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LES RÊVES PRÉMONITOIRES

 

Voir aussi Phénomènes psi

I - RÊVES A DIMENSION SOCIALE

II - RÊVES A DIMENSION INDIVIDUELLE

-

Voir le Cours n° 14 de la Formation à l'onirologie :

«Rêves psi et psychosociologie du rêve», par Roger Ripert



I- LA PRÉMONITION A DIMENSION SOCIALE

 

Vous avez fait un rêve prémonitoire à dimension sociale, c'est-à-dire un rêve ayant annoncé un événement à portée sociale avant sa survenue à l'état de veille ou un rêve pouvant annoncer un événement à portée sociale non encore survenu à l'état de veille.

Nous vous invitons à envoyer votre rêve par email au webmestre ou via la liste de diffusion onirama, en indiquant, de manière séparée, l'événement annoncé.

 

TÉMOIGNAGES

 

Posté par Roger Ripert, le 16/10/2014

 

Le Rêve :

«Forte chute de la Bourse, pas prête de se redresser»

 

Rêve du 16 octobre 2014 - Réveil à 3 h 15 ( rêve noté à 6 h 15 après rendormissement).

S1 - La scène se passe à l'intérieur, autour d'une table. Je déclare que «la Bourse a fortement chuté. Elle a perdu 10 % en 10 jours, soit 1% par jour, dis-je. Et j'ajoute, un moyen pour moi de gagner un peu d'argent.»

S2 - Plus tard, à l'extérieur, dans la rue. Je reviens sur mon rêve en le racontant et en ajoutant que la Bourse n'est pas prête de se redresser...

Contexte et commentaires

L'événement annoncé :

Une crise économique/financière durable à l'échelle mondiale ?

Même s'il n'est pas question de krach financier dans mon rêve, comme dans celui du mois de mars 2008 (voir ci-dessous), cette forte chute de la Bourse à Paris, comme sur d'autres places financières, semble bien l'indice d'une crise économique/financière durable à l'échelle mondiale.

En pratique, je ne vois pas comment ce rêve à caractère prémonitoire pourrait me faire gagner un peu d'argent...?
A noter que je m'intéresse pas à la Bourse et que je ne possède pas d'actions.

Ce matin, la presse (en grève de distribution, par ailleurs) annonce la chute brutale du CAC 40, hier.

LesEchos.fr, jeudi 16 octobre 2014

Coup de froid sur les Bourses mondiales


L'indice CAC 40 a plongé sous le seuil des 4.000 points, son plus bas depuis un an.
Les investisseurs se réfugient sur les dettes de l'Allemagne et de la France.

 

Journée noire sur les marchés boursiers. Depuis que le FMI a évoqué un risque de récession dans la zone euro et revu à la baisse ses prévisions de croissance mondiales, le pessimisme gagne les investisseurs. Mercredi, les Bourses ont dégringolé après de mauvais chiffres aux Etats-Unis et alors que la Grèce fait de nouveau parler d'elle. A Paris, l'indice CAC 40 a perdu 3,63 %, glissant sous le seuil symbolique des 4.000 points. Depuis le début de l'année, il recule de plus de 8 %. Les autres places européennes ont été aussi chahutées, de même que Wall Street à la mi-séance. La Bourse n'est pas la seule victime de cet environnement incertain. Les cours du pétrole accusent une forte chute, alors que la demande semble vouée à fléchir. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu à la baisse ses estimations et provoqué un plongeon du prix du baril de brent à son plus bas niveau depuis environ quatre ans. Seule consolation : les taux français et allemand sont exceptionnellement bas. En revanche, ceux des pays du sud de l'Europe grimpent.

LeFigaro.fr

 

Journée noire sur les Bourses en Europe

Par Herve Rousseau

Publié le mercredi 15/10/2014


La Bourse de Paris a fini en très forte baisse de 3,63% ce mercredi, à 3939,72 points, un plus bas depuis la fin août 2013
. Même tendance à Londres, Francfort, Madrid et Milan, où les investisseurs s’inquiètent pour l’économie du continent et la croissance mondiale.

Les boursiers se font peur. Les signes de plus en plus nombreux de ralentissement de la croissance mondiale ne cessent de produire leurs effets néfastes sur les marchés financiers.

Après l’Europe qui connaît un sérieux coup de frein, les Etat-Unis, qui semblaient sortis d’affaire, multiplient les signes de ralentissement.

À Paris, le CAC 40 a creusé ses pertes pendant toute la séance. Il a finalement plongé de 3,63 %, tombant sous la barre des 4000 points, à exactement 3.939,72 points. L’indice parisien a ainsi retrouvé ses planchers de l’été 2013. Signe de la nervosité des investisseurs, l’activité a été particulièrement soutenue, avec plus d’environ 6 milliards d’euros échangés sur les grandes valeurs de la cote parisienne. Les autres places dévissaient à l’unisson : Londres a chuté de 2,83 % Francfort a plié de 2,87 % à la clôture, Madrid a lâché 3,48 % et Milan 4,44 %. Du côté des indices paneuropéens, l’Euro Stoxx 50 a plongé de plus de 3,30 %.

La crise de la dette, dont la page semblait tournée est brutalement revenue sur le devant de la scène, en Grèce. Le pays souhaite en effet s’affranchir plus tôt que prévu de la tutelle du FMI ce qui inquiète fortement les marchés. L’Athex de la Bourse d’Athènes a d’ailleurs perdu 6,25 % mercredi, après avoir déjà chuté de 5,7 % la veille.

Le vent mauvais est venu de Wall Street

Cette fois, le vent mauvais est venu de Wall Street. Le Dow Jones reculait de 1,17 % en séance et le Nasdaq de 0,91 %.

