Roger Ripert brandissant sur le mont Bion, |
PARAHATÇYLYK Turkmen (Afghanistan, Turkmenistan) |
BEYBITSHILIK Kazakh (Kazakhtan) |
LE DÉSARMEMENT & LA PAIX
A L'ÉCHELLE
PLANÉTAIRE
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NON AU CAUCHEMAR HÉGÉMONIQUE DE L'EMPIRE US-OTAN !
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VOUS AVEZ DIT DÉSARMEMENT ?!
Le sieur Bush va demander au Congrès US Pour lutter contre le soi-disant "terrorisme" WASHINGTON (AP) - 23/1/2 - Le sieur George W. Bush
a annoncé mercredi qu'il allait demander au Congrès une augmentation
de 48 milliards de dollars (54 milliards d'euros, 355 milliards ff)
des crédits militaires, soit la plus forte hausse du budget du "Pentagone" [de la secte pentagoniste]
en 20 ans, pour poursuivre la guerre contre le "terrorisme" [sic]. * USA : 66 milliards de dollars supplémentaires accordés WASHINGTON (AP) - 14/6/6 - La Chambre des représentants du Congrès américain a approuvé mardi une enveloppe additionnelle de 66 milliards de dollars (52,5 milliards d'euros) pour les opérations militaires en Irak et en Afghanistan. Ce compromis entre les deux chambres du Congrès porte le montant total des dépenses militaires en Irak depuis l'invasion en 2003 à environ 320 milliards de dollars (254,55 milliards d'euros), alors que les opérations en Afghanistan ont coûté jusqu'ici 89 milliards de dollars (70,8 milliards d'euros), selon le Service des recherches du Congrès. La loi de financement, d'une valeur totale de 94,5 milliards de dollars (75,17 milliards d'euros), prévoit également des fonds pour la reconstruction de la Nouvelle Orléans suite à l'ouragan Katrina, pour les dispositifs contre la grippe aviaire et pour la sécurité aux frontières américaines. Elle a été approuvée par 351 votes contre 67. |
A l'instar de la connerie de l'espèce humaine Les dépenses militaires approchent des sommets ! Selon l’Institut de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), les dépenses militaires ont atteint plus de mille milliards de dollars US en 2004 (975 milliards en dollars de 2003) ce qui se rapproche du sommet historique de 1987-88. Dans le monde où des milliards de personnes luttent pour survivre avec 1 à 2 dollars par jour, les gouvernements dépensent en moyenne 162 USD par personne pour acheter des armes et pour payer des soldats. Les dépenses militaires avaient chuté avec la fin de la guerre froide mais ont repris leur ascension après 1998, augmentant de façon dramatique à la suite du 11 septembre 2001. Entre 1995 et 2004, les dépenses ont crû de 23 pour cent, inflation déduite. Les augmentations les plus fortes, en pourcentages, se retrouvent en Asie centrale, en Afrique du Nord, en Asie du Sud et en Amérique du Nord. Il n’y a qu’en Amérique centrale et du Sud et en Europe occidentale que les dépenses croissent de moins de 10 pour cent. Selon le SIPRI, à eux seuls, les États-Unis dépensent presque autant que le reste du monde : $ 445 milliards en 2004, soit 47 pour cent du total mondial. Les opérations américaines en Afghanistan et en Irak ont été financées par une allocation supplémentaire spéciale de $ 238 milliards pour les années fiscales 2002-2005. Ces fonds supplémentaires, à eux seuls, dépassent les $ 193 milliards dépensés par les armées de tous les pays en développement en 2004. Les 15 pays ayant dépensé le plus en 2004 totalisaient $ 799 milliards des dépenses, soit 82 pour cent de l’ensemble. Les quatre pays ayant le plus dépensé après les États-Unis - le Royaume-Uni, la France, le Japon et la Chine - représentent 18 pour cent des dépenses, 172 milliards. Ils sont suivis de l’Allemagne, de l’Italie, de la Russie, de l’Arabie Saoudite et de la Corée du Sud ($ 116 milliards, 12 pour cent) puis de l’Inde, d’Israël, du Canada, de la Turquie et de l’Australie ($ 57 milliards, 6 pour cent). A une époque où la pauvreté endémique, les épidémies, les changements climatiques et le chômage massif demandent une attention de tous les instants, la croissance ininterrompue des budgets militaires reflète des priorités mal choisies. En définitive, cet usage des ressources illustre une incapacité à répondre aux raisons sous-jacentes à l’instabilité et à l’insécurité dans le monde. En 2003, les pays industrialisés appartenant à l’OCDE ont dépensé $ 687 milliards pour leurs programmes militaires, soit 10 fois l’assistance qu’ils accordent pour le développement.
