déranger. Ne nous leurrons pas, ces gesticulations ne servent à rien. » Une révolution sémantiqueLe porte-voix de l’ONU n’est pas le seul à s’être engagé dans une mutation linguistique plus ou moins prononcée. En mai 2019, le journal britannique The Guardian a acté l’abandon de la notion de « changement climatique » dans ses colonnes, lui préférant celle de « crise climatique ». Quelques mois plus tard, l’Oxford English Dictionary désignait « urgence climatique » mot de l’année. En dix ans, les médias français ont rangé au placard les formes interrogatives empreintes d’un certain climatoscepticisme — « faut-il s’inquiéter du changement climatique ? » — au profit d’une certitude alarmante sur l’état du climat. Entamer ce virage sémantique était primordial, considère Olivier Hamant. « Se contenter de conserver notre lexique d’antan revenait à s’enferrer dans l’inaction. Les mots colonisent les esprits. » Le biologiste invite à bannir un vocabulaire toxique, relevant du déni, tel que la croissance verte ou le développement durable. S’il faut retenir une chose des dizaines de travaux produits par la communauté scientifique, c’est que le XXI? siècle sera turbulent, poursuit-il. « Nous quittons la stabilité pour un monde fluctuant, fait de crises sociales, écologiques et géopolitiques. Et cette fluctuation impose d’abandonner les concepts du monde stable dans lequel on vivait, et d’entamer une révolution sémantique. » Reporterre n’est pas à vendre Alors que les alertes sur le front de l’environnement se multiplient, nous avons un petit service à vous demander. Nous espérons que les dernières semaines de 2023 comporteront des avancées pour l’écologie. Quoi qu’il arrive, les journalistes de Reporterre seront là pour vous apporter des informations claires et indépendantes. Les temps sont difficiles, et nous savons que tout le monde n’a pas la possibilité de payer pour de l’information. Mais nous sommes financés exclusivement par les dons de nos lectrices et lecteurs : nous dépendons de la générosité de celles et ceux qui peuvent se le permettre. Ce soutien vital signifie que des millions de personnes peuvent continuer à s’informer sur le péril environnemental, quelle que soit leur capacité à payer pour cela. Contrairement à beaucoup d’autres, Reporterre ne dispose pas de propriétaire milliardaire ni d’actionnaires : le média est à but non lucratif, et ne sera jamais à vendre. De plus, nous ne diffusons aucune publicité. Ainsi, aucun intérêt financier ne peut influencer notre travail. Être libres de toute ingérence commerciale ou politique nous permet d’enquêter de façon indépendante. Personne ne modifie ce que nous publions, ou ne détourne notre attention de ce qui est le plus important. Avec votre soutien, nous continuerons à rendre les articles de Reporterre ouverts et gratuits, pour que tout le monde puisse les lire. Ainsi, davantage de personnes peuvent prendre conscience de l’urgence environnementale qui pèse sur la population, et agir. Ensemble, nous pouvons exiger mieux des puissants, et lutter pour la démocratie. Quel que soit le montant que vous donnez, votre soutien est essentiel pour nous permettre de continuer notre mission d’information pour les années à venir. Si vous le pouvez, choisissez un soutien mensuel, à partir de seulement 1 €. Cela prend moins de deux minutes, et vous aurez chaque mois un impact fort en faveur d’un journalisme indépendant dédié à l’écologie. Merci.
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Instructions aux rêveurs Afin de réussir linduction du Rêve partagé il est conseillé aux participants de suivre les règles classiques de lincubation onirique (voir la rubrique «Le rêve dincubation») durant les trois jours et nuits du Rêve thématique partagé : 1. Au cours de la journée et avant de se coucher, bien simprégner de lappel au Rêve thématique partagé et du support d'incubation choisi personnellement. 2. Juste avant lendormissement et dans un état de relaxation : - Penser à se remémorer ses rêves; - Induire le rêve par une formulation en rapport avec le thème choisi personnellement 3. Au moment du réveil, noter le rêve le plus fidèlement possible, quel que soit son contenu. 4. Transmettre le récit du rêve dès que possible par courrier électronique : [email protected] (email de l'association Oniros) ou par Facebook Oniros Avertissement
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Composition du rêve planétaire Tous les rêves nominatifs seront adressés par email via Facebook Oniros ou [email protected] pour former un journal électronique spécifique, le «Monde onirique» daté du solstice et consultable par tous sur les membres de Facebook Oniros. N.-B. - Pour assurer la crédibilité du «Rêve planétaire», le rêve induit devra être nominatif (nom réel ou pseudo), daté, avec lheure (en temps universel), si possible. |
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RÊVES A VENIR1
--------- 1.2 Quelques rosés des prés Avant.- Réveil sur les 3 heures. ------- CommentaireDeux rêves très répétitifs...------------------------ Commentaire général sur les Rêves partagés 2023par Roger RipertPar suite de soucis informatiques et de santé, les rêves de cette année 2023 n'ont pratiquement pas été partagés. A noter que les rêveurs semblent ne plus porter d'intérê à la dimension sociale du rêve et la dimension cauchemardesque du conflit est-ouest n'encourage pas à rêver... Espérons que l'année 2024 soit une meilleure année pour rêver et concrétiser nos rêves, de Paix surtout.
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