Les mauvaises nouvelles ont afflué de toutes parts mercredi. Les États-Unis semblent rattrapés par le ralentissement de l’économie à l’œuvre dans plusieurs régions du monde. L’activité manufacturière dans la région de New York, traditionnel indicateur avancé de la conjoncture américaine, a fortement ralenti en octobre et les ventes de détail, composante essentielle de la consommation, ont régressé plus fortement que prévu en septembre. Les nouvelles en provenance de la zone euro n’étaient pas plus encourageantes, avec une inflation en Allemagne au plus bas depuis 2010. Même la Chine voit son inflation reculer.

A Paris, les entreprises dans lesquelles l’État détient des participations étaient particulièrement attaquées. Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron a déclaré que le gouvernement prévoit de céder jusqu’à dix milliards d’euros d’actifs de l’État dans les 18 prochains mois. GDF Suez a plongé de 5,42 %, Orange de 4,07 % et EDF de 3,17 %. Comme à chaque coup de tonnerre, les valeurs financières dévissaient également avec Crédit agricole (-5,45 %), Société générale (-5,17 %) ou Axa (-5,27 %).

Face aux mauvaises nouvelles en provenance des États-Unis, l’euro qui avait beaucoup reculé ces dernier temps remontait en flèche à plus de 1,28 dollars.

Les prix du pétrole, bon baromètre de la santé de l’économie mondiale, poursuivaient en revanche leur glissade. Le Brent est tombé sous 85 dollars et perd désormais plus de 25 % depuis la mi-juin.

 

 

Rêve prémonitoire du nouveau pape élu : François 1er

 

Vrai ou faux ?

 

Yolanda

Yolanda de Mena & Alejandro R. de Cabo

 

Pape François : le tweet qui donne la chair de poule
Un Espagnol a fait un troublant rêve prémonitoire

Par Julie Dessagne

Gala.fr - 14/3/13

 

Toute l’Espagne se passionne depuis hier pour un jeune Ibérique qui, la veille de la démission de Benoît XVI, avait prévu dans ses songes ce qui se passerait à Rome….

Hier, la fumée blanche du Vatican annonçait au monde entier l’élection d’un nouveau souverain pontife. Quelques minutes après, l’Argentin Jorge Mario Bergoglio - le Pape François - apparaissait au balcon. Si, jusqu’à la dernière minute, le monde entier s’interrogeait sur l’identité de celui qui trônerait sur Saint-Pierre, suite à la renonciation de Benoît XVI, un jeune Espagnol, Alejandro R. de Cabo, connaissait la réponse depuis un mois.

La veille de la démission de Benoît XVI en effet, cet étudiant en publicité, âgé de 20 ans, a fait un bien étrange songe que sa petite amie, une certaine Yolanda de Mena a partagé sur Twitter le 11 février 2013 au matin. “Mon amoureux s’est réveillé à 4 heures du matin en me disant qu’il avait rêvé d'un nouveau pape appelé François 1er, et voilà que ce matin, Benoît XVI démissionne !”. Si, à l’époque, ce message avait gentiment fait sourire la centaine d’abonnés que comptait la jeune femme, il prend aujourd’hui une autre résonance. Pour preuve, il a fait l'objet de 60.000 retweets depuis hier soir.

Le jeune homme et sa petite amie, premiers stupéfaits de voir que ces prémonitions étaient avérées, ont confié avoir eu “la chair de poule” en le constatant hier. “J'avais pris ça à la rigolade, je n’imaginais pas que cela puisse devenir vrai, le hasard je suppose”, a-t-elle écrit sur le réseau social. Incroyable...

Espagne : il avait rêvé du pape François il y a un mois et l'avait dit sur Twitter

Par Laurent Provost

Le Huffington Post du 14/03/2013


PAPE FRANÇOIS - En Espagne, c'est l'histoire dont tout le monde parle sur Twitter depuis l'élection du pape François. Les twittos espagnols s'enthousiasment pour un rêve prémonitoire, celui d'un jeune madrilène nommé Alejandro R. de Cabo.

Ce dernier aurait fait un rêve la nuit précédant la démission de Benoît XVI en février dernier : il y voyait un nouveau pape et ce souverain pontife se nommait François 1er.

Sa petite amie avait raconté ce drôle de rêve sur Twitter le 11 février dernier, jour de la renonciation de Benoît XVI.

"Cette nuit mon fiancé s'est réveillé à 4 heures du matin en me disant qu'il a rêvé d'un nouveau pape nommé "François 1er" et aujourd'hui Benoît XVI démissionne", confie Yolanda de Mena sur son compte Twitter. À l'époque, son tweet est loin de passionner les foules. Mais lorsque le Vatican a annoncé le nom du nouveau pape, le tweet de cette jeune fille est devenu viral.

Ce jeudi à 13 heures, ce message a déjà été partagé près de 50.000 fois sur le réseau social et les chiffres continuent de grimper.

Le rêveur en question est également sur Twitter sous le nom de @Ardecabo. Il n'est pas médium mais étudiant en publicité ce qui a pu laisser penser à certains qu'il s'agissait d'une manigance pour créer le buzz... le jeune madrilène dément.
Depuis mercredi soir, Alejandro et sa petite amie confient "halluciner" sur ce rêve et l'issue du conclave. "Lui comme moi nous avons la chair de poule, a tweeté Yolanda. J'avais pris ça à la rigolade, je ne pensais pas que cela pouvait devenir vrai, le hasard je suppose."

Ont-ils pensé à parier sur ce nom ? Hé bien, malheureusement pour eux, non. "Nous nous arrachons les cheveux et nous restons pauvres", a déclaré la jeune femme.

 

Prémonitoire : l'Espagnol qui avait rêvé du nouveau pape François
la veille de la démission de Benoît XVI

http://www.slate.fr/

 

Publié le 14/3/2013

Etrange rêve prémonitoire rapporté par El Mundo et l'édition espagnole de l'Huffington Post au lendemain de l'élection du nouveau pape. Le Madrilène Alejandro R. de Cabo aurait rêvé d'un pape nommé François la nuit précédant la résignation officielle de Benoît XVI, le 11 février 2013.