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Au lieu de consacrer cet argent/énergie à la sauvegarde de notre planète, la Terre, Bush va demander 70 milliards de dollars pour la guerre en Irak et en Afghanistan, WASHINGTON (AP) - 3/2/6 - La Maison Blanche a prévenu le Congrès qu'elle allait demander un collectif budgétaire d'environ 70 milliards de dollars (58 mds euros) pour le budget 2006 afin de financer les guerres en Irak et en Afghanistan, plus 18 milliards supplémentaires (14,9 mds euros) pour faire face aux conséquences de l'ouragan Katrina, a déclaré jeudi un conseiller républicain au Sénat "qui a requis l'anonymat" [sic]. George Bush présentera son projet de budget pour 2007 la semaine prochaine. Il devrait prévoir 50 milliards de dollars (41,4 mds euros) pour l'effort de guerre, "ce qui ne devrait pas être suffisant pour l'année entière" [sic]. - WASHINGTON (Reuters) - 10/1/7 - George Bush va demander un budget supplémentaire de 6,8 milliards de dollars pour mettre en oeuvre sa nouvelle stratégie en Irak, qui prévoit notamment l'envoi de plus de 20.000 soldats en renfort dans ce pays, apprend-on mercredi de source américaine autorisée. Le président américain doit présenter son plan à la Nation mercredi à 21h00 locales (02h00 GMT jeudi). Ce budget de 6,8 milliards s'ajoutera au programme de dépenses que Bush annoncera en février pour l'année fiscale 2007 afin d'assurer les opérations en Irak, a-t-on précisé de même source. George Bush prévoit d'envoyer 17.500 hommes en renfort à Bagdad et 4.000 dans la province d'Anbar, bastion de l'insurrection, a-t-on ajouté. Ces renforts arriveront par vagues. Une première brigade, soit entre 3.500 et 4.000 soldats, devrait être en Irak le 15 janvier. |
Halte à la violence/barbarie ! Halte à la
désinformation ! Tous unis contre
la «Busherie» US et la perfide
Albion, son plus fidèle allié ! US COW-BOYS murderers : go home ! Redonnez la Terre aux Amérindiensque vous leur avez volée par la violence ! |
Nous aurons la peau |
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L'Empire US-OTAN (texan,
notamment) :
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BONNES AFFAIRES POUR LES MARCHANDS DE CANONS UN IMMENSE GÂCHIS POUR LA PLANETE !
STOCKHOLM (AFP) -jeudi 13 juin 2002- Les dépenses militaires dans le monde ont progressé l'an dernier pour la troisième année consécutive, relève dans son dernier rapport l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), qui estime que les attentats du 11 septembre ont constitué un point de rupture dans la sécurité dans le monde. Les dépenses militaires mondiales ont, selon les estimations
du SIPRI, progressé de 2% en 2001, à 839 milliards de dollars (892
mds EUR, ou 772 mds USD de 1998), soit 2,6% du produit intérieur
brut mondial, et 137 USD par habitant. Elles ont ainsi augmenté
de 7% en trois ans, après une décennie de recul (1987-98). Mais les
chiffres de 2001 devraient sans doute être "considérablement" revus
à la hausse, car les rallonges budgétaires dont ont bénéficié nombre
d'armées après les attentats du 11 septembre aux Etats-Unis et la
"guerre contre le terrorisme" qui a suivi n'ont pas été prises en
compte...