La prédiction aurait pu rester ignorée du reste du monde si sa petite amie n'avait pas eu l'idée de la tweeter le lendemain sur son compte Twitter personnel.

«Mon copain s'est réveillé à 4 heures du matin la nuit dernière en disant qu'il avait rêvé d'un nouveau pape appelé "François Ier" et aujourd'hui Benoît renonce.»

Avec l'élection du nouveau pape en la personne de Jorge Mario Bergoglio et le choix du prénom de François, le tweet s'est depuis propagé de manière virale, avec presque 50.000 retweets au compteur actuellement, sans compter les milliers de commentaires.

Voir aussi le blog de Christiane Riedel

LES RÊVES VOUS DISENT CE QUE VOUS NE SAVEZ PAS

 

 

Posté par Roger Ripert, le 17/3/2008

 

2008 : l'année du krach financier


Chitry Mont Sabot (Nièvre, Bourgogne), le 17 mars 2008

4 H 40 - «Cette année sera l'année de la chute du dollar et du krach financier», dis-je. «Il y a déjà eu une alerte l'année passée.»
M'adressant à un petit groupe de personnes, j'évoque au départ la vente par la Russie de son pétrole en roubles, puis je parle de la pieuvre américaine avec ses tentacules, coupés un à un.
En réponse à mon intervention, quelqu'un dit bien aimer le franc suisse. Je pense à la stabilité qu'il symbolise et aux pièces d'or...

Avant
Une autre séquence au sujet d'un petit sac à dos contenant un objet précieux en bois qui m'est destiné. De la forme d'une flûte, il s'agit d'un objet gravé et décoré, d'aspect ancien et sacré. Je pense qu'il appartenait à mon ami Matthieu, peut-être décédé. Je suis fier d'en être le dépositaire.

Contexte et associations
La veille, en lisant les informations sur le site Alter info, mon attention avait été attirée par un article, justement au sujet de la vente par la Russie de son pétrole en roubles (voir ci-dessous). Ce rêve me semble prémonitoire.

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LA RUSSIE A TRANQUILEMENT COMMENCÉ A VENDRE SON PÉTROLE EN ROUBLES

[New York Times - 27 février, 2008 - Trad. Grégoire Seither]



Les Américains n'avaient pas le coeur à la fête quand le prix du baril de pétrole s'est installé au-dessus des 100 dollars la semaine dernière.
Mais il peuvent au moins se réjouir d'une chose : le prix du pétrole est pour l'instant encore calculé en dollars, c'est d'ailleurs pour cela qu'on a remarqué son passage à trois chiffres.
Mais pendant ce temps, la Russie, pays au deuxième rang mondial des exportations de pétrole après l'Arabie Saoudite, a tranquillement mis en place la transition de son négoce de pétrole Russian Ural Blend, principale exportation du pays, depuis le dollar vers le rouble. Cette transition est progressive et les experts dans ce secteur prédisent un changement lent, si changement il devait y avoir.
L'initiative russe a démarré modestement ce mois ci, essentiellement sur le marché domestique.
Néanmoins, la tentative d'éliminer le dollar des ventes de pétrole russe est une autre initiative illustrant l'attitude défiante et ambitieuse du Kremlin, qui utilise déjà sa richesse énergétique pour affirmer son influence en Europe orientale et dans les anciens pays du bloc soviétique.
“Ils ont vraiment l'intention de le faire,” explique Yaroslav Lissovolik, économiste en chef à la branche de Moscou de la Deutsche Bank. “C'est une de leurs premières priorités.”
Le négoce pétrolier se fait presque toujours en dollars. Ainsi, quand le pétrole du Moyen-Orient est vendu en Asie, par exemple, le prix est défini en dollars.
De la même manière, les contrats pétroliers et gaziers russes avec l'Europe occidentale et avec les anciens pays du bloc soviétique sont libellés en dollars. Gazprom, qui détient le monopole de l'exploitation gazière, a ainsi fixé le prix du mètre cube à 0,179 dollars pour 2008. Pour l'instant Gazprom n'a pas indiqué s'ils comptaient changer la monnaie dans laquelle ils définissent leur prix et abandonner le dollar.
Le résultat de cette hégémonie du dollar dans les échanges énergétiques est que les entreprises et pays qui achètent des produits pétroliers sont encouragés à se doter de réserves financières libellées en dollars, afin de pouvoir payer leurs achats. Cette demande entretenue pour le dollar a pour conséquence de soutenir le billet vert et de permettre aux États-Unis de financer sa croissance et son déficit commercial.
La Russie veut mettre fin à cette hégémonie, au moins en ce qui concerne ses clients, afin de donner de l'importance au rouble, une nouvelle source de fierté nationale depuis que la monnaie russe a gagné 30 % vis à vis du dollar suite au boom pétrolier en cours.
Dans son discours de politique économique du mois dernier, Dimitri A. Medvedev, Premier-Ministre adjoint et probable futur président de Russie en remplacement de Vladimir V. Poutine, a déclaré que la Russie devait se saisir des occasion crées par le dollar faible. (…)
D'autres pays exportateurs de pétrole rechignent également devant le fait de devoir commercer avec un dollar faible.
Depuis 2005, l'Iran, quatrième pays exportateur de pétrole, a tenté de créer une bourse aux matières premières utilisant des monnaies autres que le dollar. L'ambassadeur iranien en Russie a déclaré que son pays pourrait peut-être choisir d'utiliser des roubles pour ses échanges, afin de se libérer de “l'esclavage du dollar”.
Mais certains économistes ne croient pas à ce projet, estimant que la nature exotique de ces contrats libellés en roubles ne leur permettra pas de se maintenir sur un marché global libellé en dollars.
Selon Vitaly Y. Yermakov, directeur de recherche pour les gisements russes et de la caspienne au cabinet Cambridge Energy Research Associates, des contrats d'options sur des barils d'Ural Blend ne deviendraient attractif que si le dollar poursuivait sa dépréciation
“Il y a une grande différence entre la volonté de négocier des matières premières en roubles et la capacité de le faire” explique M. Yermakov.
Mais cela n'empêche pas le Kremlin de tenter le coup.
Preuve du sérieux des intentions du gouvernement, une tour de verre et de marbre est entrain d'être construite sur l'île de Vasilievsky, dans le centre historique de Saint-Pétersbourg. Elle accueillera, sur trois étages de la tour, la nouvelle bourse aux matières premières négociées en roubles. Le directeur de la bourse de Saint-Pétersbourg, Viktor V. Nikolayev, explique que son objectif est d'avancer pas à pas afin de se faire une place sur le marché. Le gouvernement n'a pas l'intention de forcer la main à quiconque, même si l'Etat est le principal acteur dans le marché énergétique russe. (…)
M. Nikolayev a déclaré qu'aucun calendrier a été établi concernant le négoce d'autres produits d'exportation également gérés par la bourse de Saint-Pétersbourg, tel que les céréales, le sucre, les engrais minéraux, le ciment ou encore des produits financiers ésotériques comme les quotas d'importations gouvernementaux pour le boeuf et le porc. Mais tous seront libellés en roubles.
“Ici nous sommes en Russie, et ici la monnaie c'est le rouble, ce n'est pas l'euro et pas le dollar” explique M. Nikolayev. “Nous ne voulons pas être soumis aux fluctuations du dollar.“
“Nous allons commercer en roubles, afin de renforcer notre monnaie” a-t-il déclaré.
http://www.nytimes.com/2008/02/27/business/worldbusiness/27place.html?_r=3&ref