Alternative à la trilogie catastrophique, pétrole-armement-effet de serre : le désarmement et la mise en place immédiate de sources d'énergie renouvelables ! Roger Ripert Les dépenses militaires globales augmentent encore, selon l'Institut de la Paix suédois... STOCKHOLM (AP) - 13/6/6 - Les dépenses militaires globales ont continué d'augmenter l'année dernière, selon l'Institut de recherche internationale pour la paix de Stockholm. Selon un rapport rendu public lundi par l'Institut, les pays du monde entier ont dépensé 890 milliards d'euros en matériel militaire en 2005, soit 3,4% de plus qu'en 2004, compte tenu de l'inflation et des fluctuations des taux de change. Cette somme correspond à 2,5% du produit intérieur brut de la planète, un point de moins que l'année précédente. Les Etats-Unis sont à l'origine de 48% de ces dépenses, une augmentation de un point que l'Institut impute aux conflits en Irak et en Afghanistan, ainsi qu'aux opérations d'urgence suivant l'ouragan Katrina, l'été dernier. Selon le rapport, l'augmentation des dépenses militaires est due en partie à la hausse du prix du pétrole, qui a bénéficié notamment aux pays producteurs que sont la Russie, l'Arabie saoudite ou l'Algérie, entre autres Etats ayant accéléré leurs acquisitions militaires. |
Préparatifs de guerre de l'Empire US-OTAN [la secte pentagoniste] contre l'Iran RELANCE DE LA COURSE AUX ARMEMENTS !
SEVILLE, Espagne (Reuters) - 9/2/7 - La Russie s'est interrogée sur les "véritables intentions" des Etats-Unis, qui entendent déployer près de ses frontières, en Pologne et en République tchèque, des éléments de leur bouclier antimissiles. Le ministre russe de la Défense, Sergueï Ivanov, s'en est vivement pris à ce projet américain après une rencontre avec ses homologues de l'Otan réunis à Séville. Les Etats-Unis souhaitent déployer des systèmes radars, voire des missiles antimissiles, dans les deux pays du défunt Pacte de Varsovie dans le cadre de leur "Missile Defense Initiative" qui vise à les protéger d'une éventuelle agression non conventionnelle en provenance d'Iran ou de Corée du Nord. "Il suffit de regarder une carte pour voir que ce n'est pas ça le problème", a dit Ivanov lors d'une conférence de presse. Selon lui, les missiles iraniens d'une portée de 1.800 km ne peuvent atteindre les Etats-Unis, mais bien la Russie. En outre, il est "bien connu que tout missile qui suit une trajectoire balistique peut être intercepté au stade initial, lors de l'allumage des fusées", a-t-il ajouté. "Il y a une question raisonnable : pourquoi 'nos partenaires américains' [sic] ne déploient-ils pas leur système en Irak, en Afghanistan ou en Turquie ?", a-t-il demandé. "N'importe quel expert peut démontrer que la trajectoire de vol d'un missile sera très éloignée de la République tchèque et de la Pologne. Donc, quelle sont les véritables intentions ?". Ivanov n'a toutefois proféré aucune menace. "Si quiconque relance la course aux armements, nous ne reprendrons pas la course", a-t-il expliqué. Le nouveau secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, s'est voulu rassurant lors de la réunion de Séville. "Nous leur avons clairement expliqué que ce n'était pas dirigé contre eux", a-t-il déclaré. * SEVILLE 2007 (AFP) - 9/2/7 - La Russie a prévenu, vendredi dans le cadre d'une réunion avec l'Otan à Séville (sud), qu'elle allait renforcer son système de missiles intercontinentaux en réponse au bouclier anti-missiles que les Etats-Unis veulent installer en Pologne et en Tchèquie. "Cela n'est menaçant pour personne" et "nous n'allons pas jouer le jeu de la course aux armements", a-t-il relativisé. Washington a demandé en janvier à la République tchèque et à la Pologne de servir de bases européennes au bouclier anti-missiles américain, s'attirant immédiatement les protestations les plus énergiques de Moscou. Pour parer à d'éventuelles attaques en provenance notamment d'Iran, le "Pentagone" [la secte pentagoniste] souhaite déployer un radar en République tchèque et dix intercepteurs en Pologne d'ici à 2011-2012... En marge de la réunion de l'Otan qui s'est achevée vendredi à Séville, le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, a tenté de persuader M. Ivanov que ce système "ne représentait pas une menace pour la Russie". M. Ivanov a reconnu lui-même