Mardi 04 Mars 2008

Source :
http://www.alterinfo.net

*

Vous avez dit année du krach financier ?

La Bourse de Paris enregistre sa plus forte chute depuis la création du CAC 40 (-9,04%) !

Par Julien GIRAULT

Yahoo - 6/10/2008 - 18 H 43 - La Bourse de Paris a enregistré lundi l'une des plus fortes baisses de son histoire face à l'aggravation de la crise financière, le CAC 40 tombant de 9,04%, la pire chute depuis sa création il y a 20 ans.
L'indice parisien a perdu 368,77 points pour terminer à 3.711,98 points, dans un volume d'échange important de 7,635 milliards d'euros.

Cette chute du CAC 40 dépasse celle enregistrée après les attentats du 11 septembre 2001 (-7,39%). Il faut remonter au 19 octobre 1987, avant la création de l'indice, pour trouver une baisse plus forte du marché parisien (-9,64%).

Les grandes places boursières européennes ont également sombré: Londres a perdu 7,85% et Francfort 7,07%, tandis que l'indice paneuropéen Eurostoxx 50 se repliait de 7,34 %.

Les inquiétudes sur la santé du secteur bancaire européen ont également pesé sur la Bourse de New York dont la chute en matinée a, à son tour, accéléré le repli à Paris.

Non seulement les investisseurs n'ont pas été rassurés par l'adoption et la promulgation du plan Paulson de sauvetage des banques aux Etats-Unis, mais ils dénombrent avec effroi les nouveaux signes de la propagation de la crise parmi les établissement financiers européens.

"La chute d'aujourd'hui s'inscrit dans la foulée d'un mois de septembre détestable : le plan Paulson s'attaque aux problèmes du secteur financier, mais pas à leur impact sur l'économie réelle", a indiqué à l'AFP un vendeur d'actions parisien.

En Europe, les initiatives gouvernementales n'étaient pas davantage de nature à conforter les investisseurs. Faute d'un accord sur un fonds commun de soutien au secteur bancaire, plusieurs gouvernements ont préféré annoncer en ordre dispersé des garanties "illimitées" pour les dépôts des particuliers.

Ces annonces ne constituent pas "le moyen de ramener la confiance sur les marchés financiers", montrant au contraire "qu'un nouveau palier a été franchi dans la crise", expliquent les analystes de Natixis.

"Les marchés ont perdu toute confiance dans le système financier, et découvrent chaque matin que de nouvelles banques sont touchées", renchérit le vendeur d'actions parisien.

Après la cascade de défaillances annoncées la semaine dernière, les banques et compagnies d'assurances allemandes ont accordé dimanche une garantie de 15 milliards d'euros supplémentaires à Hypo Real Estate (HRE), tandis que la banque italienne UniCredit annonçait un plan anti-crise prévoyant une augmentation de capital de plus de 6 milliards d'euros.

Par ailleurs, la banque franco-belge Dexia, partiellement nationalisée la semaine dernière, a vu son titre dégringoler (-20,29% à 6,81 euros), victime des incertitudes sur son avenir, après l'annonce de la prise de contrôle par BNP Paribas du bancassureur en difficulté Fortis en Belgique et au Luxembourg.

Crédit Agricole a perdu 10,04% à 13,84 euros, Société Générale 11,83% à 60,52 euros, Natixis 16,04% à 2,25 euros et Axa 13,10% à 20,07 euros.

BNP Paribas, qui vient de prendre de contrôle de Fortis en Belgique et au Luxembourg, n'a cédé que 5,39% à 67,50 euros.

Les pétrolières et parapétrolières ont souffert du nouveau repli des cours du brut : Total a abandonné 8,91% à 38,85 euros, Vallourec 16,07% à 112,49 euros, Bourbon 12,79% à 25,84 euros et CGG Veritas 15,56% à 16,60 euros.

Dans les hautes technologies, Capgemini a perdu 12,77% à 29,00 euros et Dassault Systèmes 12,26% à 33,14 euros.

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La chute libre des Bourses européennes !



20minutes.fr - 6/10/8 - Les retombées de la crise financière n'en finissent pas d'ébranler l'Europe. Comme tous les lundis depuis la débâcle de Lehman Brothers, les bourses européennes sont en chute libre à la fermeture et Wall Street a ouvert en baisse, suite aux derniers développements du week-end, qu'on peut lire ici, ici ou ici.

18h: les Bourses européennes clôturent en forte baisse
Après la Bourse de Paris à -9,04%, la Bourse d'Amsterdam termine en baisse de 9,14%. La Bourse de Londres clôture, elle, à -7,85%, l'indice vedette Footsie-100 perdant 4.589,19 points. L'indice vedette Dax de la Bourse de Francfort termine à 7,07% à 5.387,01 points, contre 5.797,03 points vendredi à la clôture. L'indice vedette de la Bourse de Milan, le SP/Mib, finit quant à lui la séance sur une chute de 8,24% à 23.776 points.

17h47: A son tour, le gouvernement portugais annonce qu'il va «garantir» l'épargne des particuliers dans le pays face à la crise financière.

17h37: Le CAC 40 clôture en baisse de 9,04%, pire chute depuis sa création, le 15 juin 1988.

16h40: le gouvernement islandais annonce qu'il va garantir tous les dépôts effectués dans les banques commerciales et d'épargne islandaises ainsi que ceux faits dans leurs filiales.

16h39: Le CAC 40 enregistre une chute historique de 7,79% à 3.762,97 points.
Il s'agit de la plus forte baisse en séance de l'indice phare de la Bourse de Paris depuis le 20 octobre 1987 (-8,7%).

16h30 Nicolas Sarkozy rassure, encore [sic]
Dans une allocation depuis l'Elysée, le président français a répété que «l'Etat prendrait toutes les mesures nécessaires pour protéger les déposants», comme dans d'autres pays européens. Alors que les ministres de l'Economie et des Finances de la zone euro doivent se réunir à Luxembourg ce lundi, Nicolas Sarkozy a assuré que «face à la crise, l'unité de l'Europe est réalisée» et que «chacun d'entre nous prendra toutes mesures nécessaires pour assurer la stabilité du système financier». Le chef de l'Etat a ajouté que cette déclaration était «commune» aux 27 membres de l'UE.

16h24: La Bourse de Paris chute fortement
Le CAC 40 abandonne 7,66%, dans un marché plombé par les inquiétudes sur l'extension de la crise financière en Europe et tiré vers le bas par Wall Street.

16h06: Le Dow Jones tombe sous les 10.000 pts pour la 1ère fois en quatre ans
Ll'indice n'a pas clôturé sous les 10.000 depuis 5 ans). Vers 16h15, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) lâchait 3,11%, soit 320,82 points, à 10.004,56 points. Il était tombé quelques minutes auparavant à 9.983,38 points. Le Nasdaq, à dominante technologique, perdait 4,01% (78,12 points) à 1.869,27 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 cédait 3,85% (42,32 points), à 1.056,91 points.

14h20: La Fed allonge la monnaie
La Réserve fédérale américaine vient d'annoncer qu'elle allait augmenter sa ligne de refinancement offerte aux banques de 300 milliards de dollars, pour les mois d'octobre et de novembre.

14h15: Nouvelle réunion d'urgence à l'Elysée
Nicolas Sarkozy va convier à 16h30 les dirigeants des principales banques et compagnies d'assurances françaises et le gouverneur de la banque de France.

14h10: Rome parle pour l'UE
Selon des sources proches du gouvernement italien, les responsables européens préparent actuellement une déclaration de soutien aux marchés financiers. Une information à prendre avec la plus grande prudence: il y a quelques minutes, Berlin a formellement démenti les propos de Silvio Berlusconi, qui confiait l'accord de la chancelière Angela Merkel sur la création d'un fonds européen de sauvetage des banques.

«Nous avons dit clairement samedi à Paris que nous considérons que ce n'est pas la bonne voie et nous restons sur cette position. Il n'y a pas de changement», a affirmé le porte-parole du gouvernement. On a frôlé l'incident diplomatique.

14h00: Le CAC 40 dégringole. Il perd 5,50 %, à 3 856,48 points. A Oslo, c'est la bérézina. La Bourse norvégienne est en repli de 8,95% à mi-séance.

11h50 : Moscou dit «stop»
Les échanges ont été interrompus lundi à 11h35 (heure de Paris) sur une des deux bourses de Moscou, le Micex, après une chute de plus de 15% de son indice. L'autre marché moscovite a lui aussi été fermé quelques dizaines de minutes plus tard.

10h: La bourse saoudienne ouvre en très forte baisse
Le marché boursier saoudien, le premier en termes de capitalisation dans le monde arabe, a ouvert lundi en forte baisse après une fermeture d'une semaine, perdant 9,6%, alors que les bourses des autres monarchies pétrolières du Golfe continuaient le recul enregistré dimanche.

9h15: Ce n'est pas la bourse de Shangaï qui va rassurer les marchés
La Bourse de Shanghai a clôturé en baisse de 5,23%, les remous persistants dans le secteur financier aux Etats-Unis ne rassurant pas les investisseurs, après une semaine de fermeture en raison de la célébration de la fête nationale du 1er octobre.

9h06: A Francfort aussi, ça plonge
L'indice vedette Dax de la Bourse de Francfort a ouvert lundi en baisse de 3,29% à 5.606,07 points. L'action Hypo Real Estate lâche plus de 50%.

9h04: La Bourse de Paris touche le fond
La Bourse de Paris a ouvert lundi sur une très lourde chute, le CAC 40 plongeant de 4,67% à 3.890,10 points, affolé comme les places asiatiques par les nouveaux développements de la crise financière en Europe. Son plus bas niveau depuis janvier 2005.

9h03: Londres en forte baisse dès l'ouverture
La Bourse de Londres a ouvert en forte baisse lundi, l'indice Footsie-100 des principales valeurs cédant 1,73% par rapport à la clôture de vendredi. Quelques minutes plus tard, on annonçait déjà une baisse de plus de 5% de l'indice-vedette.

8h30: En Allemagne, ça se complique pour Hypo Real Estate
Le ministre des Finances allemand Peer Steinbrück a déclaré qu'il «ne pouvait pas» exclure une augmentation par Berlin de sa garantie pour la banque immobilière Hypo Real Estate, déjà objet d'un vaste plan de sauvetage de l'Etat et des banques.