que "la sécurité de la Russie (n'allait) pas être menacée par la présence de dix missiles intercepteurs" en Pologne. Mais "on se demande quand même ce qu il y a derrière tout cela" car ce système anti-balistique censé être dirigé contre la Corée du Nord et l'Iran n'a, du point de vue de la Russie, aucune justification technique. Le ministre français de la Défense, Michèle Alliot-Marie, a loué la "capacité d'écoute" de son collègue américain qui l'a interrogée, lors d'un entretien bilatéral, sur son "analyse de la situation au Liban". Le ministre français ne fait pas mystère de ses relations parfois houleuses avec le prédécesseur de M. Gates, Donald Rumsfeld, et note dans ses contacts américains "des changements d'attitude". La réunion de Séville a été par ailleurs largement dominée par la question de l'engagement de l'Otan en Afghanistan alors que le commandement militaire de l'Alliance a réclamé des troupes supplémentaires pour faire face aux attaques croissantes des talibans, ce qui a provoqué le scepticisme de plusieurs pays européens. Le thème du Kosovo a également été largement débattu, une semaine après l'annonce par l'émissaire de l'ONU, Martti Ahtisaari, d'une proposition de futur statut, proche de l'indépendance pour cette province serbe. M. Ahtisaari prévoit de soumettre son plan au Conseil de sécurité de l'ONU vers la fin mars. La Russie, qui dispose d'un droit de veto au Conseil de sécurité, a souligné qu'elle n'accepterait aucune décision sur le Kosovo qui ne soit admise par les autorités serbes. Or, celles-ci rejettent le plan Ahtisaari. Le ministre russe Ivanov a réaffirmé vendredi l'opposition de Moscou à l'indépendance du Kosovo. "Il ne faut pas ouvrir la boîte de Pandore" de l'indépendantisme, a-t-il mis en garde. * Bouclier antimissile : "les alliés" [sic] se concertent face à l'hostilité russe
Par Pascal Mallet SEVILLE (AFP) - Juste avant de se réunir vendredi avec leur collègue russe Sergueï Ivanov, les 26 ministres de la Défense de l'Otan devaient se concerter sur le projet américain de bouclier antimissile en Pologne et en République tchèque qui irrite fortement Moscou. "Nous avons des divergences, il n'y a aucun doute à ce sujet", avait ensuite déclaré M. Gates sans entrer dans le détail, mais estimant qu'"une franche discussion est à l'évidence la meilleure manière de procéder". Washington a officiellement demandé le 22 janvier à la République tchèque et à la Pologne de servir de bases européennes au bouclier antimissile US. Le projet actuellement négocié par Washington avec ces deux pays représente pour la République tchèque seule un investissement de 1,6 milliard de dollars et prévoit le déploiement de 200 à 400 experts et militaires américains, selon les informations diffusées par l'ambassade américaine à Prague. Cette annonce a provoqué de vives réactions à Moscou, tant de la part des milieux militaires que gouvernementaux, ceux-ci parlant d'une "menace évidente" et d'un "sentiment de danger" pour la Russie, qui entendait en discuter avec les Etats-Unis et les pays européens. L'Ukraine voisine, dont le Premier ministre est pro-russe, s'est jointe à ces protestations. Selon des experts européens en technologie spatiale, comme le Britannique Andrew Brookes, de l'Institut international d'études stratégiques (IISS) de Londres, "la station de Fylingdales au Royaume-Uni détecterait n'importe quel missile venant d'un arc de cercle allant d'Arkhangelsk (nord de la Russie occidentale) à l'Algérie". Si des installations en Pologne ou en République tchèque n'ajoutent rien au dispositif américain, comme l'assurent ces experts, Moscou est logiquement en droit de s'interroger. La réaction ulcérée de Moscou n'a donc pas vraiment surpris l'Otan. Anticipant les intentions américaines et dans l'espoir de faire réfléchir Washington, la Russie avait demandé l'an dernier aux pays de l'Otan d'être associée à toutes les décisions que pourraient prendre les autres puissances pour leur défense contre les missiles balistiques, qu'il s'agisse des Etats-Unis seuls, ou de l'Alliance atlantique, qui a également dans ses cartons un système antimissile stratégique. Le propre projet de l'Otan n'en est cependant qu'au stade très préliminaire de l'étude de faisabilité et la réflexion suit son cours, comme indiqué dans le communiqué