La rédaction de 20minutes.fr

 

Krach historique des Bourses !


PARIS (AFP) - 11/10/8 - Les marchés financiers européens et américains ont poursuivi leur chute libre vendredi, au terme d'une semaine noire, s'enfonçant davantage dans un krach historique et accroissant la pression sur les grands argentiers du G7 qui se réunissent en fin de journée à Washington.

"C'est la panique, tout devient absurde, les gens vendent même les vaches sacrées" (valeurs refuges), a témoigné le directeur des ventes de la salle des marchés "Global Equities" à Paris, Xavier de Villepion.

Ni les baisses de taux d'intérêt et injections de liquidité des banques centrales, ni les opérations massives de soutien aux banques sur fonds publics et les garanties de dépôts décidées par les gouvernements, ni les appels au calme des grands argentiers internationaux n'ont pour l'instant réussi à endiguer la déroute générale.

Dans le sillage de Wall Street et Tokyo, les Bourses européennes ont clôturé en forte baisse, Londres chutant de 8,85% et Francfort de 7,01%. Paris a perdu 7,73%, achevant la pire semaine de son histoire (-22,16% depuis lundi).

Les grandes Bourses affichent des reculs dignes de la définition informelle du krach — une baisse des cours de plus de 20% en quelques jours — qui justifient les comparaisons avec les crises de 1929 et 1987.

Les autres marchés européens --de Madrid à Amsterdam et de Lisbonne à Athènes-- ont subi des pertes semblables, tandis qu'à Moscou, les autorités ont préféré carrément ne pas ouvrir les deux marchés, le RTS et le Micex.

Alors que la crise financière menace de plonger l'économie dans une récession synonyme de flambée du chômage, le président George Bush a encore tenté de rassurer. Il a invité les acteurs économiques à rejeter l'"incertitude et la peur" tout en martelant que les autorités américaines avaient les moyens de combattre la crise.

Sous pression, les ministres des Finances et banquiers centraux du G7 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) tenteront dans la soirée de trouver des réponses structurelles à la crise lors d'une réunion à l'issue très incertaine.

La Bourse de New York, après avoir déjà plongé de 7,33% jeudi, a encore dégringolé, le Dow Jones abandonnant peu après 16H00 GMT 4% et le Nasdaq 3,5%, pas rassurés par les propos de George Bush.

Cauchemar général en Asie également. En clôture, Tokyo a subi une nouvelle chute historique de 9,62%, Hong Kong a perdu 7,2%, Sydney et Manille 8,3%, Singapour 7,34% et Bangkok 9,61%.

Depuis le début de l'année, les principales bourses américaines, européennes et japonaises ont perdu environ 40% de leur valeur.

Pour tenter au moins d'endiguer les mouvements spéculatifs qui attisent l'instabilité des marchés, l'autorité boursière italienne (Consob) a pris une mesure radicale en interdisant les ventes à découvert sur les actions (spéculation à la baisse) jusqu'à fin octobre. Le Danemark a voté une loi interdisant également ces ventes de façon provisoire.

Mais ces décisions illustrent aussi l'absence de coordination européenne.

Si les Etats-Unis ont adopté le plan Paulson qui prévoit d'accorder jusqu'à 700 milliards de dollars pour racheter les actifs dépréciés des banques et leur permettre d'assainir leur bilan, les Européens n'ont pour l'instant pris aucune disposition commune de ce genre, privilégiant des plans de soutiens nationaux.

Cependant, les autorités allemandes, qui rejetaient jusqu'à présent tout plan de sauvetage global des banques, qu'il soit d'ailleurs national ou européen, ont assoupli leur position vendredi soir, ouvrant la porte à une harmonisation européenne. "Il faut arrêter avec les solutions au cas par cas", a déclaré le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück.

Le Premier ministre britannique Gordon Brown a appelé à suivre l'exemple du Royaume-Uni dans son plan "révolutionnaire" visant à secourir le système bancaire par le biais de nationalisations partielles.

Le chef du gouvernement espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a demandé à Nicolas Sarkozy, président en exercice de l'Union européenne, de "réunir d'urgence les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Eurogroupe" pour une "action forte et coordonnée" face à la crise financière.

Pendant ce temps, la menace d'une contagion de la crise financière à "l'économie réelle" se précise.

La consommation a reculé au troisième trimestre aux Etats-Unis pour la première fois depuis environ 17 ans, a souligné Alexis Körber de l'institut de conjoncture suisse BAK Basel Economics.

La crise du crédit affecte déjà les secteurs du bâtiment et de l'automobile, qui commencent à détruire des emplois, en Amérique du Nord comme en Europe.

Selon des analystes parisiens, la paralysie du marché interbancaire pourrait aussi provoquer des faillites d'entreprises en chaîne.

Signe d'une inquiétude croissante, les Allemands, confient de plus en plus leurs économies aux caisses d'épargne, malgré une garantie d'Etat pour tous les comptes en banque. Seuls 55% d'entre eux estiment leurs économies en sécurité, selon un sondage.

Autre indicateur des craintes de récession, les cours de l'or noir chutent. Moins de croissance économique signifie moins de demande pour le brut. Le pétrole est passé sous 80 dollars à Londres et à New York, loin de ses records historiques du 11 juillet à plus de 147 dollars.

Les grands argentiers du G7, qui se réunissent vendredi à partir de 18H00 GMT à Washington, auront du mal à parler d'une seule voix, tant les remèdes pour affronter la crise divergent d'un pays à l'autre.

La ministre française de l'Economie Christine Lagarde a d'ailleurs estimé qu'il ne fallait pas s'attendre à ce que le G7 débouche sur "une réponse harmonisée" qui serait "la même pour tout le monde".

"On ne peut pas appliquer la même méthode à des situations de marché différentes. Ce qui me paraît très important, c'est qu'on se mette d'accord sur des principes communs", a-t-elle dit.

Outre le G7 financier et un possible G8, Washington accueillera à partir de samedi des réunions du G20, rassemblant les ministres et banquiers centraux des principaux pays riches et émergents, et les réunions d'automne du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale.

*

A propos de "pieuvre américaine", cette illustration trouvée sur le Net.

Posté le 31/1/9

 

 

Posté à Oniros par Sangrey, le 29/4/2012

Depuis toujours je fais des cauchemars qui s'avèrent dans les jours, semaines, années, vérifiables.
Ce sont toujours des catastrophes à échelle internationale : attentat, accidents maritimes, aériens...
Les détails sont à chaque fois horribles, terrifiants. Je ressens la douleur, la panique, la terreur.
En 2002 souvent je cauchemardais d'un tsunami m’emportant. Je voyais la vague au loin, courir ne servait à rien.
Puis 2004 est arrivé 5 [le tsunami du 26/12/2004 dans l'océan indien, avec des vagues allant jusqu'à 35 mètres de hauteur, causé par un tremblement de terre. Il a fait plus de 200 000 victimes. Voir Wikipedia].

Avant cela «j'ai vu» des accidents d'avions, la mort du roi belge en Espagne...

Depuis quelque temps, «ça» recommence.

Je «vois» un gigantesque tsunami qui va détruire l'Europe. Car je vois la carte.
Puis des tas de drapeaux, je reconnais La France, Le Royaume Uni, l'Espagne...
Il me semble que le tsunami a été causé par un volcan qui se situe dans une région arctique. Je vois l'Islande mais c'est plus haut.
Je ressens l'inéluctable, une panique sans nom car la hauteur de l'eau qui se soulève est prodigieuse.
Des centaines de kilomètres de hauteur.

Commentaire du webmestre

Rêves ou voyance ? S'il s'agit bien de rêves (cauchemars), il aurait été bon de transmettre le récit brut et détaillé du cauchemar en question annonçant le tsunami, daté, avec un titre et des commentaires.

 

 

 

II - LA PRÉMONITION A DIMENSION INDIVIDUELLE

 

Témoignages postés sur le forum "onirama"

 

Les rêves sont partagés à titre informatif et pour d'éventuelles recherches.

Vous pouvez ajouter le vôtre en envoyant un email au webmestre ou sur la liste de diffusion onirama
I -

Posté le 26/11/5
 
En ce qui me concerne, les rêves prémonitoires, uniquement quand j'étais enceinte...
Le 1er, j'étais à quelques jours de l'accouchement. J'ai rêvé que ma petite était née et qu'elle étouffait, elle ne pouvait plus respirer. Effectivement, suite à l'accouchement elle a eu un pneumotorax et est restée sous poche à oxygène quelques jours.
Le 2eme, j'étais donc enceinte de ma 2ème fille, rien n'était décidé au niveau de l'accouchement.
J'ai rêvé qu'on me faisait une césarienne et, en effet, c'est ce qui s'est produit.
 
Voilà mes petits témoignages..

Brigitte

 

Posté le 25/11/5

Bonjour à tous,

Je voulais vous demander si vous croyez aux rêves prémonitoires ?
J'ai une amie qui a rêvé récemment d'un grand serpent noir attaquant sa famille et la semaine même un des membre de la famille s'est effectivement fait attaqué par un serpent...
Mon frère et ma soeur en font également...
Avez vous une explication à ce phénomène ? Peut-on vraiment faire des rêves prémonitoires ?

Chloé un peu curieuse.

-

Merci d'avoir répondu avec des exemples. C'est vrai que je trouve cela troublant également, mais je me demande si cela est vraiment possible ou si ce n'est pas juste une "anticipation" ou quelque chose comme ça...

En tout cas, grâce au forum, je sais que mes rêves traduisent surtout personnellement mes différents état d'esprit, donc le présent, et je me demande si je peux moi aussi faire des rêves prémonitoires.

Si je trouve des articles intéressants je les mettrai sur le forum.

Chloé

 

Posté le 25/11/5 (anonyme)

J'ai tendance à croire un peu aux rêves prémonitoires. Je pense en avoir fait deux fois .
La première fois j'ai rêvé d'une cousine à moi de laquelle nous n'avions pas eu de nouvelles depuis longtemps. Dans mon rêve je la voyais avec sa fille. Quelques jours plus tard nous avons eu des nouvelles d'elle qui n'était pas très bonne puisqu'elle envisageait de quitter son mari.

L'autre jour, il y a peut-être une ou deux semaines j'ai rêvé d'une voisine que nous n'avions pas vue depuis longtemps et le lendemain je crois elle est venue nous voir . Je ne sais pas si cela signifie quelque chose ou non car je n'en ai pas beaucoup d'exemples.

Une amie à moi a aussi rêvé cet été qu'une terrible épidémie venue d'Asie envahissait le monde entier. Dans son rêve elle voyait une carte du monde de laquelle on pouvait voir que cette maladie avait commencé en Asie et se propageait un peu partout. Nous n'en sommes pas encore là mais étant données les circonstances je trouve cela troublant. Ce serait bien que tous ceux qui ont eu l'impression de faire des rêves prémonitoires les racontent sur le site.

 

Posté le 25/11/5

Voici un de mes rêves prémonitoires.
Il m'a préparé à l'éventualité du décès de mon père (12 oct.).

Rêve du vendredi 27 mai 2005 : "Alerte de funérailles"

Avec ma mère, nous devons partir ensemble en autocar pour aller à des funérailles.
Dehors, je vois passer un autobus. Il faudra que je prenne un bus pour aller à l'autocar.
Je rentre (là je suis chez moi, mais pas le chez moi de la vie éveillée).
Je ne suis pas prête à partir, j'ai des préparatifs à faire et je suis en jeans (un ménage à terminer ?).
Je suis avec Lili et une femme qui est bibliothécaire. (...)

Commentaires

Funérailles (des préparatifs à faire, me préparer pour un décès).
Des funérailles qui pourraient concerner ma mère : dans notre famille.
Me préparer pour le décès de Papa.