final du dernier sommet allié fin novembre à Riga. Le nombre de pays européens qui se sont montrés "réservés" à l'idée d'installer un système qui coûterait au bas mot 20 milliards d'euros rend sa concrétisation peu probable pour l'instant, selon des sources diplomatiques à l'Otan. Dans ces conditions, l'Otan considère que l'extension du bouclier antimissile américain est une question purement bilatérale entre les Etats-Unis et chacun des deux pays européens concernés, même s'ils sont membres de l'Alliance. C'est à la demande de Prague néanmoins, au nom de la transparence et sans doute pour garantir qu'il n'y ait pas de divergence publique entre alliés, que le sujet devait être abordé par les 26 avant qu'ils ne rencontrent M. Ivanov dans le cadre institutionnel du Conseil Otan-Russie. |
Suède : Rapport du SIPRI sur les armes dans le monde par Comaguer, Comaguer Bulletin no 174-semaine 41 Source : Mondialisation.ca, 11 octobre 2007 Le SIPRI (STOCKHOLM INTERNATIONAL PEACE RESEARCH INSTITUTE) organisme suédois indépendant vient de publier son rapport annuel sur les armes dans le monde. Note : La branche Défense Sécurité du Groupe SAFRAN est présente sur les marchés civils, militaires et spatiaux. Ses activités s’exercent dans les domaines suivants : équipements de navigation et de guidage inertiels, équipements et systèmes optroniques, systèmes d’avionique, systèmes de drones, équipements et systèmes aéroterrestres, systèmes biométriques d’identification, terminaux de transactions sécurisées et cartes à puce. Articles de Comaguer publiés par Mondialis |
«Monsieur le ministre de la Défense,
pour des motifs de conscience, je me déclare opposé à l'usage personnel des armes.
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A BAS L'EMPIRE US-OTAN VIVE LES O.N.G. ! |
Des militants pacifistes interpellés par la police belge devant le siège de l'OTAN
Les organisateurs de cette action de protestation, qui ont fait état de la présence sur les lieux de quelque 500 participants, accusent l'OTAN de ne pas contribuer à la paix à travers le monde dans la mesure où certains de ses Etats membres continuent de constituer des stocks de missiles nucléaires et développent un nouveau bouclier antimissile en Europe. "C'est l'OTAN de maintenant", celle qui fait qu'"on est impliqués dans des guerres comme en Irak et en Afghanistan", "nous voulons montrer que nous n'aimons pas cela", a souligné Hans Lammerant, du groupe belge Bombspotting. Les policiers, qui s'étaient préparés en prévision de cette manifestation, avaient établi un large périmètre de sécurité autour des bâtiments de l'Alliance atlantique. Ils ont usé d'un canon à eau et d'un hélicoptère pour empêcher les protestataires d'approcher du siège de l'OTAN. * Réussite de l'action internationale de désobéissance civile non-violente «NATO Game Over» le 22 mars 2008 au quartier-général de l'OTAN à Bruxelles
par CADTM
Source : http://www.alterinfo.net * Manifestations contre Bush à Kiev
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Motion de censure : Le président du groupe socialiste dénonce "la dérive atlantiste" de Sarkozy
Alors que François Fillon affrontera mardi sa première motion de censure, déposée par la gauche "contre la politique d'alignement atlantiste" de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement, M. Ayrault observe qu'"aucune leçon de l'engagement de la coalition en Afghanistan n'a été à ce jour tirée". "Enfin, lors du sommet de l'Otan à Bucarest, il (Nicolas Sarkozy) a confirmé son projet de faire revenir la France dans le commandement intégré de l'Otan, brisant ainsi le consensus français sur l'autonomie stratégique du pays. Un consensus fragile et qui ne s'est pas construit en un jour puisque je vous rappelle qu'en 1966, lorsque le général de Gaulle avait décidé de quitter l'Otan, les socialistes avaient alors déposé une motion de censure contre cette décision", souligne le président du groupe socialiste. Pour M. Ayrault, "face à la dérive atlantiste de Nicolas Sarkozy, il faut se mobiliser contre tout retour à une forme de politique des blocs". — Politique étrangère et atlantisme : la motion de censure rejetée par l'Assemblée
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Ni vu, ni connu : Hollande veut achever le retour de la France dans l'Otan !
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Hollande se prépare-t-il à achever la soumission de la France à l’OTAN ?
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Les dépenses militaires mondiales ont bondi de 45% en dix ans !
L'an passé, elles ont atteint 1.339 milliards de dollars (851 milliards d'euros), les Etats-Unis représentant à eux-seuls 45% de ce total, ce qui correspond à 2,5% du produit intérieur brut (PIB) mondial ou encore à 202 dollars (128,4 euros) par personne. "Les facteurs expliquant l'accroissement des dépenses militaires mondiales sont, entre autres, les objectifs de politique étrangère des pays, les menaces réelles ou supposées, les conflits armés et les politiques destinées à contribuer aux opérations de maintien de la paix multilatéral combinés à la disponibilité des ressources économiques", commente le SIPRI. Cette hausse est à la fois "excessive et obscène", a réagi M. Jayantha Dhanapala, membre du SIPRI et ancien sous-secrétaire général des Nations unies pour le désarmement, au cours de la conférence de presse organisée à Stockholm pour présenter le rapport. Pour la période 1998-2007, l'Europe de l'Est a enregistré la plus forte hausse de ces dépenses qui ont plus que doublé (+162%) et c'est également dans cette région que les dépenses ont le plus augmenté l'an passé (+15%), note ce rapport. Avec 13% d'augmentation en 2007, la Russie compte pour 86% de l'accroissement des dépenses régionales. Le SIPRI ajoute que, sur dix ans, les dépenses militaires de l'Amérique du Nord ont bondi de 65%, celles du Moyen-Orient de 62%, celles d'Asie du Sud de 57% tandis que celles d'Afrique et d'Asie orientale se sont accrues de 51%. L'institut relève que l'augmentation des dépenses militaires des Etats-Unis a, en 2007, atteint un niveau supérieur à celui enregistré pendant la Seconde guerre mondiale. "Depuis 2001, les dépenses militaires américaines se sont accrues de 59%, principalement en raison des opérations militaires en Afghanistan et Irak mais aussi en raison de l'accroissement du budget de la défense de base", explique-t-il. L'Europe de l'Ouest et l'Amérique centrale sont les deux régions où les dépenses militaires ont le moins progressé avec respectivement 6 et 14% de hausse. Conséquence directe, les ventes d'armes des cent principaux fabricants mondiaux (hors Chine) ont augmenté de près de 9% en 2006 sur un an, atteignant 315 milliards de dollars. Les sociétés américaines et d'Europe de l'Ouest (respectivement 41 et 34) ont largement dominé ce marché, réalisant à elles seules 92% des ventes en 2006, dernière année pour laquelle le SIPRI dispose de données. D'après cet institut, il y a eu 14 conflits majeurs dans le monde en 2007, un chiffre identique à celui de 2006. En 2001, relève le SIPRI, il y en avait 20. "Un nouveau type de conflit émerge et nous assistons à une fragmentation de la violence", comme en Irak et au Soudan dans la province du Darfour, a expliqué Ekaterina Stepanova, chercheuse à l'Institut international. Cette violence est le fait de groupes armés qui ne dépendent pas directement d'un Etat. "Les acteurs de cette violence tendent à être opportunistes et à changer de côté", a-t-elle ajouté. En ce qui concerne les arsenaux nucléaires, le président du SIPRI, Bates Gill, a jugé qu'il "y avait de véritables occasions de progrès réels sur le contrôle des armes nucléaires comme jamais depuis 10 ans" en raison des positions des deux candidats à la Maison Blanche, le démocrate Barack Obama et le républicain John McCain. |
Vous avez dit "désarmement" ?USA : Un énorme budget de la Défense (415 milliards d'euros) adopté à la Chambre des représentants ! |
Si vous êtes révoltés par les diverses formes de répression perpétrées contre des personnes simplement parce quelles sont différentes ou quelles expriment pacifiquement leurs opinions, sachez que vous pouvez combattre votre sentiment dimpuissance en vous joignant à lactivité dAmnesty International.
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