Autocar
Voyages pour aller voir papa. Et d'autres fois pour visiter ma mère.

Autobus
J'en ai pris avec ma fille Isa, lors d'un de mes voyages pour aller voir
papa. J'aurai à en prendre en août pour l'entrée au Cegep de ma fille Carine.

Maternité - la fin de la vie familiale actuelle :
départ de Carine pour le Cegep, plus d'enfant à la maison. Une partie de moi doit mourir ?

Lili est ma fille aînée. Elle a eu un rôle important à jouer pour que nous allions annoncer le décès de mon père à ma mère (divorcés il y a longtemps).

Quand je suis partie quelques semaines au chevet de mon père, j'étais en jeans.
J'ai dû aller m'acheter des vêtements pour les funérailles, je n'avais pas apporté de vêtements appropriés dans mes bagages.

Carole

 

Posté le 26/11/5


Mon expérience des rêves prémonitoires est tellement banale que je n'osais pas en parler avant la demande de Marcelle.
En fait il m'arrive souvent d'être dans une situation quelconque : une discussion, un repas, un magasin, et de me souvenir d'en avoir rêvé la nuit précédente, souvent le matin.
Il ne s'agit pas d'une impression de "déjà vu" qu'on peut avoir dans certains situations. Juste le souvenir d'un rêve et c'est très précis : par exemple un échange de paroles, mais encore une fois ça ne touche que des sujets sans importance et je ne m'en souviens qu'au moment où ça arrive. Par contre le laps de temps entre les deux événements est très court.


Emmanuelle

 

 

Posté le 26/11/5

Je viens de me rappeler que cinq ans avant d'avoir mes enfants j'avais rêver à eux.
Dans ce rêve, ils avaient environ 12/13 ans; ils étaient d'âge rapproché et ils étaient devant une maison à Montréal.
J'ai mes enfants aujourd'hui, ces trois là, je le sais et je l'ai toujours su, ils sont tous d'âge rapproché : ma plus âgée à 18 mois de différence avec mes jumeaux.
Tout est beau, mais je me demande encore si nous allons déménager dans cette ville et si nous allons un jour habiter dans cette maison devant laquelle ils étaient assis...
 
Partant de là, j'ai toujours cru que je n'aurai pas plus d'enfants.
Mais dernièrement j'ai rêvé qu'un père Noël ce cachait derrière les arbres et un enfant est sorti du bois en courant jusqu'à moi, m'a pris par la taille et m'a dit : "Je veux revenir à la maison."
À cet instant, j'ai ressenti que cet enfant était particulier pour moi. De là, j'ai cru que ce rêve pouvais être prémonitoire et qu'un jour, peut-être ,j'aurais un autre petit garçon !
 
Peace Aigle 

 

Posté via "onirama" le 24/3/13

 

Mon rêve (J'ai du mal à lui donner un titre, en fait) : "Troubles"

Date : 2 mao 2005

Je suis dans notre maison familiale d'Ile-de-France, une immense maison ancienne à plusieurs étages. Je suis dans le salon, la maison est vide et je sens des regrets m'envahir en repensant aux jours heureux avec mes frères et soeurs.

Tout à coup je vois ma Maman (décédée, en réalité) assise dans le salon. Quel bonheur. Malheureusement, je vois son visage très triste car elle vient m'annoncer que mon frère P. va aller la rejoindre d'ici quelques mois. Je pressens que c'est août sans qu'elle l'exprime . Nous parlons un peu puis elle disparaît.

___________

Commentaires

Au réveil je panique, Je me dis qu'il n'y a pas de raison, que tout le monde va bien. Mais quand même j'appelle une de mes soeurs. Puis je lui demande de dire à une autre soeur de réunir tout le monde pour le mois de juin, fin juin pour un méchoui. Comme une autre soeur qui reste tout le temps dans la maison, J. sait bien le faire dans le jardin en invitant les gens du village (il est très petit) à St Afrique. Malheureusement N. me dit qu'elle ne peut pas rassembler tout le monde, c'est trop tôt. Il me semble qu'elle bloque. Je ne lui dis pas la raison. Je ne veux pas la paniquer pour rien si c'était une autre interprétation. 

Le rassemblement familial et villageois ne se faisant apparemment pas je décide d'aller voir J. ma soeur aimée et préférée. Je fais la route. J'arrive et je la vois heureuse, rieuse comme d'habitude, espiègle. Je me sens bien avec elle. On va poser quelques clôtures car les chèvres sont encore allées dans le champ du voisin.

Le lendemain matin je descends et hooo surprise, je vois mon frère P. qui est venu aussi. Je commence à être intriguée. Il a l'air d'aller bien mais se plaint de douleur à la respiration. Je ne lui parle pas de mon rêve, bien sûr, mais je ne m'inquiète pas car il fume énormément. Malgré tout il s'allonge au lieu de s'asseoir. Je lui demande si il a déjà fait des radios des poumons, il me dit que non mais une amie, médecin va s'occuper de lui dès qu'il rentre. Nous partons faire un pique-nique, rions, papotons. Je baigne dans le bonheur. Les souvenirs du rêve commence à s'estomper. J'oublie.

Debut juillet j'apprends que mon frère est à l'hopital pour des examens. Je fonce le voir. Là je commence à me dire que c'est un rêve prémonitoire sans aucun doute. Fin juillet j'apprends par N. que P. mon frère a choisi l'euthanasie car il est condamné et qu'il ne veut pas être prolongé comme on lui a proposé pendant un an. Il choisit donc la date de fin juillet et nous nous retrouvons tous et toutes, comme je l'avais demandé. Nous faisons le partage des biens, la messe. Je prends juste un gros morceau de bois, il aimait les morceaux de bois. Je veux sculpter son portait dedans. 

Je rêvais très souvent de lui, depuis son décès je ne rêve plus de lui.

Frane (Paris - Braye s/Faye)


 

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